De l'assemblage du vêtement (montage des manches, assemblage des différents cols...) aux finitions les plus pointues l'autrice explique pas-à-pas et avec de nombreuses illustrations et croquis chaque étape et chaque détail de la technique concernée. Ce souci du détail dans les explications permet d'acquérir des compétences de haute couture et de maîtriser parfaitement toutes les finitions de la confection femme.Ce ouvrage s'adresse aux débutants qui souhaitent acquérir dès le départ des bases solides et de bon réflexes. Ils auront à disposition toutes les bases et toutes les techniques nécessaires à l'élaboration à la confection de la plupart des vêtements Femme, Hommes et Enfants qu'ils réaliseront à partir d'un patron, de modélisme ou de moulage Ils s'adressent également aux couturiers et couturières plus avertis qui souhaitent améliorer leur pratique en acquérant les bons réflexes et une rigueur professionnelle. Ils satisferont ceux à la recherche de techniques pointues peu abordées aujourd'hui dans les livres de couture grand public. Les techniques expliquées ici couvrent très largement les compétences demandées lors du CAP couture.
De la scène d'ouverture du Baiser du tueur aux derniers plans d'Eyes Wide Shut, cette admirable anthologie comprend une grande partie des images les plus mémorables extraites des films de Kubrick, des interviews éloquentes et de nombreux documents issus de ses archives personnelles tels que des éléments de conception de décor, des scénarios, des notes, des lettres et des plans de tournage.
Charles de Beistegui (1895-1970), héritier de l'une des plus grandes fortunes du Mexique, mène, entre Paris, Londres, Madrid, Biarritz et Venise, une vie fastueuse et créative, mondaine et cosmopolite, au coeur de la Café Society. Mais qui est vraiment ce mystérieux prince des esthètes ?
Au début des Années folles, Charles de Beistegui se lie à une poignée de jeunes privilégiés - les Noailles, les Faucigny-Lucinge, les Pecci-Blunt - qui veulent participer au renouveau créatif de l'avant-garde artistique.
Passionné par les arts décoratifs, il entreprend de créer plusieurs résidences. Son appartement des Champs-Élysées, son hôtel particulier, son château de Groussay deviennent la vitrine de son goût audacieux, à mi-chemin entre le XVIIIe siècle français et le XIXe anglais et imprégné de références revisitées, qui influencera les créateurs.
En 1948, il fait l'acquisition du palais Labia à Venise, le restaure, le réinvente et, en 1951, y organise le « bal du Siècle » où 1 500 invités - aristocrates européens, milliardaires sud-américains, socialites new-yorkais, artistes, couturiers et mondains - sont conviés. Cette fête restera dans les annales comme la plus fastueuse du XXe siècle.
Dandy épris de beauté et d'absolu, metteur en scène de son existence, Charles est devenu un personnage mythique et, au-delà, l'incarnation d'un style, qui suscite plus d'admiration et de notoriété que de son vivant. Longtemps hors du temps, Charles de Beistegui est désormais de notre temps.
Edward T. Hall a montré, dans La Dimension cachée, que l'espace interpersonnel est une dimension de la culture. Le Langage silencieux conduit cette réflexion sur d'autres systèmes, et notamment le temps. Qu'est-ce qu'être en retard ? Qu'est-ce qu'attendre ? Le message exprimé là est différent selon qu'il vient d'un Européen, d'un Américain ou d'un Japonais. Ainsi le temps et la culture sont-ils communication, autant que la communication est culturelle. Communication qui cache plus de choses qu'à première vue elle n'en révèle. À travers des exemples aussi précis que cocasses, Edward T. Hall développe la théorie des systèmes de communication non verbaux.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Jean Mesrie et Barbara Niceall.
- Le grand cours de modélisme expose point par point comment créer « à plat » le patron de tout vêtement féminin en « sur mesure ».
- Ce troisième tome indique comment créer des patrons de cols, de manches et d'empiècements et obtenir une coupe impeccable pour tous ses projets, des plus classiques aux plus créatifs.
- Le grand cours de modélisme expose point par point comment créer « à plat » le patron de tout vêtement féminin en « sur mesure ».
- Ce deuxième tome indique comment créer un buste de base à ses vraies mesures et comment, à partir de cette base obtenir une coupe impeccable pour une multitude de projets (veste, robe, manteau, bustier...).
- Les précieux chapitres « Essayage et retouches » expliquent dans le détail comment adapter chaque modèle à toutes les morphologies.
- Le grand cours de modélisme expose point par point comment créer « à plat » le patron de tout vêtement féminin en « sur mesure ».
