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Melibee
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Il y avait le jour, il y avait la nuit, il y avait l'inceste
Mathilde Brasilier
- Melibee
- 19 Février 2015
- 9782362527531
Je suis chaque matin l'enfant qui arrive à l'école sans ses chaussures, en pleurant, mais quelle chance. son père est venu jusqu'à l'école, en courant le long du boulevard Saint-Germain pour que sa petite fille ait ses chaussures aux pieds et s'arrête de pleurer. Et que la honte d'avoir les pieds nus, elle est dérisoire face à une blessure en sept lettres, qui commencerait par la lettre « I », et ne se terminerait jamais. J'avais cinq ans. Je me sentais désavouée dans l'indifférence du monde. » Maud Steiner, fille d'un père architecte Prix de Rome et d'une mère sculpteur, a grandi à Saint-Germain-des-Prés dans les années 60. Après le suicide de son frère Fabien, elle cherche durant quinze ans une explication. Au cours d'un travail thérapeutique, des flashs de sa petite enfance réémergent. L'amnésie s'efface.
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Avec une grande sincérité, beaucoup d'honnêteté, mais aussi parfois avec un peu de détachement, un jeune homme qui a été engagé dans la guerre d'Algérie, malgré lui, témoigne. Il ne s'attendait pas à rencontrer les évènements qu'il a connus et qui se sont révélés hors du commun par rapport à ce qui peut se passer dans la vie courante. Il en retire des impressions personnelles, se révolte contre la guerre et cette immense organisation criminelle qui entraîne tout le monde dans un univers maudit. Il la ressent comme une vaste injustice dont nous sommes tous responsables. D'où son sentiment de culpabilité. Pour lui, il s'agit d'une forme de malheur diffus qui s'est abattu sur les hommes pour des raisons obscures qui lui échappent. Il ne s'agit pas d'un péché contre la morale, mais d'un péché contre l'esprit. Ceux qui se battaient au péril de leur vie n'étaient pas immoraux, mais simplement manipulés. Mais l'auteur retire aussi de cette expérience exceptionnelle une sorte de philosophie qui le conduit à penser que la vie se révèle, dans des circonstances comme celles-là et plus que jamais, comme la plus grande des richesses. Alors pourquoi la sacrifier ?
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Collectivités territoriales : les noms dits !
Isabelle Chaumard
- Melibee
- 2 Septembre 2013
- 9782362523878
Ouvrons la porte sur les dérives et l'oligarchie qui gangrènent les collectivités territoriales, en nous glissant dans les coulisses du Conseil Général de la Dordogne.
Pour les citoyens et les agents honnêtes, les conséquences peuvent être gravissimes.
Mon précédent ouvrage dénonçait un système mais préservait les identités. Suite à sa publication, citoyens et médias locaux ont réagi. Mais cela n'a pas permis que soient modifiées les pratiques au sein du Département concerné. Bien au contraire, qualifié de pamphlet par le Président du Conseil Général de la Dordogne, mon livre a été accueilli par ce dernier comme une provocation.
Je suis aujourd'hui dépositaire de nouveaux dossiers. L'organisation clientéliste qui sévit au sein de certaines collectivités décline ses conséquences sur chacun d'entre nous. Département témoin, la Dordogne illustre les dérives autorisées par le tabou et l'omerta d'un système néo-féodal.
Protection de l'enfance, service public, gestion de la solidarité, violence institutionnelle, clientélisme, occupation de l'administration par le politique, utilisation des finances publiques?: ces éléments ne peuvent être passés sous silence.
Ainsi je réponds à mes concitoyens qui réclament des noms, car la seule dénonciation d'un système s'est révélée inopérante. L'intérêt collectif est mon moteur.
À une époque tourmentée par les affaires, il appartient alors à chacun d'entre nous de faire un choix?: collaborer au silence complaisant, et laisser ainsi perdurer ces pratiques, ou exiger du législateur la protection des lanceurs d'alerte dans les collectivités, la création d'un organe de contrôle indépendant et décisionnaire, et le non-cumul des mandats dans la durée comme dans le nombre.
Les situations décrites dans cet ouvrage ne sont pas des anecdotes ayant pour objectif d'animer les repas du dimanche. Elles sont aujourd'hui portées à votre connaissance car elles relèvent de la responsabilité collective.
