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La Decouvrance
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Nous, les couillons ; maux et mots de Poilus charentais
Michel Teodosijevic, Anne Bosset
- La Decouvrance
- Ecrits D'ouest
- 20 Août 2016
- 9782842659028
Ce conflit absurde aurait pu ne pas avoir lieu, mais il en fut autrement. Et aujourd'hui pour nous 14-18 marque un sommet dans l'universalité de la souffrance aveugle, celle des bêtes de somme, de la chair à canon, descouillonsdu texte, fusillés pour l'exemple, ou simplement morts au combat, gazés, ou alors survivants mutilés, gueules cassées, fous... Et cela quel que soit leur camp.(Patrick Boman)Lescouillonsse sont évidemment lespetitssouvent méprisés par d'aristocrates officiers au sens de l'honneur haut placé. Ceux que l'on sacrifie facilement pour reprendre une tranchée qui sera à nouveau perdue le lendemain. Ce sont souvent de jeunes paysans qui découvrent le monde et constatent ce que l'homme est capable de faire... en matière d'autodestruction.
Une série de textes qui donne la parole aux soldats par l'intermédiaire de phrases issues de leurs correspondances ou de journaux. Retirées de leur contexte, parfois empreintes de naïveté, elles gagnent en force et en émotion. Par exemple, lorsqu'un Poilu avoue de façon anodine dans son journal qu'il s'est caché pour éviter la corvée de bois trop dangereuse, nous sommes dans tout ce que l'homme possède d'humain et non dans la lâcheté.·La seconde série de textes est composée de fictions réalisées à partir de faits réels ou pas. Leur point commun, la brièveté pour essayer de saisir l'instant.
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Un rescapé de la Méduse ; mémoires du capitaine Dupont, 1775-1850
Daniel Dupont
- La Decouvrance
- 1 Novembre 2014
- 9782842658342
Capitaine de l'armée française, le capitaine Daniel Dupont embarque à bord de la frégate La Méduse afin de participer à la réorganisation de la colonie française du Sénégal.
Le commandement du navire est confié à un marin de peu d'expérience : Hugues Duroy de Chaumarey. Celui-ci, malgré les avis de marins confirmés va multiplier les erreurs de navigation, et, dans la nuit du 2 au 3 juillet, échoue la frégate sur un banc de sable au large du Sénégal. La Méduse transporte plus de quatre cents hommes, mais ne dispose que de six canots de sauvetage. Après quelques tentatives infructueuses pour dégager le navire, le 5 juillet, les officiers donnent l'ordre d'évacuation. Les gradés s'installent dans les canots, mais les marins et soldats en surnombre (cent cinquante) sont entassés sur un radeau mal construit et abandonnés en pleine mer.
Durant douze jours, le radeau va dériver au gré des flots. Sans nourriture ni eau potable, de l'eau jusqu'aux genoux, les passagers sont contraints à des actes ignobles. Certains iront même jusqu'à manger la chair de leurs camarades et à boire leur urine. Le 7, je repris connaissance et en ouvrant les yeux j'aperçus un matelot qui me coupait le pied. Je n'avais pas la force de le retirer, cependant je lui demandais ce qu'il faisait. Je m'aperçus que le malheureux avait perdu la tête. (Extrait des carnets du capitaine Dupont). Les officiers présents tentèrent d'empêcher le massacre, en vain.
Quinze hommes sur un radeau... c'est ce que découvre, dans la matinée du 17 juillet 1816, le brick L'Argus, au large des côtes de la Mauritanie. Parmi eux, Daniel Dupont, un capitaine d'infanterie sorti du rang ; il est à la fois le plus élevé en grade et en âge des survivants du radeau de La Méduse...
Plusieurs rescapés publieront le récit de ce drame au retentissement considérable. Daniel Dupont se contentera, à la fin de sa vie, de rédiger ses Mémoires à l'intention de sa famille. S'il ne dit peut-être pas tout, par pudeur sans doute, tout ce qu'il dit porte l'accent de la sincérité. Ses écrits retracent vingt-cinq années d'une carrière militaire originale qui, de la Révolution à la Restauration, passe par la Vendée, les Antilles, l'Angleterre et le Sénégal.
Philippe Collonge, passionné d'histoire, a retrouvé les manuscrits originaux détenus par les descendants du capitaine Dupont. Ces Mémoires, soigneusement étudiés et documentés, apportent à un large public le témoignage authentique d'un héros involontaire et modeste.
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Les derniers sauvages ; la vie et les moeurs aux Iles Marquises (1842-1859)
Max Radiguet
- La Decouvrance
- 26 Août 2014
- 9782842658069
En mars 1842, Max Radiguet est secrétaire de l'amiral du Petit-Thouars à bord de la frégate Reine-Blanche, lorsque la flotte française quitte Valparaiso à destination des Marquises pour prendre possession de ces îles convoitées. Le hasard lui fera croiser Hermann Melville fuyant un bateau baleinier à Nuku Hiva.
Curieux, il va à la rencontre des Marquisiens et relate leur quotidien dans cet ouvrage illustré par quelques croquis, car Max Radiguet est un excellent dessinateur.
Avec ce récit, l'auteur n'hésite pas à poser la question de l'avenir de ces habitants au contact de la société occidentale.
