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Paulo Ramand
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Des caméras et des grilles protègent les établissements nucléaires des regards indiscrets. Mais qu'y a-t-il à voir au juste de l'autre côté ? La radioactivité n'a ni substance, ni couleur. Les responsables de cette industrie sont anonymes. Les directeurs, actionnaires, politiques et services de communication ne parlent que de « transparence » ! Quant aux travailleurs qui opèrent dans ces installations, ils se font si discrets qu'on pourrait croire qu'ils n'existent pas. Ces invisibles se rendent chaque jour de l'autre côté de ces clôtures. Ils quittent notre monde pour celui de l'atome. Ils évoluent dans un univers où les lois de la physique, de l'infiniment petit échappent aux sens. « Je suis décontamineur dans le nucléaire » vous raconte ce qui se passe à l'intérieur des centres de productions, recherches, essais...
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Née près de Nantes, c'est à Cholet qu'elle posera ses valises après un douloureux divorce parental.
Un jour, son petit-fils âgé de 12 ans, SÉRAPHIN, lui posera cette question :
« Dis, mamie, pourquoi t'es seule ? » On dit que la vie est un grand livre qu'il faut écrire. Très jeune, des manifestations paranormales se matérialiseront à elle sous forme auditive puis visuelle. Elle s'éveillera aux mystères des énergies qui nous entourent. Livre déstabilisant qui parle de son enfance ratée, des mystères de l'invisible, de l'univers qui lui répondra. Elle libérera ses souvenirs et son vécu grâce à l'écriture.
En arrière-plan une belle histoire d'amour où le médium et la spiritualité se chercheront et se confronteront. Comme une enquête, elle suivra le cours de son évolution.
Des histoires extraordinaires survenues à une femme ordinaire, un livre à lire et à méditer.
Ceci est un récit autobiographique. -
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Meidel SCHAEFFER dépeint une relation fusionnelle, complexe et douloureuse entre une mère et sa fille. D'une plume acérée, mais aussi poétique, elle décortique chaque personnage avec la plus grande lucidité, et décrit avec exactitude et réalisme des situations difficiles, parfois cocasses. Elle nous livre un récit où de nombreuses mères pourraient se reconnaître.
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Elle avait 20 ans en mai 68, Elle était prête à offrir à l'amour le lit somptueux d'une révolution, Elle raconte son enfance et son adolescence de quidam, qui tient à le rester, Elle nous replonge dans l'ambiance des années 50 et 60 à Lyon et à Paris, et c'est bien agréable.
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Eric, Maïa, Victor... et moi ; vie et cancer enfin réconciliés
Alain Maitre
- Paulo Ramand
- 15 Avril 2009
- 9782754301060
Ce premier livre retrace l'évolution psychologique de l'auteur, né en 1935, tout au long des quatre années qui ont suivi la découverte de son cancer de la prostate. Il met en scène cinq personnages principaux, nés au fil des ans : Éric, le cancer. Une fois réalisée son agression, il reste très présent dans le premier acte de cette pièce jouée à rideau tiré. Son rôle est ici celui d'un observateur aussi muet qu'une pierre tombale. Maïa, une femme extraordinaire. De l'auteur elle est l'anima, cette créature identifiée par Carl Jung. Mais cette anima est aussi une vraie femme qui fait du lèche-vitrine avec sa soeur Victoria, discute avec elle à la terrasse d'un café, envoie une lettre manuscrite, retourne dans sa lointaine planète suivre des cours à l'Hyper-Faculté, revient sur la Terre. Victor, le médecin urologue. Éminentissime chirurgien, il aurait pu connaître aussi une brillante carrière politique : en effet, il élude les questions posées, évite de répondre aux questions non posées et s'engage sur l'avenir seulement quand le terrain lui paraît suffisamment consolidé. Moi, le patient. Objet de la sollicitude d'Éric et tel un Janus bifrons, je suis aussi l'auteur de cette pièce du théâtre de la vie, à nulle autre pareille. Victoria, la soeur de Maïa. Elle est l'anima de Victor et assure l'intérim de Maïa pendant sa longue absence.
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La lente agonie d'un père. Une souffrance atroce marquée dans la chair. Le présent qui flirte avec le passé, la vie avec la mort. Un amour filial jamais exprimé mais pourtant bien réel : le narrateur assiste impuissant à la déchéance de son père rongé par un cancer après une vie professionnelle exposée à de dangereux produits chimiques. Mais au-delà de l'hommage au père gravé dans ce livre, des interrogations claquent comme une gifle : le profit justifie-t-il les ravages des produits chimiques sur la santé de tous ? L'ingénieur chimiste dans son laboratoire, le fabricant de produits dans son usine ignorent-ils qu'ils tuent ? Que feriez-vous si votre père vous demandait de l'aider à abréger ses souffrances ? Autant d'interrogations qui ébranlent nos convictions les plus profondes. Voici une belle leçon de valeurs qui pourra aider tous ceux qui ont vécu un deuil.
