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Xo
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Un livre confidence, puissant, poétique et d'une rare délicatesse.
Restée longtemps silencieuse, Bambou, pour la première fois, raconte les tourments de son enfance, ses débuts à Paris, mais aussi son amour des mots et les treize années passées auprès de Serge Gainsbourg. -
" Je vais te raconter ma vie. Une vie de surprises, de chocs et de désillusions qui m'a fait prendre conscience de la fragilité de l'existence. Mais un parcours ponctué d'expériences plus ou moins heureuses dont j'ai toujours tiré une leçon. Et déjà, tu le sais, puisque c'est le titre du livre : avant d'être Vincent, je m'appelais Franck... " " Le Bigdil ", " Le Juste Prix ", " Fort Boyard ", pendant deux décennies Vincent Lagaf' s'est invité dans les salons des français. Dans cette autobiographie, il revient sur son enfance?: celle d'un gamin qui s'appelait Franck et qui, très tôt, a été adopté.
De cette jeunesse cabossée, il a puisé une énergie et une drôlerie qui lui ont servi de cuirasse pour s'imposer dans le monde de la télé. Porté par une sensibilité à fleur de peau, il a remonté le chemin de sa vie pour retrouver sa mère biologique et lui dire qu'il l'aimait.
À la lecture de ce récit, on rit, on sursaute, mais on se laisse aussi gagner par une émotion qui met longtemps à se dissiper. -
16 ans, prostituée : Le témoignage bouleversant d'une adolescente prise au piège des réseaux sociaux
Bao
- XO
- 10 Octobre 2024
- 9782374483443
Aujourd'hui, en France, vingt mille mineur(e)s pratiquent le sexe tarifé.
" - Tu as l'argent ? demande mon proxénète.
Je lui tends les billets et file me doucher. Pour cette première passe, je n'ai rien ressenti. Comme anesthésiée. Je frotte ma peau avec insistance. Lui est tout excité. Il compte et recompte les billets, puis me lance à travers le rideau de douche :
- Tu vois, je te l'avais dit. C'est que du sexe après tout ! "
À l'âge de 16 ans, Bao, qui a grandi en région parisienne, tombe dans les griffes de proxénètes à peine plus âgés qu'elle qui " chassent " sur les réseaux sociaux.
Son récit ouvre les portes d'un monde terrifiant : celui de la prostitution adolescente dont Internet a largement favorisé le développement.
Mais son témoignage est aussi porteur d'espoir. C'est l'histoire d'une résilience : de sa descente aux enfers à sa reconstruction, qu'elle a menée grâce à sa force vitale mais aussi à l'écoute de personnes remarquables, travailleurs sociaux, soignants, juges, policiers.
Bao a aujourd'hui 24 ans. Ce livre, elle l'a écrit avec le journaliste Rémi Barbet, ancien éducateur en protection de l'enfance, pour alerter les adolescents et les parents sur les pièges de la prostitution 2.0. -
28 janvier 2021. Soudain le moteur de l'avion rend l'âme... Impossible de le redémarrer. Antonio Sena, seul à bord, mobilise toutes ses connaissances pour tenir l'appareil au-dessus de l'immensité de la forêt amazonienne. Mais le crash est inévitable. Miracle : Antonio ressort vivant de la carlingue.
Commence alors pour lui une terrible épreuve dans la partie la plus sauvage de l'Amazonie. Sous une pluie ininterrompue, il s'alimente en observant ce que mangent les singes, construit des abris de fortune, repousse les prédateurs, s'émerveille aussi devant la beauté de la forêt, sans jamais baisser les bras, guidé par l'amour des siens et sa foi retrouvée.
L'espoir, dit-il, sera le dernier à mourir. Trente-six jours après la chute de son avion, épuisé et affamé, un deuxième miracle se produit. Des cueilleurs de noix sont là, au milieu des arbres...