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La découverte du passage du nord-est
Adolf erik Nordenskiöld
- La Decouvrance
- 5 Novembre 2013
- 9782842657819
Un possible passage au nord situé entre les océans Atlantique et Pacifique avait été envisagé depuis le début du xvie siècle. Adolf Nordenskiöld est le premier navigateur à parcourir entièrement la voie navigable du côté septentrional de l'Europe et de l'Asie. En compagnie de trois autres navires, la Vega quitte la Suède, le 22 juin 1878 avec à son bord un équipage de vingt et un hommes, ainsi que des officiers et des scientifiques.
Après avoir navigué le long de la côte sibérienne, Nordenskiöld et son équipage passent l'hiver bloqués par les glaces à une journée du détroit de Béring. Cet hivernage forcé de dix mois est mis à profit pour étudier les moeurs des peuples de ces confins de la Sibérie, les Tchouktches. Au dégel, ils poursuivent jusqu'au Japon durant l'été 1879, atteignant Yokohama le 2 septembre. Nordenskiöld retourne en Suède via le canal de Suez et arrive à Stockholm le 24 avril 1880.
C'est ce périple qui est relaté dans cet ouvrage.
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En août 1787, William Bligh prend le commandement d'une expédition anglaise en direction de Tahiti pour ramener aux Antilles des plants de l'arbre à pain. Ne réussissant pas à franchir le cap Horn, c'est par le cap de Bonne-Espérance et après de multiples péripéties qu'ils réussiront à rejoindre Tahiti en octobre 1788 à la mauvaise saison pour la récolte. Finalement, en avril 1789, la Bounty appareille vers l'ouest pour reprendre la même route qu'à l'aller, puis peu de jours après l'appareillage, William Bligh annonce qu'en définitive ce sera par le cap Horn qu'ils rentreront et feront ainsi un tour du monde. L'équipage n'est pas d'accord et c'est la mutinerie. Débarqués, Bligh avec quelques hommes décide de rejoindre sur une chaloupe de 7 m non pontée, avec une semaine de vivres, sans carte ni instruments, Timor : un exploit de navigation.
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Trimaran paul ricard ou un défi
Eric Bourhis, Vincent Peron
- La Decouvrance
- 15 Octobre 2013
- 9782842657567
Ce livre raconte la genèse et l'histoire du trimaran Paul Ricard, un engin incroyable conçu par Eric Tabarly et un aréopage d'ingénieurs prestigieux. De nombreux témoignages permettent de reconstituer l'existence de ce voilier multicoque qui aura été ou trop en avance ou trop en retard sur son temps et qui aura à son actif un record fabuleux de traversée de l'Atlantique.
L'hydroptère d'aujourd'hui valide le concept du trimaran Paul Ricard.
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Le Chevalier de Fréminville (1787-1848) fut " un personnage des plus curieux et d'une grande originalité ".
A la vie rude du marin et à la vie sérieuse du savant, il ajouta celle plus frivole de " femme " du monde. Après l'expédition de Saint-Domingue, il fait campagne dans les mers polaires, navigua dans la Baltique, aborda les côtes d'Afrique et celles d'Amérique. Il fut témoin de la traite des Noirs, de la fièvre jaune, de la révolte des esclaves à Saint-Domingue... se mêla de politique, et vécu une histoire d'amour insolite avec une belle créole des Saintes.
Eugène Herpin s'est inspiré des Mémoires de Christophe Paulin de la Poix, chevalier de Fréminville, dit " la chevalière " pour rédiger cet étonnant récit haut en couleurs !
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Tout au long du XVIIIe siècle, nombreux furent ceux qui partirent chercher fortune dans les îles, et en particulier à l'Isle de France (aujourd'hui Maurice) alors propriété de la Compagnie des Indes. Tel fut le sort du chevalier Vincent-Paul Pinczon du Sel et de Rose, son épouse de vingt ans, sous le règne de Louis XV, suivis à la fin du siècle par la toute jeune Émilie d'Ailly de Verneuil qui y trouva l'amour en la personne d'Henry Journel. Leur existence aventureuse nous est contée ici à travers les lettres envoyées par Rose à sa famille, puis dans les souvenirs de Madame Journel. Les esclaves, le coton, le gouverneur et ses maitresses, les ouragans, la société créole, les préjugés et la politique sur fond de rivalité franco-anglaise dans les Indes lointaines, tout est ici noté, commenté, décrit avec une vivacité, une vérité, un luxe de détails qui font le charme et l'intérêt de ce témoignage unique. Un récit qui se lit comme un roman. Illustrations couleurs - Index de noms de familles et de navires.
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Pierre-André de Suffren ou Suffren de Saint-Tropez naît en 1729 au château de Saint-Cannat, en Provence. Il meurt en 1788, après une carrière de 45 années dans la Marine. Vice-amiral et bailli de l'Ordre de Malte, Suffren est une des plus grandes figures de l'histoire maritime.
À partir de 1777, Suffren s'illustre le long des côtes américaines, aux côtés de l'amiral d'Estaing. Il est ensuite chargé par Louis XVI de conduire une escadre aux Indes. De 1781 à 1783, Suffren affronte avec succès une flotte britannique pourtant très supérieure, dans des conditions matérielles difficiles. Porto Praya, Gondelour, Négapatam... autant de noms tombés dans l'oubli, autant de victoires de Suffren, dont les expoloits sont salués jusque par ses ennemis. À son retour en France, il est unanimement acclamé. Suffren reste pourtant un homme simple, modeste et généreux. Comblé d'honneur, il meurt en pleine gloire.
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