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Benevent
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Musicien auteur compositeur et interprète par héritage, batteur de Claude François, Mike Brant, Earl Lett, sax de Ike and Tina Turner, Errol Garner, Manu Dibango, Myriam Makéba et d'autres... L'écriture s'est imposée à moi après une longue réflexion qui prendra sa source à la disparition de mon père, Hédi Jouini. Enfant, je n'ai rien connu de ce père si peu présent. J'ai mal vécu ses absences répétées ; le manque d'amour et de sollicitude de sa part, ses interminables voyages professionnels vont faire naître en moi un désamour qui s'installera durant mon adolescence et perdurera. Mais à sa disparition en 1990, j'ai mis le nez dans une montagne d'archives le concernant, et au fur et à mesure que je pénétrais son univers, l'homme qui dans mes souvenirs d'enfance semblait inabordable, autoritaire et toujours absent, focalisé sur son art, la musique, allait prendre l'allure d'un géant de la chanson arabe, ce que j'ignorais totalement et que j'allais découvrir. J'ai compris alors qui était Hédi Jouini et je suis tombé en amour pour ce père qui m'a tant manqué.
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Elles sont cachées et pourtant on en croise tous les jours. Elles se disent célibataires et s'évitent ainsi d'être incomprises. Elles se coupent du monde pour les faveurs expéditives d'un seul homme. L'homme d'une autre. Et elle le paie parfois au prix de leur vie. Les maîtresses.
" Si j'avais eu ce livre entre les mains avant de rencontrer Marc, j'aurais découvert ce qui m'attendait et je me serais évité bien des souffrances ", confiera Stella, maîtresse.
C'est la raison d'être de ce livre, comprendre et aider ces femmes de l'ombre.
" Comment peut-on voler la place d'une autre ? Comment peut-on convoiter le mari d'une autre ? ", diront les uns.
" Comment peut-on se perdre dans une telle relation ? Comment peut-on s'en sortir vivante ? ", diront les autres.
Vous avez entre les mains les témoignages bouleversants de ces femmes à l'histoire si particulière et pourtant si commune, mais pas seulement...
Les conditionnements qui poussent à devenir maîtresse, ceux qui poussent à le rester le temps de la relation amoureuse, et enfin ceux qui aident à s'en sortir, sont ici présentés d'une façon claire et appuyés d'exemples concrets.
" Que l'histoire des unes serve d'exemple aux autres, et que ce livre aide ces femmes qui souffrent d'être dans l'ombre d'une autre ", dira Sylvie.
Et je me permettrais d'ajouter : "... et que ces quelques lignes permettent, avec l'appui de la psychologie et des techniques de psychothérapie, de prendre son envol vers une vie épanouie de femme maîtresse... de sa propre vie ".
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La gare d’Austerlitz dans les yeux d’un africain
Gaston M'bemba-ndoumba
- Benevent
- 9 Septembre 2011
- 9782756321752
La gare d'Austerlitz a perdu la plus grande partie de son trafic Grandes Lignes avec le sud-ouest de la France. Celui-ci n'est plus que d'environ 25 millions de voyageurs par an, soit la moitié de celui de la gare Montparnasse.
Les prévisions de croissance du trafic " voyageurs " vers le sud-est permettent d'anticiper la saturation future de la gare de Lyon, du fait de la mise en service du TGV Méditerranée. Saturation à laquelle la grande capacité d'accueil de la gare d'Austerlitz pourrait répondre. Ainsi, avec le projet de transférer une partie des TGV Sud-Est et Atlantique vers la gare d'Austerlitz, celle-ci verrait son trafic passager croître et passerait à environ 40 millions de voyageurs en 2020. Le but de ce livre est de proposer aux lecteurs une image humaine et hospitalière de la gare d'Austerlitz. Une gare ancrée dans le quartier et tournée vers l'avenir.
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Cet ouvrage traite du contexte de la France dans les années d'après-guerre dans laquelle il fallait tout reconstruire. Il y avait le plein-emploi, les journées de travail étaient longues.
Puis viennent l'évolution sociale, les importantes réformes, et vers les années 1974-1976 commencement des délocalisations d'entreprises - multinationales en particulier -, obligeant l'État sans contrepartie à assurer les charges de chômage technique et autres. En découle la privatisation de bon nombre de ces entreprises.
Les politiciens ayant gouverné jusqu'à nos jours, toutes tendances confondues, n'ont pas eu conscience qu'un jour il y aurait de gros problèmes de financement de nos institutions. Ils n'ont rien fait pour empêcher, voire limiter au maximum ces délocalisations, continuant à mener grand train de vie...
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J'ai entrepris la rédaction de ce livre sous l'impulsion de mon entourage, désireux de voir apparaître noir sur blanc le récit de mes anecdotes.
Ensuite, j'ai pensé qu'il pourrait être utile aux jeunes, ou aux moins jeunes, à la connaissance d'un monde oublié.