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Il était un peu plus de vingt heures ce 28 octobre 2006. Je m'échauffais avec mes autres coéquipières de l'équipe de basket dans laquelle j'évoluais, l'équipe adverse était redoutée. ce serait un match dur. cette remarque lourde de sens allait transformer le cours de ma vie, j'étais alors loin d'imaginer à quel point tout ce qui suivrait serait dur. Je n'avais pas pu imaginer qu'avec la reprise de ce sport, qui avait été une véritable passion des années auparavant, je vivrais l'enfer, celui de l'algodystrophie, celui de l'incompréhension et de la solitude, celui du mépris. Je ne savais pas encore que j'allais perdre mon emploi, J'étais loin d'imaginer que j'aurai à me justifier d'avoir été malade et d'avoir perdu mon emploi plusieurs mois plus tard. comme si l'expérience vécue n'était pas suffisamment douloureuse. Ce livre est une tranche de vie, comme on n'aimerait jamais avoir à en vivre, un parcours semé d'embûches, que l'on ne souhaite à personne mais qui fait tant grandir !
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Dans mon coeur, en transit jusqu'au dernier voyage : nos derniers pas
Marie-hélène Ghesquière hampe
- Paulo Ramand
- 19 Septembre 2019
- 9782754308014
« L'écriture, tel un médium, m'a menée à lui. » Les mots posés sont étalés telles des notes de musique sur une portée, les unes plus graves que les autres.
Elles vibreront selon vos sensibilités, mais elles ne resteront pas muettes.
J'ai rétabli un lien brisé trop subitement pour en créer un autre indestructible.
La vie et la mort m'ont fait face et je les ai acceptées. J'ai che-miné entre tristesse et joie, mais c'est encore l'amour qui m'a per-mis d'avancer.
Je suis fière de l'homme qu'il a été.
La stèle qui lui a été offerte par les autorités communales est une bataille gagnée pour lui.
Ces écrits s'adressent aussi à tous ceux qui peinent à trouver la lumière après le départ d'un être cher. -
Dans cette « Lettre de noblesse », l'auteur nous raconte sa propre histoire à travers le voyage.
Issu d'une famille pauvre de la banlieue dakaroise, il rêve d'aller poursuivre ses études de sciences humaines dans les pays d'Europe pour, plus tard, rentrer et aider sa famille à sortir de la misère.
L'eldorado qu'on lui a tant vanté est revêtu d'illusions et parsemé d'obstacles.
Tiraillé entre la pression du bled et la réalité de l'Europe, il se battra de toutes ses forces pour gagner sur les deux plans.
Ainsi se dessine son évolution, semée d'embûches dans la restauration. Au plus bas de l'échelle, jusqu'à la table préférée de Jean-Paul Sartre et Albert Camus, à la Coupole de Paris.
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Peut-on appeler humain ceux qui séparent amour et connaissance ?
L'auteur nous pose cette question fondamentale, en nous invitant à suivre un voyage initiatique, son chemin de vie. Il répond très clairement que non. Ce livre humble nous fait peur, nous donne l'espoir, nous fait pleurer et nous fait rire, pour entreprendre le chemin depuis la dualité vers l'unité, pour sortir des carcans de l'homme rouge, homme de sang pour devenir homme vert, homme de lumière. Selon l'auteur, l'humanité est face à ce choix aujourd'hui, il s'agit de libérer l'humanité et établir le royaume éternel où le seul mystère qui demeurera est l'amour, et une éternité ne suffit pas pour sonder ses mystères. C'est la raison d'être du royaume éternel. Y a-t-il encore de l'huile dans vos lampes ? Ça c'est l'interrogation universelle, car comme les milliers de graines que porte une fleur, seul un certain nombre est appelé à prendre racine. La trajectoire a toujours été définie. Le cercle se ferme. -
En lisant cet ouvrage, vous serez violemment heurté par tout ce qui fait de nous des êtres humains.
Aucun sentiment ne vous sera épargné : l'admiration de ces combattantes, l'horreur et la colère contre l'inique maladie, l'émerveillement et la joie sous un magnolia, la douleur empathique, la tristesse et la nostalgie au départ de Geneviève.
Émilie-Flore Faignond en vous livrant, sous sa plume alerte et sensible, les siens, éveille les vôtres. Talent de l'écrivaine de partager son ressenti, son univers, son vécu pour vous amener à réfléchir sur le vôtre, à vibrer à l'unisson.
Ce livre est le combat éternel d'Eros contre Thanatos, dans la maladie inéluctable d'une femme forte, belle et courageuse, et de tous ceux qui l'aiment.
Quel modèle que cette femme qui lutte pour rester en vie, quel courage que celui d'Émilie qui l'accompagne, qui nous décrit sa souffrance, ses peurs.
Cet ouvrage pourrait être dédié à toutes les personnes souffrantes, malades, à tous les aidantes, les aidants qui accompagnent, aident et compatissent.
A toutes celles et ceux qui livrent des guerres dont ils connaissent l'inéluctable fin, mais qui continuent le combat.
A vous lectrices, lecteurs qui n'oublierez jamais Athéna !
Car « la mort est un moissonneur qui ne fait pas la sieste » CERVANTES, Don quichotte.
A toutes ces héroïnes de la Vie.