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Année noire en Afghanistan, jeudi tragique ce 4 août 2011, au cours de l'été qui restera le plus meurtrier pour l'armée française engagée depuis 2001 dans cette lointaine contrée d'Asie Centrale. Ce jour-là, une terrible explosion pulvérise un des trois véhicules blindés qui réalisaient, de nuit, une liaison entre la région du Parwan et la Kapisa. Trois hommes sur les cinq occupants sont blessés, dont l'un très grièvement. Le pronostic vital est engagé.
Déclaré mort clinique durant le trajet en hélicoptère vers hôpital militaire français de Kaboul, le lieutenant-colonel du groupement commando montagne est miraculeusement ramené à la vie. S'en suivra un long combat de trente-cinq mois pour se reconstruire, accepter ce dur coup du sort, le handicap et le regard des autres.
Le sien, en permanence tourné vers les sommets qui l'attendent, puise dans les cimes des Alpes et les yeux de son épouse la force de se battre inlassablement. Il n'a rien lâché car la vie mérite toujours d'être vécue intensément, handicapé ou non. « Tout ce qui ne tue pas rend plus fort ».
L'amour de l'épouse, les prières des amis chers et l'énergie des équipes soignantes ont eu raison de la fatalité. Le combat contre les blessures, les douleurs et le handicap a été gagné. Pour ceux qui souffrent quotidiennement dans leur chair, qui doutent de l'avenir, il y a toujours une lumière au bout du tunnel.
Né en 1959 en Normandie, Laurent Catelain a répondu à l'appel des cimes dès son plus jeune âge. Engagé dans l'armée de Terre à 17 ans, c'est tout naturellement qu'il embrasse une carrière au sein des troupes de montagne, gravissant un à un les échelons du jeune sergent au jeune lieutenant-colonel. Féru de compétition et de sports extrêmes, repoussant sans cesse ses limites, les blessures ne l'ont pas épargné. Se relevant à chaque épreuve pour toujours aller de l'avant et vivre ses deux passions, il dédie ce témoignage aux blessés de guerre et de la vie.
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La première femme que l'homme découvre à sa naissance, est sa propre mère, dont il est rapidement séparé dès la section du cordon ombilical.
Freud, le père de la psychanalyse, a révélé à quel point l'inconscient engendre chez l'enfant des phénomènes de transfert vis-à-vis de ses parents, transferts qui peuvent être de nature positive ou négative. Or, au vu du milieu et des circonstances si particulières qui entourèrent la naissance de l'auteur, il était peu probable qu'il échappe à ce genre de phénomènes.
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« C'est l'histoire d'un jeune couple qui s'aime avec passion et qui décide de former une famille. Le 30 mars 2012, Cameron vient au monde, un petit garçon au métissage rare guadeloupéen indonésien.
La famille idéale que j'ai toujours voulu avoir, jusqu'à ce jour du 5 novembre de la même année, où notre vie tourne au cauchemar... ».
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Au soir de sa vie, un vieux monsieur se penche sur son passé.
Durant les années 30-40, il était enfant, puis adolescent en Béarn, à Nay, dans l'atelier d'ébénisterie de son père. Au fil des souvenirs, il se rappelle ses bonheurs, ses rêves, ses doutes et ses peurs. Il retrouve ses rires et ses larmes. À travers tous les personnages qui habitent son récit, il fait revivre une famille, une ville et un monde à la veille de la guerre.
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La tête haute, les yeux vers le ciel ; mon amitié et mon combat pour un condamné à mort au Texas
Stéphanie Chasseloup
- Melibee
- 27 Décembre 2013
- 9782362524172
Ce livre relate ma relation de presque trois mois avec le condamné à mort au Texas, Michael James Perry.
Quand j'ai « rencontré » Michael, il avait vingt-sept ans et il ne lui restait plus que quelques semaines à vivre. Nous avons communiqué par lettres et de cette correspondance est née une amitié profonde sur fond de combat acharné. Croyant en son innocence, j'ai tout fait pour tenter de lui sauver la vie...
Stéphanie Chasseloup
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Ce manuscrit est la suite logique et évidente du combat de toute une vie de femme pénaliste.