Survivant de l'enfer vert, Antonio Sena a décidé de protéger cette forêt qui a failli l'engloutir. « Le véritable héros de cette histoire, ce n'est pas moi, c'est cet être qui respire et qui souffre. Un être généreux avec ceux qui le respectent et hostile avec ceux qui le mutilent. » Le récit d'un combat, d'une aventure intérieure exceptionnelle, et une formidable ode à la nature.
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La nostalvie : et si on faisait un pas en arrière pour mieux aller de l'avant
Patrick Sébastien
- Xo
- 28 Septembre 2023
- 9782374486147
" - La "nostalvie'... Tu veux dire la nostalgie, Patrick ?
- Non, la "nostalvie', c'est différent.
- Quelle différence ?
- La nostalgie chronique est une aigreur, elle est grise. C'est du soleil derrière et du brouillard devant. La "nostalvie' est rose, c'est du soleil toujours. C'est se rappeler qu'un coup d'oeil dans le rétro est le moyen le plus sûr de déboîter sans risques. Il ne s'agit pas de refuser le progrès et la marche inexorable du temps, mais juste de picorer des bouts d'avant pour mieux nourrir l'après ! " Dans La Nostalvie, Patrick Sébastien revient, avec verve et sensibilité, sur les cent vies passionnantes qu'il a vécues. Il nous invite aussi à faire un pas en arrière pour mieux aller de l'avant. " Nous devons prendre, écrit-il, le temps de puiser dans "hier' les valeurs qui nous fabriqueront des "demain' qui chantent. " -
mike horn est un aventurier professionnel.
il affronte les terres les plus reculées, les reliefs les plus extrêmes, les conditions les plus difficiles. de ses expéditions en amazonie, en arctique ou tout autour de l'équateur, il a tiré des leçons de survie, bien sûr, mais surtout de vie. et ce sont ces leçons qu'il veut faire découvrir à ses filles. parce qu'à ses yeux, un père doit transmettre à ses enfants un héritage unique. etre père, c'est, être passeur.
et quelle meilleure école que ce grand nord oú chaque geste compte, oú la solidarité est la base de la survie, oú la chaleur humaine combat toutes les tempêtes ? annika et jessica ont douze et onze ans. sur la glace de l'île de bylot, elles franchissent crevasses et ponts de neige, gravissent les sommets, montent le campement, établissent les itinéraires. mike veille, bien sûr, c'est dangereux, mais leur laisse l'initiative.
en accord avec sa femme cathy, il veut qu'elles prennent leurs propres décisions. l'école du grand nord, c'est celle dont tout parent rêve pour son enfant. une école oú le sens de l'effort, du partage, de l'attention à l'autre se transmet par nécessité. une école qui aide à devenir un meilleur adulte.
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La première fois, j'avais six ans...
... Je prenais mon bain, mon père s'est déshabillé et est entré dans la baignoire. Ça a duré jusqu'à mes 14 ans, lorsque j'ai eu la force de fuir, de parler. Tous les jours des enfants sont attaqués dans leur propre maison, dans leur propre chambre.?Par ceux qui sont censés le plus les protéger. Tant que ça durera, je n'aurai pas de repos.
Isabelle Aubry ;
Dans ce témoignage bouleversant, Isabelle Aubry raconte le calvaire de son enfance piétinée et nous parle du combat qu'elle mène avec son association Face à l'inceste.
En fin d'ouvrage, elle formule vingt-neuf propositions pour que l'inceste soit reconnu comme un crime spécifique et imprescriptible, et en finir avec cette loi du silence qui, chaque année, brise des milliers de vies.
6,7 millions de français, soit 10 % de la population, déclarent avoir été victimes d'inceste. (Ipsos, novembre 2020).
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En France, 14% des enfants ne se sentent pas en sécurité au collège.
10% sont victimes de harcèlement. Certains finissent par en mourir.
