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Folio
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Histoire intime de la Ve République Tome 1 : Le sursaut
Franz-Olivier Giesbert
- Folio
- Folio
- 6 Juin 2024
- 9782073017994
Quand le général de Gaulle a pris le pouvoir en 1958, la France était quasiment par terre, à cause, entre autres, de la guerre d'Algérie et de l'effondrement des «élites». Prophétique, machiavélique et prosaïque, il l'a remise debout en à peine un an, sans négliger les plus infimes détails, ni lésiner sur les roueries et les mensonges. Le personnage que je dépeins est bien plus complexe que celui de la légende. F.-O. G. Dans le premier tome de son Histoire intime de la V? République en trois époques, Franz-Olivier Giesbert revisite les années de Gaulle en y mêlant ses souvenirs personnels, pour dresser un portrait du Général en visionnaire, aussi inspiré que madré.
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«Je me souviens qu'elle fut la première personne vivante, intacte, que j'aie vue apparaître, la première qui m'ait fait sentir à quel point ceux qui approchaient de moi, désormais, venaient d'une autre planète - la planète où la vie continue.» Le 7 janvier 2015, Philippe Lançon était dans les locaux de Charlie Hebdo. Les balles des tueurs l'ont gravement blessé. Sans chercher à expliquer l'attentat, il décrit une existence qui bascule et livre le récit bouleversant d'une reconstruction, lente et lumineuse. En opposant à la barbarie son humanité humble, Le lambeau nous questionne sur l'irruption de la violence guerrière dans un pays qu'on croyait en paix.
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« J'ai commencé ma vie comme je la finirai sans doute : au milieu des livres. Dans le bureau de mon grand-père, il y en avait partout ; défense était de les faire épousseter sauf une fois l'an, avant la rentrée d'octobre. Je ne savais pas encore lire que, déjà, je les révérais, ces pierres levées : droites ou penchées, serrées comme des briques sur les rayons de la bibliothèque ou noblement espacées en allées de menhirs, je sentais que la prospérité de notre famille en dépendait... »
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«Si tu étais si attaché à ta carte d'ouvrier, c'est sans doute parce que tu étais un homme sans titre. Toi qui es né dépossédé, de tout titre de propriété comme de citoyenneté, tu n'auras connu que des titres de transport et de résidence. Le titre en latin veut dire l'inscription. Et si tu étais bien inscrit quelque part en tout petit, ce n'était hélas que pour t'effacer. Tu as figuré sur l'interminable liste des hommes à broyer au travail, comme tant d'autres avant toi à malaxer dans les tranchées.» En lisant Misère de la Kabylie, reportage publié par Camus en 1939, Xavier Le Clerc découvre dans quelles conditions de dénuement son père a grandi. L'auteur retrace le parcours de cet homme courageux, si longtemps absent et mutique, arrivé d'Algérie en 1962, embauché comme manoeuvre par la Société métallurgique de Normandie. Hommage à une génération d'immigrés, ce roman familial et autobiographique captivant résonne comme un cri de révolte contre l'injustice.
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Nouvelle édition en 2018
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«J'ai longtemps rêvé que ma mère était noire. Je m'étais inventé une histoire, un passé, pour fuir la réalité à mon retour d'Afrique, dans ce pays, dans cette ville où je ne connaissais personne, où j'étais devenu un étranger. Puis j'ai découvert, lorsque mon père, à l'âge de la retraite, est revenu vivre avec nous en France, que c'était lui l'Africain. Cela a été difficile à admettre. Il m'a fallu retourner en arrière, recommencer, essayer de comprendre. En souvenir de cela, j'ai écrit ce petit livre.» J.M.G. Le Clézio.
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Moi, Christiane F., 13 ans, droguée, prostituée...
Anonyme
- Folio
- Folio
- 13 Janvier 1983
- 9782070374434
Témoignages recueillis par Kai Hermann et Horst Rieck
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Une enfance créole : Antan d'enfance ; Chemin-d'école ; à bout d'enfance
Patrick Chamoiseau
- Folio
- Folio
- 7 Mars 2024
- 9782073062161
«Afin de garder ses nouveaux secrets, il tranchait des liens subtils avec le monde, il se rendait opaque à Man Ninotte, il n'était plus ouvert-confiant sur la présence des autres, il jouait des paupières sur l'innocence traîtresse de ses yeux et apprit à creuser une distance entre son élan de coeur et le jet pur de sa parole. » Sous le signe de la poésie et de l'humour, Patrick Chamoiseau raconte ses jeunes années en Martinique. À travers le regard du petit garçon qui déambule dans Fort-de-France se révèle la société créole, chatoyante, complexe, aux origines multiples. Se dessine aussi le portrait d'une fratrie menée par la merveilleuse Man Ninotte, femme forte et inoubliable, qui guida l'auteur sur le chemin de l'écriture.