Il se veut une réponse à la question que des milliers de personnes se posent : ''Mais comment peut-on les défendre ?'' Il y a dans ce questionnement de l'indignation, de la crainte, une incompréhension des motivations de l'avocat, des décisions rendues, et des réponses apportées par les politiques.
Qui sont ces hommes qui ont tué, violé, braqué ? Et pourquoi ont-ils agi ainsi ? Sont-ils curables ?
Comment protéger nos enfants et en même temps ne pas oublier que l'auteur d'un crime reste un homme qui doit retrouver un chemin vers plus de dignité et de conscience ?
Peut-on lutter contre la récidive et favoriser la réinsertion ?
S'il y a des responsables autres que les auteurs d'un crime, qui sont-ils ?
Cet ouvrage tente d'apporter des réponses à toutes ces questions, et des solutions, avec une approche autre que celle enseignée dans les universités.
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C'est le livre de souvenirs d'une grand-mère qui a connu le Bordeaux d'avant la deuxième guerre mondiale, puis son occupation, ainsi qu'une partie de l'Afrique au temps des colonies.
C'est aussi l'histoire d'une vie avec ses joies et ses peines, mais racontée sans complaisance dans un style clair, sans prétention et agrémentée d'une pointe d'humour.
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Élevée dans une rigidité implacable, le ressort se détend d'un coup violent quand Eden réalise qu'elle peut quitter le carcan impitoyable qu'elle connaît trop bien.
Voyages en stop, sexe, rock'n'roll, prise de risques, drogue et alcool. 43 pays plus tard et des rêves qui demeurent à réaliser, elle a soif de vivre et de trouver les dernières clés de sa liberté.
Laissez-vous envoûter par ce récit initiatique, puissant, unique.
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Ma vérité est l'histoire d'un petit garçon blond, qui va traverser tous les aléas de la vie avec difficulté. Alger, Guéthary, Bordeaux, Saint-Macaire, Mont-de-Marsan en sont les étapes accompagnées de hauts et de bas. Il finira malgré tout par retrouver l'équilibre et la sérénité auprès de la femme qu'il a toujours cherchée tout au long de son difficile parcours. Il trouvera enfin l'accomplissement auprès d'elle.
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Michel AUBERT se présente volontiers comme un Français ordinaire, né au début des Trente Glorieuses en Charente Maritime. Il se plaît d'ailleurs à goûter la saveur du patois charentais :
Qu'é tou qu'olé ?
(Qu'est-ce que c'est ?) Olé t'un rigaillou !
(C'est un petit ruisseau, un ru !) On va zou voère à c't'heure, avant qu'ô mouille ?
(On va le voir maintenant, avant qu'il ne se mette à pleuvoir ?) Avec ces Souvenirs parfois osés ou zinzin, il voulait raconter son enfance, sa timidité vis-à-vis de la gent féminine, son côté écolo, ses engagements dans des associations et en politique, en somme, son « petit tourbillon de vie ».
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José Yvars est né en 1941 à Koléa au coeur du Sahel algérois. Mais c'est près d'Alger à Zéralda, la perle de la côte de Turquoise, qu'il passe son adolescence et sa jeunesse entre collines rayonnantes et mer Méditerranée. En 1961, à vingt ans il intègre les tirailleurs algériens à Relizane. Soldat de deuxième classe, il nous relate la beauté de cette Oranie qu'il découvre et nous décrit sa guerre au « ras des troupes » en participant à ce conflit sans nom dans l'Ouarsenis et les steppes d'Oranie. Il assiste alors, impuissant, à la décomposition de son pays, esseulé mais confiant au milieu de ses compagnons et frères d'armes arabo-berbères dont il admire le courage et la fidélité à la France. Il décrit leur destin tragique au cours de cette période dramatique avec la précision du témoin visuel et la gravité émotionnelle de l'enfant du pays pris dans la tourmente. Son texte autobiographique s'enrichit de souvenirs émouvants, de précisions historiques, de révélations inédites et de descriptions minutieuses de cette terre d'Algérie meurtrie mais émesurée dans sa lumière et sa magnificence, revisitée dans une profusion de détails paysagers et d'émotions nouvelles. Il consacre une grande partie de ses lignes à la beauté des paysages de son Algérie natale avant et après l'indépendance du pays. Il nous fait voyager sans répit mais avec allant d'un bout à l'autre du pays en guerre, puis en paix, jusqu'au déchirement de la séparation et du "Dernier printemps de l'Algérie Française" et la voie inexorable du "Chemin sans retour". Sur la fin de son récit riche d'amour et d'action, il nous livre enfin l'essentielle vérité sur le secret des jardins d'Alger.
