Résumé

Saviez-vous que la flambée du prix du pétrole était prévisible depuis 2004 et que malgré la chute des cours, nous sommes face à une nouvelle flambée, encore plus forte ? saviez-vous que si les compagnies pétrolières font des profits records, les pays producteurs, eux, ne récupèrent qu'un tiers de leur pétrole ? saviez-vous que les erreurs de prévisions sur les prix du pétrole font perdre des milliards de dollars à certains pays pauvres très endettés ? enfin, savez-vous que si nous ne brisons pas notre dépendance au pétrole, l'avenir de la planète risque d'être fortement perturbé.
Dans " un baril de pétrole contre 100 mensonges " thomas porcher met à jour la stratégie de l'opep visant à épuiser les réserves des autres pays producteurs de pétrole afin d'être en monopole. en révélant - pour la première fois - le contenu des contrats pétroliers, il dévoile la réalité sordide des relations entre compagnies pétrolières et pays producteurs. en recoupant les déclarations et les enquêtes, il pointe également les erreurs faites par les experts et leurs conséquences parfois désastreuses.
Il propose surtout un scénario de la situation mondiale en 2050 et démontre que nos comportements doivent changer dès aujourd'hui.


Rayons : Sciences humaines & sociales > Sciences politiques & Politique > Vie politique dans le monde


  • Auteur(s)

    Thomas Porcher

  • Éditeur

    Res Publica

  • Distributeur

    Dilisco

  • Date de parution

    16/03/2009

  • EAN

    9782358100014

  • Disponibilité

    Épuisé

  • Longueur

    21.5 cm

  • Largeur

    13.5 cm

  • Épaisseur

    1.7 cm

  • Poids

    260 g

  • Lectorat

    Tout public

  • Support principal

    Grand format

  • Dewey

    330

Thomas Porcher

  • Pays : France
  • Langue : Francais

Thomas Porcher vit à Paris et est docteur en économie et enseignant-chercheur spécialisé dans le gaz et le pétrole. Intervenant régulier dans les médias, il a publié Un baril de pétrole contre 100 mensonges (Res Publica éditions, 2009) et L'indécence précède l'essence (Max Milo, 2012).

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