Jonathan est encore à l'école primaire lorsque les brimades, les insultes, les coups commencent. On se moque de lui, de son physique, de son nom de famille. Puis on le menace, on lui demande de l'argent, on lui dit qu'on va tuer ses parents. La peur et la honte l'empêchent de parler. Les adultes ne voient rien ou lui assènent que c'est un jeu. Jonathan est seul face à ses bourreaux. Le calvaire qu'il a enduré, jusqu'à s'immoler par le feu parce que la mort lui semblait être la seule solution, d'autres enfants le vivent tous les jours. Ils n'osent pas parler, sont en butte au déni des adultes et perdent tout espoir. Jonathan a été brûlé à 72%. Il a passé trois mois dans un coma artificiel, a subi dix-sept opérations et continue de souffrir de douleurs incessantes. Pour lui, aujourd'hui, la reconstruction passe par le partage de son histoire, afin que les enfants victimes osent enfin parler. Et que les adultes ouvrent les yeux. Un témoignage bouleversant pour briser le silence.
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La peur. L'effroi. Le choc épouvantable de voir, à 14 ans, ses parents tués sous ses yeux. Il n'y a plus rien pour Kouamé. Plus rien que la crainte que les tueurs reviennent et le tuent à son tour.
Alors Kouamé prend la fuite. Il passe dans le pays voisin et décide de gagner la Libye. Là, si jeune, il affronte l'enfer du désert et le cynisme des passeurs. Ballotté dans des camions surchargés, il le sait : celui qui tombe est condamné à mourir.
Pour tenir debout, Kouamé ne cesse de penser à sa soeur qu'il espère vivante. Et qu'un jour, peut-être, il reverra. En Algérie et au Maroc, il fait face à la violence de camps de réfugiés où règne la loi du plus fort. De véritables marchés aux esclaves. Puis c'est l'épreuve ultime : la traversée de la Méditerranée sur un canot bondé qui, après des heures de mer, s'enfonce lentement dans les flots. Le sauvetage relève du miracle.
Aujourd'hui, après ces années d'exode solitaire, Kouamé reconstruit sa vie. À Toulouse, loin des ténèbres qui ont tant de fois menacé de l'engloutir. Il a 19 ans, une furieuse envie de vivre et de témoigner pour toutes ces ombres qu'on appelle les migrants.
Un récit exceptionnel dont on ressort bouleversé. Et révolté.
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« Je me dirige vers la balance : 33,8 kilos. J'ai encore perdu du poids, une partie de moi est satisfaite. Mais je suis triste aussi : si je continue à perdre, je vais rester longtemps à l'hôpital. Or je dois passer mon bac... J'ai l'impression que la maladie me dévore. Qu'il ne reste presque plus rien de moi. Pourquoi suis-je si contente de maigrir encore ? » Pendant près de deux ans, Solène connaîtra l'enfer de l'anorexie. Dans ce journal intime, elle raconte ce « monstre » qui s'invite à chaque repas et l'empêche de se nourrir : une petite voix obsédante qui lui renvoie l'image d'une fille « nulle », « énorme », « immonde ».
À force de ténacité, d'amour des siens, d'accompagnement du corps médical, Solène finira par retrouver confiance en elle et goût à la vie. Une libération dont cette jeune fille rayonnante, aujourd'hui étudiante, souhaite témoigner pour toutes les autres.
« J'aimerais que ce livre aide les adolescents à mieux s'accepter, à lâcher prise. Qu'il encourage aussi les parents à demander de l'aide aux premiers signes de la maladie. L'anorexie est un cauchemar. À tout moment de la journée ou de la nuit, on se retrouve en détresse, seule, perdue... au bord du gouffre. » Le témoignage bouleversant d'une guérison.
Un magnifique message d'espoir.
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Le combat d'une mère, qui, condamnée à une mort imminente, se démène pour trouver une famille d'accueil qui s'occupera et protégera ses quatre enfants. Son histoire et sa personnalité ont bouleversé la France entière.