Sans haine et sans descriptions de violence, ce livre souvenir écrit et édité spécialement pour la commémoration en 2012 du cinquantenaire de la perte de l'Algérie française est un hymne à la beauté de l'Algérie que l'auteur décrit avec passion et qu'il glorifie de l'appellation de... Terre des hommes, en hommage aux femmes et aux hommes exceptionnels qui l'ont bâtie.
À lire et à conserver pour les générations futures.
La préface est signée Jacques Derivière, dernier président des Anciens Combattants d'El-Biar et ancien président de la Confédération Européenne des Anciens Combattants - Croix de guerre 39/45 - Officier de la légion d'honneur.
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Pierrot, est un homme en souffrance, portrait d'un de ces gus qu'on croise dans la rue sans le voir ; et par lequel l'auteur laisse transparaître son histoire.
Cet ouvrage, prétexte pour l'auteur, de livrer son propre message en filigrane, évoquer le passé, régler ses comptes aux institutions, à l'indifférence, au racisme rampant, à l'exclusion. Ce parti pris est évoqué plus clairement par le titre « Salut ma hargne », qui donne immédiatement le ton.
Chacun y retrouvera sa part de vérité, son propre miroir. Cet essai, se nourrit du quotidien, des craintes, tourments, misères, mais aussi du besoin de chacun de retrouver des valeurs. Un brin de nostalgie parcourt le roman par la complicité de deux hommes qui échangent leurs souvenirs. Le plus lucide, le moins abimé, conte les anecdotes savoureuses de leur connivence, de leur aventure humaine, tout simplement.
L'ambition de l'ouvrage, est d'éveiller nos consciences, regarder autrement les anonymes, démontrer qu'il n'y a pas de destinée fatale mais personne n'est à l'abri de connaitre la galère.
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Janette LE HIR nous livre ici une magistrale leçon d'espérance.
Elle reprend d'ailleurs pour le titre de son ouvrage, l'expression prémonitoire employée à son égard par le Juge des Enfants qui prononça son émancipation dès l'âge de 17 ans : « Vous avez commencé par les épines, vous finirez par les roses !!! ».
Son récit est en effet entrecoupé d'évènements dramatiques d'une grande intensité émotionnelle. Parmi ceux-ci, la perte d'une mère à l'âge de 14 ans, la déchéance de son père inconsolable jusqu'au suicide. La maladie qui emporte son premier mari, puis le second, la mort soudaine de son frère bien aimé et enfin celle de son unique fils Patrick. Pourquoi tant de malheurs s'abattent-ils sur une même personne ? Ce sera pour elle, toujours, un motif de grande incompréhension dans l'existence, un mystère que renforce une curieuse coïncidence entre les dates et les chiffres liés à ces évènements malheureux.
Et pourtant, dès le début, les ferments de cette espérance sont bien là : Une enfance heureuse, dans une famille aimante et soudée, une curiosité de la vie inculquée par des parents attentifs et ouverts au monde, puis la pratique du sport de façon intensive, l'amour de la nature, et de toute façon, une volonté farouche de s'en sortir, de la ténacité et de la constance dans le travail. Tout ceci amènera Janette à connaître, malgré les vicissitudes, une vie heureuse et passionnante, découvrant le monde au cours d'une série impressionnante de voyages, qu'elle relate ici, redécouvrant l'amour d'un compagnon à un âge où certains rentrent en maison de retraite et n'attendent plus rien de la vie. Janette nous fait partager ce parcours peu banal, avec simplicité et enthousiasme à travers un récit léger et remplit d'anecdotes savoureuses.
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Ce récit est celui d'une femme d'une cinquantaine d'années qui se retrouve, après de multiples cures infructueuses, dans une clinique privée, pour se sevrer définitivement de l'alcool qui détruit sa vie et celle de ses proches.