- Ce premier tome indique comment créer ses patrons de base - jupe et pantalon - à ses vraies mesures et comment, à partir de ces bases obtenir une coupe impeccable pour une multitude de projets, des plus classiques aux plus créatifs. - Les précieux chapitres « Essayage et retouches » expliquent dans le détail comment adapter chaque base à toutes les morphologies
Guillaume, issu d'un modeste lignage, est né au milieu du xiième siècle.
Champion de tournois jusqu'à quarante ans, il a servi fidèlement les plantagenêts : henri ii, son fils aîné henri le jeune et les cadets richard coeur de lion et jean sans terre. en récompense, on lui a donné pour femme l'un des plus beaux partis d'angleterre. il a combattu philippe auguste et c'est à soixante-treize ans, comme régent d'angleterre du jeune henri iii, qu'il a remporté contre le futur louis viii la bataille de lincoln en 1217, qui obligea les français à conclure la paix et à évacuer l'angleterre.
Apprenant la mort de guillaume dans la tradition des croisés, philippe auguste et ses barons le proclamèrent " le meilleur des chevaliers ".
L'esprit de sacrifice à travers l'histoire.
« Merde ! La garde meurt et ne se rend pas ». La célèbre apostrophe, prêtée au général Cambronne à Waterloo illustre le mépris de la mort et le sacrifice authentique : celui qui consiste à donner volontairement sa vie pour un homme, une cause, une idéologie ou une patrie. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, ce cas de figure se présente assez souvent à travers les siècles : Thermopyles, sicaires juifs à Massada, derniers cathares, chouans de 1815, sudistes, samouraïs, communards, cristeros, soldats blancs de Russie, vietnamiens du Sud, combattantes kurdes et bien d'autres encore se sont illustrés lors d'événements méconnus ou oubliés tels les frères de la forêt qui ont combattu l'armée rouge dans les pays Baltes après 1945. Tous, dans un dernier geste, ont marqué l'histoire et marqué la postérité.
Sous la direction de Jean-Christophe Buisson et Jean Sévillia, les meilleurs historiens et journalistes en racontent les épisodes les plus saillants dans des contributions où la solidité de l'enquête se conjugue avec un vrai bonheur d'écriture. L'ensemble offre une histoire inédite de l'héroïsme à travers les âges.
Yves Saint Laurent and Pierre Bergé were worldbuilders of an unparalleled caliber; true tastemakers who approached each interior project with imagination and rigeur, crafting grand spaces infused with personality and provenance. Connoisseurs in every sense of the word with a deep knowledge and appreciation for art and interior design, the two built and lived among a spectacular and carefully-considered collection. In close collaboration with world-class designer Jacques Grange, they crafted private spaces full of wonder and enchantment.
Readers are invited to discover the couple's savoir-faire through the most exquisite photographs of the interiors and gardens of Yves's Château Gabriel, the dacha in Deauville; the Villa Majorelle in Marrakech; the apartment on rue de Babylone and his maison de couture on avenue Marceau. With photographs by Marianne Haas, and texts and special contributions from Jacques Grange, Catherine Deneuve, Betty Catroux, Laurence Benaïm, Louis Benech and other members of Yves' tribe, the creative couple's legacy lives on.
Un livre interactif qui revisite le célèbre jeu Qui est-ce ?.
15 cases-personnages sur la couverture, que l'on peut fermer par un volet coulissant. 15 histoires-enquêtes, où des indices physiques permettent de confondre le coupable. Les enquêtes se déroulent cette fois-ci dans un lieu que les lecteurs connaissent bien : une école. Mais c'est une école un peu folle où, du cancre à la maîtresse, du ministre à l'infirmière, tout le monde est potentiellement coupable !
Dans une école complètement loufoque, le lecteur mène l'enquête et élimine lui-même les suspects pour trouver qui est le coupable. Des cheveux blonds ? Un bouton sur le visage ? Des yeux verts ? Au début de chacune de ces 15 histoires, de la directrice à la cuisinière, tout le monde pourrait être coupable, même les élèves !
Au cours de 15 histoires illustrées avec humour, le lecteur doit trouver qui a vidé la piscine, qui a collé l'instituteur à sa chaise, ou encore qui a laissé d'étranges traces dans le jardin modèle de l'école, avec en toile de fond un fil rouge habilement mené tout au long du livre. Grâce à ces enquêtes, l'enfant s'entraîne à lire attentivement une histoire et apprend à trier des informations.