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«De cette rencontre aléatoire tu viendrais au monde - fruit de la parturition d'une Europe folle qui te ballotterait partout dans le ressac de ses haines et de ses passions, entre la Bohême des étangs et l'Angleterre des lacs, en passant par Genève et Paris, les villégiatures azuréennes et le Blitz londonien, à travers nazisme et communisme. Quand ta mémoire commença à s'effacer, je ressentis l'urgence de retrouver le texte de ce rôle que tu jouas à la scène comme dans la vie. Je découvris ainsi, pour tenter de l'exorciser, la malédiction originelle dont notre lignée était frappée - exhumant d'une masse d'archives inintelligibles rédigées dans ton tchèque maternel les stations de notre Passion slave, jusqu'à sa résurrection française.» Avec Enfant de Bohême, Gilles Kepel retrace l'exil de ses ancêtres et signe un récit biographique aussi intime que singulier, au souffle infiniment romanesque.
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«Tout ce à quoi l'on fait face ne peut pas être changé, mais rien ne peut changer tant qu'on n'y fait pas face.» Écrivain américain engagé et fervent acteur du mouvement des droits civiques, James Baldwin (1924-1987) est un porte-parole des expériences noires. Jimmy passe son enfance dans les rues froides et miséreuses de Harlem. Confronté à la violence et au racisme dès son plus jeune âge, il comprend alors que son talent pour manier les mots est un don à mettre au service de la lutte contre les injustices raciales et sociales. À travers ses essais, ses romans et son engagement politique, l'enfant de Harlem incarne le pont souhaité entre l'Amérique blanche et l'Amérique noire. Déchiré entre le besoin de se préserver des violences d'un pays en pleine ségrégation et celui de témoigner de ces horreurs, il passera sa vie entre la France et les États-Unis. Parce que les réalités qu'ils dénoncent sont toujours présentes, les mots et la pensée de James Baldwin résonnent encore et trouvent aujourd'hui écho dans la lutte contre toute forme de discrimination.
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Dans ces douze cahiers, que Kafka qualifie parfois de Journal, observations de vie quotidienne, rêves, visions, fulgurations, réflexions et même dessins alternent avec de multiples débuts de récit, certains répétés comme s'il s'agissait de réchauffer un moteur narratif refroidi. Dans cette galaxie brille un seul récit achevé, Le Verdict, écrit d'une traite une nuit de 1912, devenu pour l'écrivain le modèle du bonheur de raconter. Mille et une nuits d'écriture de notations et de récits qui mettent en scène les affres et les exaltations de celui qui dit de lui-même : Finir prisonnier - ce serait un but dans la vie. Mais c'était une cage entourée d'une grille... comme s'il était chez lui le bruit du monde affluait et ressortait par la grille, en fait le prisonnier était libre, il pouvait avoir part à tout, rien au dehors ne lui échappait... il n'était même pas prisonnier. Loin des sanctifications et des discordes, ces carnets nous font entrer avec Kafka au pays de l'écriture. D. T.
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«Je déclare devant vous que ma vie entière, qu'elle soit longue ou brève, sera dévouée à votre service et au service de notre grande famille impériale, à laquelle nous appartenons tous.» Ce serment, prononcé à seulement vingt et un ans, Elizabeth II (1926-2022) s'employa à l'appliquer tout au long de son règne. Elle embrassa pleinement son rôle et accepta une vie de service et de dévouement à travers tout le Commonwealth. Pourtant, Elizabeth n'était pas prédestinée à devenir reine. La jeune Lilibet passa les premières années de sa vie avec insouciance et légèreté aux côtés de sa soeur adorée, Margaret. Couronnée prématurément, la reine connut, au cours de ses soixante-dix années de règne, de grandes crises politiques, des conflits familiaux retentissants, mais aussi l'émergence de l'hypermédiatisation et de la presse à scandale. Face à chaque difficulté, elle affirma sa volonté d'incarner un symbole de stabilité et d'union pour son peuple. À travers ce portrait de la reine Elizabeth II, dont la vie est étroitement liée à celle de son pays, le lecteur pénètre au coeur de la famille royale et découvre un siècle d'histoire.