Comment vivre la fin de sa vie, quand on n'a pas quarante ans et qu'on est mère de famille ? Lorsque Marie-Laure Picat apprend qu'elle est atteinte d'un cancer fatal à court terme, sa première pensée est pour ses enfants : que deviendront-ils après sa mort ? Résolue à assumer son rôle de mère jusqu'au bout, elle choisit elle-même une famille d'accueil. Aussitôt, elle se heurte à une fin de non-recevoir : non, ce n'est pas à elle de décider du futur de ses enfants mais au juge, après sa mort. Non, rien ne garantit que Julie, Thibault, Matthieu et Margot seront élevés ensemble. Non, ils n'habiteront pas là où ils ont grandi.
Révoltée par l'aberration de la situation, Marie-Laure alerte les médias. Alors, un extraordinaire mouvement de solidarité se met en place, la presse relaye son message : le courage de cette jeune maman émeut le pays et elle reçoit un soutien inespéré. -
Au terme de plus de vingt années de périple dans les pays d'en haut, Nicolas Vanier revient sur ses fabuleux voyages à travers la Sibérie, le grand nord Canadien, l'Alaska, la Laponie.
Avec beaucoup d'humour, d'autodérision, un peu en colère parfois, il raconte ses aventures, seul, en famille ou en équipe, en compagnie d'Indiens, de trappeurs ou d'Inuits. Incroyables, drôles, émouvants ou surprenants, ses récits sont toujours riches d'enseignements : les face-à-face avec les loups, la chasse au caribou, les visions d'un chaman indien, le froid, les ours, l'étonnante complicité avec certains de ses chiens.
Mais bien plus, au fil de ses souvenirs, il nous offre son regard et sa vision du monde, de la nature, des combats qu'il ne faut pas livrer sans discernement, de l'urgence à faire cesser la dégradation de cette nature qu'il aime et connaît si bien.
Quel meilleur moyen, pour nous en convaincre, que de nous entraîner ainsi au coeur de territoires sublimes et inconnus, où la trace de l'homme s'efface devant celle, majestueuse de la nature ?
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" Ma machine à écrire était posée sur une caisse. Je m'asseyais à même le sol, jambes écartées, serrant la caisse entre mes cuisses. Dans le cône de la lumière que diffusait l'abat-jour d'opaline verte, je ne voyais plus que le clavier, mes doigts et ces phrases qui, alignées, régulières, me semblaient dictées par une voix qui naissait dans ma poitrine et emplissait ma bouche d'une salive âcre.
Ces mots, collés l'un à l'autre, allaient devenir des essais, des livres. Je le savais, je le voulais, c'était ça mon vrai destin.
Ma "première vie" n'était qu'une apparence. Un jour, je n'aurais plus à donner le change, à apprendre à faire fonctionner une fraiseuse, à ajuster une queue d'aronde, à subir les sarcasmes d'un professeur d'atelier qui m'accusait de n'être qu'un "bon à rien", un "flemmard", un "prétentieux" qui avec ses grands airs n'était même pas capable de limer en tenant son outil à quarante-cinq degrés.
Je serais libre. "
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"Avant son grand retour sur scène à l'automne, Muriel Robin nous livre sa vie.
Qui se cache derrière ce fabuleux clown qui pourrait être la petite-fille de Charlie Chaplin ?" L'autobiographie de Muriel Robin. Un livre événement !
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« Je ne suis pas une pute, je suis une fillette des Ardennes qui s'est perdue, une femme, une mère, avec un coeur, une âme, qui s'est prostituée pendant plus de cinquante ans. » Linda a aujourd'hui soixante-dix-sept ans. Enfant, elle a grandi dans une maison sans eau, sans électricité... sans argent. Lorsqu'un garçon la séduit et la conduit dans sa Buick à Paris, l'innocente se rêve une autre vie.