682, c'est le nombre de jours que Roselyne Bachelot a passés au ministère de la Culture sous la présidence d'Emmanuel Macron. Dans ce journal d'une ministre, Roselyne Bachelot fustige le bal des hypocrites, ceux qui n'ont pas voulu reconnaître la culture comme «bien essentiel», ceux qui lui ont mis des bâtons dans les roues alors qu'elle luttait pour garder en vie les salles de spectacles, le cinéma, les troupes de théâtre. Elle n'oublie pas les technos de tout poil et les obsédés de l'ordre sanitaire, qui laissaient circuler les rames de métro bondées mais interdisaient l'ouverture des théâtres et des cinémas. Elle égratigne certains artistes qui ont joué les victimes sacrifiées alors que l'argent public coulait à flot et décrit sans complaisance les complots misérables de politiciens en perdition. Roselyne tire à vue.
Le cuisinier Yotam Ottolenghi revient avec un nouvel ouvrage consacré à la cuisine végétarienne. Il nous offre près de 150 recettes végétariennes organisées en modes de cuisson : à la vapeur, grillé, ou mijoté, pour n'en citer que quelques-uns : curry de petits pois à la mangue, baba ganoush de courgettes, chips de polenta et sauce avocat-yaourt, poivrons rôtis au fromage de chèvre, betteraves confites aux lentilles et au yuzu, etc. Les recettes sont annotées par l'auteur, qui donne des précisions à leur sujet ou nous propose des anecdotes. Ce livre de cuisine très complet vous séduira forcément !
Provides an overview of CIA and other covert operations in Afghanistan, from the Soviet invasion in 1979 through the summer of 2001, detailing efforts to capture or kill bin Laden and the failure to stop the events of September 11th.
Ce guide visuel décrit comment monter et faire fonctionner une marque de mode. Par le biais d'infographiques, de diagrammes et d'illustrations, le lecteur apprend pas-à-pas les étapes-clés indispensables à la création de son entreprise dans le secteur de la mode.
On l'appelait le «mage du Kremlin». L'énigmatique Vadim Baranov fut metteur en scène puis producteur d'émissions de télé-réalité avant de devenir l'éminence grise de Poutine, dit le Tsar. Après sa démission du poste de conseiller politique, les légendes sur son compte se multiplient, sans que nul puisse démêler le faux du vrai. Jusqu'à ce que, une nuit, il confie son histoire au narrateur de ce livre...Ce récit nous plonge au coeur du pouvoir russe, où courtisans et oligarques se livrent une guerre de tous les instants. Et où Vadim, devenu le principal spin doctor du régime, transforme un pays entier en un théâtre politique, où il n'est d'autre réalité que l'accomplissement des souhaits du Tsar. Mais Vadim n'est pas un ambitieux comme les autres : entraîné dans les arcanes de plus en plus sombres du système qu'il a contribué à construire, ce poète égaré parmi les loups fera tout pour s'en sortir.De la guerre en Tchétchénie à la crise ukrainienne, en passant par les Jeux olympiques de Sotchi, Le mage du Kremlin est le grand roman de la Russie contemporaine. Dévoilant les dessous de l'ère Poutine, il offre une sublime méditation sur le pouvoir.
Maurice Garçon (1889-1967) fut l'un des plus grands avocats de son temps. De 1912 à sa mort, il a consigné les événements, petits et grands, dont il était le témoin ou l'acteur.
Il vient de prêter serment quand il commence ce journal, loin d'imaginer qu'il va devenir monumental. Il s'agit, dit-il, de « simples notes » au fil de la plume, jamais retouchées. Petites scènes, portraits, encore un peu scolaires. Et bien vite, il trouve son style, celui d'un exceptionnel observateur.
Les premiers temps sont rudes, bouleversés par la Grande Guerre. Réformé, il souffre d'être considéré comme un planqué mais, devant les conseils de guerre, il apprend le métier.
Et quand il ne travaille pas, il décrit l'atmosphère qui s'alourdit. Jusqu'à l'armistice qu'il « couvre » comme un reporter. Il en a l'oeil et se débrouille pour être partout où il se passe quelque chose, comme plus tard, au Bourget, à l'arrivée de Charles Lindbergh.
Familier des estaminets du Quartier latin, il rencontre des artistes, des auteurs qu'il se fera une spécialité de défendre. Et les clients affluent, l'obligeant parfois à négliger son journal.
Entre plaidoiries de routine et intérêts de Coco Chanel, il parvient à courir les premières et, plus inattendu, à satisfaire sa curiosité pour le paranormal.