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Peu de temps après la mort de son frère Bernard, Daniel Pennac entreprend la lecture publique d'une célèbre nouvelle de Melville, Bartleby le Scribe. Or, Bernard et lui partageaient la même passion pour le personnage de Bartleby. En faisant alterner ici des extraits de la nouvelle tel qu'il l'adapta pour le théâtre et les anecdotes sur Bernard, souvenirs tendres, drôles ou cinglants, répliques pleines d'humour et de lucidité, Daniel Pennac dresse le portrait de ce frère disparu, vrai complice, irremplaçable compagnon de sa vie. Et il révèle une étrange proximité entre les deux personnages. Comme Bartleby, Bernard pratiquait un retrait de plus en plus délibéré de la vie sociale. À ce témoignage de tendresse fraternelle, Pennac mêle des réflexions passionnées sur le théâtre, le jeu et les masques sociaux. Le tout forme un livre d'amour profond, lucide et bouleversant.
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«En 2008, Michelle Porte, que je connaissais comme la réalisatrice de très beaux documentaires sur Virginia Woolf et Marguerite Duras, m'a exprimé son désir de me filmer dans les lieux de ma jeunesse, Yvetot, Rouen, et dans celui d'aujourd'hui, Cergy. J'évoquerais ma vie, l'écriture, le lien entre les deux. J'ai aimé et accepté immédiatement son projet, convaincue que le lieu - géographique, social - où l'on naît, et celui où l'on vit, offrent sur les textes écrits, non pas une explication, mais l'arrière-fond de la réalité où, plus ou moins, ils sont ancrés.»
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À la source de cet ouvrage, un sentiment d'injustice et d'impuissance : alors que Germaine de Staël ose exprimer ses désaccords avec Bonaparte, l'Empereur décide de la condamner à l'exil, en 1803. La femme de lettres choisit alors de s'approprier sa punition : pendant son exil, elle visite l'Europe, s'inspire d'autres cultures et rencontre des personnalités exceptionnelles. Et elle écrit. Retranscrivant ses impressions et ses réflexions, elle prend soin de faire une reconstitution précise des événements qu'elle traverse, ou de ceux dont elle est témoin. Dix années d'exil n'est alors plus seulement un simple récit autobiographique : véritable témoignage d'une époque, il devient une épopée captivante dans laquelle Germaine de Staël incarne tout à la fois le courage, la résilience et l'importance des idéaux.
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Comprenant qu'elle était loin d'être la seule à avoir connu une enfance et une adolescence saccagées, Sophie Chauveau a enquêté pour dresser l'inventaire des victimes et des bourreaux de sa famille. La dynastie de pervers, qui commence avec le dépeceur du Jardin des Plantes pendant le siège de Paris, se poursuit sur trois générations.
Unique par l'ampleur de ce qu'il dévoile, son témoignage sur l'inceste est d'une force inouïe.
Voici le roman monstrueux d'une famille hors normes.
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Pour se défendre dans un procès qu'il s'intente à lui-même, l'auteur fait défiler au galop un passé évanoui. Il va de l'âge d'or d'un classicisme qui règne sur l'Europe à l'effondrement de ce «monde d'hier» si cher à Stefan Zweig. De Colbert, Fouquet, Bossuet ou Racine à François Mitterrand, Raymond Aron, Paul Morand et Aragon. Mais les charmes d'une vie et les tourbillons de l'histoire ne suffisent pas à l'accusé : «Vous n'imaginiez tout de même pas que j'allais me contenter de vous débiter des souvenirs d'enfance et de jeunesse ? Je ne me mets pas très haut, mais je ne suis pas tombé assez bas pour vous livrer ce qu'on appelle des Mémoires.»
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Les faits se présente comme l'autobiographie non conventionnelle d'un écrivain qui a déconstruit notre idée de la fiction. Cette oeuvre, d'une franchise inventive et irrésistible, dévoile le rapport intime et complexe que Philip Roth entretient avec l'art et l'existence. Sur le fil entre souvenirs des faits et souvenirs imaginés, l'auteur de La contrevie se concentre sur cinq moments fondateurs de son identité d'homme et de romancier : son enfance à Newark dans les années 1930 et 1940 ; son expérience de l'américanité à l'université ; son premier mariage chaotique ; l'indignation de la communauté juive américaine à la parution de Goodbye, Colombus ; et enfin, la découverte dans les années 1960 d'une liberté créatrice qui donnera naissance à Portnoy et son complexe.Mais comment écrire à propos des faits de l'existence lorsqu'on a passé une vie entière à changer l'ordinaire en extraordinaire avec une originalité et une audace si féroces ? Comment un romancier chevronné, jamais mieux servi que par «la chair de la fiction», peut-il encore prétendre se présenter « sans fard » ? Tel est le questionnement au coeur du livre que Roth explore avec malice et clairvoyance. Et ce n'est pas un hasard si c'est à son héros de papier et alter-ego, Nathan Zuckerman, qu'il donne ici le dernier mot.Cette nouvelle traduction redonne tout son lustre à la verve incomparable d'un des plus grands auteurs américains de sa génération. Elle révèle avec habileté l'humour, l'intelligence et la précision d'un texte qu'il est précieux de redécouvrir aujourd'hui, à la lumière de toute une oeuvre littéraire.