Mais en cet hiver 1963, Gérard l'oblige, à tout juste dix-neuf ans, à se prostituer. De morsures en caresses, il l'enchaîne à ce métier. Une plaie s'ouvre, qui ne se refermera jamais.
À travers la voix de linda qui se livre à coeur ouvert, c'est le parcours de toutes les infortunées qui se raconte de l'intérieur - l'extrême violence des débuts, l'engrenage de l'argent, les avortements, les demandes sexuelles les plus effrayantes, mais aussi d'infinis moments de tendresse avec certains clients.
Ce livre, Linda l'a écrit pour sa fille, à qui elle a toujours caché son métier. Une manière de se réconcilier avec elle-même et avec les siens.
Elle l'a aussi écrit pour toutes les adolescentes à qui l'on promet, un jour, de l'argent facile. À ces dernières, elle dit : « On ne s'élève jamais en vendant son corps, au contraire, on descend toujours plus bas, parfois jusqu'aux ténèbres... » Le témoignage de Linda a été écrit avec jean Arcelin.
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En démarrant ce récit, je savais que les pages du génocide et du massacre de ma famille au Rwanda, en 1994, m'attendaient. Je savais qu'écrire cette douleur passée, c'était mettre des petites cuillerées de pili-pili sur la chair encore fraîche d'une plaie que je voulais à tout prix croire fermée. Et, sur le chemin de la rétrospective, j'ai trouvé d'autres plaies. Vives. Brûlantes. Ce livre, il m'aura fallu presque cinq ans pour le finir.
Pour la première fois, le chanteur Corneille revient sur le génocide rwandais, le miracle de sa survie, son espoir infaillible, ses rêves, l'immense succès qui a été le sien, mais aussi ce long recul, ces dernières années, qui lui a été indispensable pour renouer avec son histoire et ses racines.
Le récit poignant, porté par une écriture d'une rare poésie, d'un artiste, mais surtout d'un homme, à la recherche de sa vérité.
Auteur-compositeur-interprète, Cornélius Nyungura, dit Corneille , est né le 24 mars 1977. Parmi toutes les chansons qui évoquent son histoire, Parce qu'on vient de loin et Seul au monde ont bouleversé le public. -
" je m'appelle ingrid betancourt, j'ai quarante ans, je suis mère de deux enfants.
Je suis aussi sénateur dans mon pays, la colombie. je dois beaucoup à la france. j'y ai fait mes études. ce livre, écrit en français, est pour moi une façon de maintenir ce lieu. je voulais raconter mon combat au pays qui m'a appris la démocratie et la liberté. vous savez combien les cartels de la drogue, cette drogue qui ronge nos enfants, sont puissants chez nous. vous entendez parfois parler des tueries et des scandales politiques qu'ils provoquent.
Mais derrière ces organisations mafieuses, il y a mon peuple, un peuple courageux et fier qui veut sortir de cet engrenage infernal. depuis maintenant dix ans, je me bats pour lui. c'est dangereux. mes enfants ont été menacés, j'ai dû me séparer d'eux pendant trois ans, et je risque de les voir partir à nouveau loin de moi. à deux reprises, la mafia a tenté de me tuer. je suis consciente du danger, mais il ne me fera pas reculer.
L'espoir est là. " i.b.
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L'hommage bouleversant de Sylvie Vartan à sa mère Elle est la seule personne qui ne l'a jamais quittée, de Sofia à Paris, de Paris à Los Angeles. Tout tenait par elle. Grâce à elle. Parce qu'elle était là. Toujours.
Sylvie Vartan a retrouvé le journal intime de sa mère, Ilona. Elle a rassemblé toutes les notes qu'elle avait prises après chacune de leurs conversations. Puis elle a composé cet hommage bouleversant à cette femme qui aura été tout pour elle: le pilier, l'alliée, le secours.