Les scandales des années 1930 lui donnent matière à réflexion, penché sur un dossier proche de l'affaire Stavisky. Son mépris de la corruption des confrères députés, présidents du Conseil passés et futurs, s'épanche, sans parler de ses colères à l'encontre des magistrats.
Maurice Garçon mord mais n'est pas lui-même à l'abri des préjugés racistes et antisémites. Il ouvre les yeux à Berlin, peu après la Nuit de Cristal, alors qu'il va représenter la famille du diplomate assassiné par Herschel Grynszpan. La guerre, à nouveau, sera bientôt là.
« A Zalindov, la seule personne sur laquelle tu peux compter, c'est toi-même. ».
Kiva Meridan, dix-sept ans, a passé les dix dernières années à lutter pour survivre dans la tristement célèbre prison de Zalindov, où elle occupe le poste de guérisseuse.
Quand la Reine Rebelle est capturée, Kiva est chargée de la maintenir en vie le temps que celle-ci subisse le Supplice, une série d'épreuves contre les quatre éléments - l'air, le feu, l'eau et la terre -, réservées aux criminels les plus dangereux.
C'est alors que Kiva reçoit un message codé de sa famille : Ne la laisse pas mourir. Nous arrivons. Consciente que les épreuves achèveront la reine gravement malade, Kiva se dévoue pour prendre sa place, au péril de sa vie. Si elle réussit, elle et la reine retrouveront la liberté. Mais personne n'a encore jamais survécu au Supplice...
Alors qu'une épidémie mortelle ravage la prison, qu'un mystérieux nouveau prisonnier fait battre le coeur de Kiva et qu'une rébellion se prépare, la guérisseuse pressent que ses épreuves ne font que commencer...
Vous ne connaissez pas Françoise Dumas ? C'est normal, la discrétion est sa ligne de conduite. Pourtant, ces cinquante dernières années, c'est elle qui a tiré les ficelles des plus belles soirées de France, organisant des réceptions restées dans la mémoire de tous ceux qui y ont participé et que voici racontées pour la première fois.
Jeune Parisienne dans les années 1950, Françoise Dumas se retrouve au lycée avec Marie Laforêt et Florence Delay. La voici sous le signe des arts ! Quelques années plus tard, elle apprend son métier, un tout nouveau métier, en entrant dans le cabinet de relations publiques Georges Cravenne, dont on se souvient encore aujourd'hui comme de l'inventeur de la cérémonie des Césars du cinéma. La jeune Françoise nous raconte ses débuts et sa réussite fulgurante, qui se concrétisera par la fondation d'une agence spécialisée dans l'organisation de réceptions connue dans le monde entier. Il ne s'agit pas de célébrité, loin de là, mais d'art de vivre, et d'un art de vivre qui a marqué la sociabilité dans le monde entier : l'art de vivre à la française. Aux côtés de Françoise Dumas qui l'a également appris sous la conduite des dernières grandes maîtresses de maison, comme Marie-Hélène de Rothschild ou Ira de Fürstenberg, nous apprenons les petits et grands secrets de l'art de recevoir, du service de table à la véritable campagne diplomatique qu'est le placement des invités. Toute réception réussie est une bonne dramaturgie.
Celle qui se qualifie de « maîtresse de maison par procuration » organise pour les autres des événements, dîners, mariages, cérémonies, aussi merveilleux que discrets. Ayant eu pour clients des familles princières et de grands groupes du luxe, des fondations de « premières dames » et des musées prestigieux, elle nous fait pénétrer dans l'intimité de ceux qui sont devenus ses amis, de la famille de Monaco à la famille Arnault, de Bernadette Chirac à Karl Lagerfeld. Une artiste de la douceur de vivre.
«Tu es une lave froide qui brûle encore. Je ne te reproche rien. T'écrire pour t'éteindre, te vaincre. Si c'était ça le but, une étreinte, t'offrir une chance, je ne veux pas écrire une forme de paix parce que ça sonne christique. M'adresser à toi plutôt qu'à ta violence, c'est reprendre cette photo obtenue autrefois sans ton consentement.»Le dernier mot dessine sans concession la dérive d'une figure maternelle aux prises avec la vie, les injonctions féminisantes et la question de sa place alors que son couple bascule vers une promesse et une fin. Ce roman, sous forme d'enquête intime, analyse celle qui, jusqu'à son acte ultime, ne cessera d'interroger les mécanismes complexes qui construisent autant qu'ils malmènent la certitude d'aimer et celle d'être aimée, ces questions universelles qui peuvent détruire comme sauver.