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Cachée sous la Venise des cartes postales, il existe une Venise inconnue, celle des églises jamais ouvertes. Jean-Paul Kauffmann a déverrouillé ces portes solidement cadenassées, un monde impénétrable où dorment des chefs-d'oeuvre. Ce récit, conduit à la manière d'une enquête policière, raconte les embûches pour se faire ouvrir ces édifices. Enfant, l'auteur servait la messe dans une église d'Ille-et-Vilaine. Il s'y ennuyait souvent, mais c'est dans ce sanctuaire qu'est née la passion de dévoiler le secret de la chose défendue. Il poursuit cet exercice de déchiffrement à Venise, la ville de la mémoire heureuse, pourtant attaquée sans relâche par le tourisme mondialisé. Pendant des mois, il arpente une Venise hors champ, et y trouve aussi ce qu'il ne cherchait pas. Venise à double tour est un livre sur le bonheur de voir et la jubilation dispensée par la ville qui exalte les cinq sens. On y croise entre autres Jacques Lacan, Hugo Pratt, une belle restauratrice de tableaux, une guide touristique souveraine, un Cerf blanc, le propriétaire d'un vignoble vénitien et un Grand Vicaire, maître de l'esquive.
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«Toute leur vie, une partie d'eux restera dans le camp et bien sûr ils continueront à travailler, à faire des enfants, à vivre, à progresser mais ça leur manquera toujours comme une enfance perdue à jamais, comme une langue oubliée.» En 1872, le trisaïeul de Nathacha Appanah débarque à l'île Maurice avec sa femme et leur fils âgé de onze ans. Comme des milliers d'autres coolies, cet homme a quitté l'Inde pour venir remplacer les esclaves noirs dans les plantations sucrières coloniales. Plusieurs générations se succéderont dans ces champs de canne, jusqu'au grand-père de l'autrice, dont le courage et la dignité briseront l'asservissement et éclairent ces pages.
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Rien ne prédisposait une petite fille asthmatique à devenir l'une des meilleures grimpeuses de sa génération. Pourtant, Stéphanie Bodet l'a fait. Elle ouvre depuis plus de vingt ans de nouvelles voies sur les parois du monde avec son compagnon, Arnaud Petit. Plus qu'un terrain de jeux et de défi, l'escalade est pour Stéphanie un territoire de connaissance et de sagesse. Mais derrière ses exploits affleure la mémoire de sa soeur cadette, disparue à l'âge de quinze ans. Sans elle, son destin sportif aurait pu être différent.
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Depuis des années, mes amis me pressent, en m'écoutant raconter mes histoires, d'écrire mes Mémoires. Je me suis toujours refusé à cette tâche que je sentais pourtant, moi-même, nécessaire.Les souvenirs ici réunis ne s'apparentent donc pas à des Mémoires, au sens classique du terme, mais à un mélange de ce que j'ai baptisé «lieux de mémoire» et «ego-histoire». Pour mieux dire, ils relèvent de ce que l'on appelait autrefois un roman d'apprentissage.Je me suis spontanément concentré sur les traits singuliers de mes jeunes années:la guerre de neuf à treize ans pour un enfant juif; une famille faite d'individualités fortes; une impossibilité à me plier aux normes universitaires sans pouvoir cependant m'en détacher; une initiation amoureuse des moins banales; une ouverture à plusieurs types de vie qui n'a pas été offerte à tous. Une jeunesse qui m'a fait ce que je suis.P. N.
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Patti Smith nous livre des instantanés de son enfance et de sa jeunesse sous forme de poèmes et de courts textes en prose agrémenté de quelques photos. De la jeune fille collectionneuse de billes à l'incorrigible rêveuse, elle nous invite à retrouver les sensations de l'enfance, le goût des mots et de l'imagination. Et le lecteur d'assister à la naissance de cette artiste protéiforme.
Un récit autobiographique aux images foisonnantes et empreint d'une douce poésie.
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«Mon cher Papa...» : Des écrivains et leur père
Collectif
- Folio
- Folio 3 Euros
- 11 Mai 2023
- 9782073013521
Souvenirs d'enfance et promenades au jardin du Luxembourg, lettres d'un petit garçon à son papa, questions d'une petite fille sur celui qui a disparu trop tôt... Angoisse du futur père, conseils à son fils pour devenir un Homme et amour démesuré... Avec Homère, Victor Hugo, Rudyard Kipling, Pierre Péju ou Marie Nimier, découvrez ce lien si fort qui unit un père à son enfant, l'émerveillement et la tendresse qui conduisent de l'enfance à l'âge adulte.