Lorsqu'en 1952 ils ont décidé de fuir l'enfer du communisme et de vivre à Paris, les Vartan ont logé dans une petite chambre d'hôtel du quartier des Halles. Pendant trois ans, le père a dormi avec son fils, et Sylvie a partagé le lit de sa mère. C'est là, sans doute, dans ces années où Sylvie Vartan a vu sa mère tomber de fatigue sans jamais se plaindre, que ce lien unique s'est formé.
Aujourd'hui, dans son livre, tout lui revient. Et on se laisse submerger par la puissance de cet amour maternel.
Un témoignage magnifique sur la force de l'amour et le courage des exilés. -
Ils étaient deux. Ne faisaient qu'un. Et José Frèches croyait qu'ils avaient l'éternité devant eux. Mais le 29 novembre 2011, à l'âge de 61 ans, il disait adieu à son jumeau. Ce jour-là, il crut mourir aussi...
Comment rester debout sans son « pareil », son frère miroir, son premier rival ? Longtemps l'écrivain s'est enfermé dans le silence. Jusqu'à ce livre... et ce miracle :
En racontant Jean-Benoît, l'auteur s'est révélé à lui-même. Il a renoué avec la vie.
Nous étions deux est une confession bouleversante. Sur le bonheur et la malédiction des jumeaux, et, au-delà, sur tous ces orphelins qui, un jour, ont perdu leur âme soeur.
Dans ce livre lumineux, José Frèches nous invite à dépasser nos chagrins et à célébrer le goût de vivre retrouvé.
Un récit à coeur ouvert, aussi intimiste qu'universel.
José Frèches est l'auteur de best-sellers traduits en vingt et une langues, comme Le Disque de Jade, L'Impératrice de la soie et L'Empire des larmes.
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Survivre avec les loups ; la véritable histoire de Misha Defonseca
Lionel Duroy
- Xo
- 29 Septembre 2011
- 9782845634152
Les lecteurs se sont passionnés pour l'histoire de Misha Defonseca, cette petite fille qui traverse l'Europe en guerre à la recherche de ses parents. Après le succès, l'opprobre, quand les faits relatés se sont révélés faux... Pas de survie grâce aux loups, pas de voyage... Et pourtant... Que se passe-t-il dans l'esprit d'un enfant que le réel traumatise ? Pourquoi cette femme devenue adulte va-t-elle finalement choisir la mythomanie ? Au terme d'une enquête étonnante, c'est la véritable enfance de Misha que raconte Lionel Duroy et cette fois, la réalité va dépasser la fiction...
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Un jour de l'été 2006, alors qu'elle marche sur les Champs-Élysées, Mireille Darc croise le destin en la personne d'une inconnue qui lui fait une déclaration stupéfiante.
Cette femme a reçu un « message » pour Mireille de la part de sa mère disparue depuis dix ans. Elle veut lui révéler qui est son vrai père.
Incrédule, Mireille Darc prend le temps de réfléchir... puis sa nature curieuse et son intuition l'incitent à creuser. Elle nous raconte dans ce livre son enquête dans les non-dits de sa famille. Sa plongée dans la jeunesse de sa mère, sa quête de l'homme qui l'a peut-être aimée, sa reconstitution des murmures familiaux.
Et peu à peu tout s'éclaire, le puzzle inachevé de son enfance se complète.
Un livre troublant et bouleversant.
« L'homme dont je raconte ici le destin flamboyant et tragique est-il réellement mon père ? Je le crois avec suffisamment de force pour oser ce livre. Je le crois au plus profond de mon âme. Et puis si la vérité a un lien quelconque avec le bonheur, avec la paix intérieure, alors je n'ai plus aucun doute : pour la première fois de ma vie déjà longue je me sens heureuse et légère. Comme si on me déchargeait enfin de la rancoeur entêtante et injuste de Marcel à mon égard, pour me donner le père que j attends depuis l'enfance. » Mireille Darc
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Née dans un camp forestier du nord de la Chine, cette jeune Chinoise s'est juré de sortir de la misère. Arrivée en France à force de courage et de volonté, elle s'est fixé un nouvel objectif : faire aimer la Chine aux Français.