Ce témoignage se présente sous forme d'un journal. On y trouve le difficile parcours de sa vie dans ce milieu hospitalier, mais aussi de nombreux flash-back relatant les graves dérives dans lesquelles l'ont entraînée l'alcool.
Ce livre se veut être un livre d'espoir.
Un encouragement pour tous ceux qui souffrent au quotidien de cette addiction.
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Quatre ans de complicité, de rejet, de repli sur soi, de perte de confiance, et puis d'espoir, celui de gagner l'Amour de l'Autre, pour elle toute seule.
Et puis c'est la déchirure, l'enlisement dans la déception, dans le désespoir de la page à tourner pour toujours, pour repartir à la recherche de son identité à elle. Ne plus faire les mêmes erreurs, ne plus tomber dans l'inclination régulière. Parce qu'il y a Paul l'homme marié, l'excessif qui la rend « folle », celui qui la fait vibrer intensément, coûte que coûte, l'objet de conflits permanents, celui qui la conduit aux limites du supportable, qu'il va falloir quitter. Et il y a les autres, ceux qui l'écouteront, lui ouvriront un chemin plus vivable pour une vie sentimentale plus légère, faite de rencontres apaisantes, de joies simples et non plus de conflits permanents.
Clotilde Marie livre au lecteur son journal, le témoignage d'une expérience troublante, complexe et constructive à l'issue de laquelle l'horizon apparaît plus clair, plus serein.
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Histoire pratique d'une vie sociale ; 40 années d'une vie de DRH
Jean-pierre Leclère
- Melibee
- 19 Avril 2012
- 9782362521058
JP LECLÈRE, consultant en recrutement, chef du personnel en usine, directeur de formation, DRH, rencontre des gens aussi divers que J. Gandois, L. Le Floch- Prigent ou A. Sirven. Il réalise des projets de transferts d'usine dans le cadre de négociation gagnant/gagnant. Ses différents managers ne le laissent pas indifférent. Il fut aussi conseiller en restructuration sociale dans l'équipe de R. Soubie chez Altédia. En parcourant ces 40 années de pratique de vie sociale vous entrez au coeur de ces « RH », où se crée l'histoire, petite et grande, des décisions sociales. Ce livre n'est ni une thèse, ni un essai ! C'est la peinture fidèle d'une histoire vue de l'intérieur : regard concret, sans compromission, au coeur de négociations sociales, de combats de pouvoir et de sombres magouilles. C'est un témoignage lucide sur l'irruption du financier comme seul agent-moteur de l'entreprise ! Le « social » devient un luxe. La productivité des effectifs prend le dessus ! L'actionnaire prend l'avantage sur le salarié !
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« Syndic, un mot qui claque comme une voile tendue par le vent, un nom qui, dans le monde des gens de mer, désigne un médiateur ».
J'aime cette définition.
Les copropriétés sont des repaires pour tous types d'énergumènes - hommes ou femmes - l'auteur nous emmène faire leur connaissance : il y a Tati, « H », « Bibi, Riri et Fifi », la mère TATZY, monsieur JEFAITOUT, une grand-mère tellement adorable, Mu d'goret, Don Quichotte, le Colonel, la Cyclothymique.
Et puis, il y a les petites histoires, les menaces de mort.
Le récit ne pouvait pas s'achever sans une dédicace particulière à mes grands hommes, qui ont quitté ce monde, que j'ai côtoyés et particulièrement appréciés.
Assurément, « le syndic règle ses comptes »
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Quelque part en France, en province, Olivier Lemaitre trace dans son journal les mots ordinaires d'une vie singulière. Il écrit par nécessité, comme d'autres font du sport, pour maintenir ses idées claires. Passant du rire aux larmes, de l'ombre à la lumière, l'encre en réaction révèle son mode de vie : une façon de se tenir.
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Anne vit très heureuse en Vendée quand tout bascule .
Une nuit terrifiante du mois d'août 2003, Anne, 26 ans, mariée, jeune maman de Quentin 3 ans, victime d'un AVC appelé Loock-In Symdrom ou syndrome de l'enfermement. Elle raconte son histoire triste, émouvante et malgré tout, des moments inoubliables.
Elle rédige tout son témoignage à l'aide d'un clavier virtuel et d'un logiciel spécial.
Tétraplégique et muette, comment va-t-elle s'en sortir ?