« Dans mon bureau à Shanghai, une étrange apparition me tétanise : un petit cochon noir l'oeil droit cerné d'une tache rose me regarde. Personne ne le voit sauf moi. Que m'arrive-t-il ? Serais-je gravement malade, comme grand-mère qui voyait des renards avant sa mort ? Pourtant je n'ai que 27 ans et encore tant de choses à accomplir, à ma naissance, mes parents avaient tout juste de quoi nous nourrir, mon frère et moi. Notre seule richesse, c'était le savoir de grand-père. Mais moi, comme j'étais une fille, je n'avais pas le droit d'écouter les leçons qu¹il donnait à mon frère. Grand-père m'a tant répété que je ne comptais pas que je me suis fait une promesse : j'apprendrai et en plus, je donnerai à toutes les filles les livres qu'on leur refuse. Et moi seule déciderai de la vie que je veux mener. » Des forêts de Mandchourie jusqu'à Paris, Fei raconte son incroyable destinée. Sans argent ni diplômes, dans une Chine en pleine mutation, cette autodidacte emprunte des chemins escarpés qui la mènent en France, son pays de coeur. Son ambition désormais est de faire connaître la Chine qu'elle aime tant, sa culture millénaire, ses richesses modernes et ses paradoxes pour que cette grande puissance cesse de faire peur et fasse rêver.
Fei est arrivée à Paris à l'âge de 24 ans. Il y a deux ans, elle a décidé de lancer sa maison d'édition pour se consacrer à sa passion : les échanges culturels entre la Chine et l'Occident, à travers l'adaptation de bandes dessinées chinoises. Cette année, elle a décliné les aventures du Juge Bao, aussi célèbre en Chine que Maigret en France.
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Et pourtant, l'histoire avait commencé comme un conte de fées.
A dix-neuf ans, farah diba épouse mohammad reza shâh pahlavi. la vie de cette jeune fille bascule en l'espace de quelques mois, elle est sacrée impératrice, elle apparaît dans la presse du monde entier. tout en donnant naissance à quatre enfants, la jeune reine assume son nouveau rôle avec beaucoup d'humanité, s'engageant dans de nombreuses actions sociales et culturelles. vingt ans plus tard, la gloire se transforme en cauchemar manifestations, émeutes, et le départ précipité du shâh, déjà gravement malade, exilé à jamais sans trouver de refuge, errant des bahamas au mexique, caché un temps dans un hôpital new-yorkais, avant de trouver celui qui aura le courage de les recueillir, le président anouar el adate - lui-même assassiné par les intégristes un an et demi plus tard.
Pour la première fois, la shahbanou farah, épouse du dernier empereur d'iran, rompt le silence. elle raconte son histoire d'amour avec un homme et un pays. un récit bouleversant.
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" Lorsque l'on me demande d'expliquer mes origines familiales, ma réponse est standard : "Mon père était grec, ma mère française, mon grand-père danois, ma grand-mère russe et l'autre grand-mère à moitié espagnole, chacun de ses personnages appartenant à la famille royale de son pays. "
En effet, son père, le prince Christophe de Grèce, était grec, mais son grand-père paternel, Georges Ier, était un prince danois que la Grèce avait su convaincre de venir régner sur ses terres et qui avait épousé (souvenons-nous de La nuit blanche de Saint-Pétersbourg !) la jeune grande-duchesse russe Olga, nièce du tsar... Quant à sa mère, Françoise, soeur du comte de Paris, elle appartient à la grande famille de la Maison de France, remontant à Louis XIII et comptant dans ses rangs le duc d'Orléans et Louis Philippe. Ajoutons que Michel de Grèce est entre autres cousin de Philip d'Édimbourg, époux de la reine d'Angleterre, du roi d'Espagne et de la reine du Danemark.