La période de paix, presque foetale entre deux guerres, l'arrivée d'Hitler au pouvoir, l'assassinat du chancelier d'Autriche, la guerre, le désastre et l'exode. Tout est là, simplement.
J'expose des faits, je ne porte pas de jugement.
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Après trente années de bons et loyaux services consacrés aux Compagnies Républicaines de Sécurité, je crée en 1998 l'association des retraités de ce corps d'élite de la Police Nationale.
Afin de doter notre mouvement d'une revue nationale d'informations digne de ce nom, je fais appel à une régie publicitaire. Commence alors pour moi le pire des cauchemars.
2004, mis en examen pour complicité d'escroquerie, je bénéficie d'un non-lieu prononcé par le tribunal correctionnel de Paris après des années de procédure.
Je suis à nouveau mis en examen en 2007 et placé sous contrôle judiciaire " pour escroquerie en bande organisée ".
Contrôles, auditions, mandat d'amener, garde à vue et séjour en maison d'arrêt.
Ici commence mon chemin de croix.
Ce livre, je le dédie à mes enfants : Myriam, Sabrina, Virginie, Marion, Eva, Julien et David.
Georges Confusi
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Autobiographie d'un itinéraire pictural au travers des bons et mauvais instants d'une vie d'artiste.
C'est un cahier de couleurs, premier livre reçu à 3 ans où l'auteur découvre l'interprétation de fruits à colorier sur la page d'en face, qui lui déclenche la vocation irréversible de devenir coloriste. C'est le désespoir de l'adolescente en apprenant qu'en dépit d'une bourse, le veto des adultes l'avait projetée vers le déséquilibre professionnel et médiocre. Ce sont les succès et les échecs rencontrés sur une longue route à la recherche du droit de peindre.
Ce sont les découvertes des couleurs, en crayons, en aquarelles, à l'huile. et surtout toute l'existence qui s'attache autour de ce qui peut être naturellement simple à exprimer. C'est la prise en main des couteaux et leur maniement particulier restituant autant que possible, des couleurs pures sans cloisonnement noir. C'est une narration qui se veut ludique et sans prétention, avec une écriture coulant de source, aussi imagée que possible.
C'est aussi la narration d'une zigzagomanie hasardeuse sur les Océans qui l'emmena avec son voilier Pictoris de l'autre côté du globe. Ce sont aussi toutes les aventures racontées sur les toiles de la peintre navigatrice. C'est toute l'approche insoupçonnée des us et coutumes du voyage lointain retranscrit dans les pages Du gris à La couleur. Ce n'est pas fini, mais c'est sans doute toute une autre histoire.
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Le quart de chien ; chronique d'un apprenti déserteur
Yves Christaud
- Benevent
- 13 Avril 2012
- 9782756322889
" J'ai choisi la Liberté " tel aurait pu être le titre de ce témoignage s'il n'avait déjà été préempté par Kravtchenko au milieu du siècle dernier.
Mais ce récit sobre et juste n'appellera heureusement aucun procès.
La conviction, la détermination, les désirs du jeune Zbigniew nous touchent et expriment la vérité d'un adolescent de 15 ans, imprégné des tragédies constitutives et récurrentes de la Pologne, hanté par le massacre de Katyn, habité par des drames familiaux qui demeurent des plaies vives.
Déserter, fuir la dictature communiste devient alors un devoir moral, un " impératif catégorique ", une respiration, un exutoire réfléchi et volontaire.
Partageons ce parcours courageux, hasardeux aussi. C'est la genèse d'un chemin singulier qui conduit de l'enfance à l'homme.
Un récit savoureux, une leçon fertile, un modèle pour qui aura rêvé d'être un jour un héros.
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Il s'agit d'une histoire basée sur des faits réels qui a vu naître une relation amicale entre trois des principaux personnages du récit au cours de la guerre 1939-1945.
L'action se déroule en 1958-59 pendant les événements d'Algérie et repose sur les conséquences des actions subversives menées par des groupes rebelles.
Attaque d'une ferme, enlèvement de l'épouse du maître des lieux et de sa fille pour obtenir son aide en qualité d'infirmière, la fillette garantissant une parfaite collaboration.
Relation de la stratégie mise au point pour délivrer les otages, avec l'aide des autorités militaires, analyse du contexte politique et international de l'époque.
VIOLENT - INÉDIT - DÉRANGEANT - VRAI !!
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[...] Je pourrais recommencer tout depuis le début, reprendre les toutes premières phrases : nouvel appart', solitude, cartons déballés, et... nouvelle région à 800 km de mon Alsace. Bien sûr toujours accompagnée de mon adorable puce, qui cette fois a presque 4 ans.
Nous avons tout quitté avec Lilae. Les événements nous y ont obligées !
C'était au mois de novembre dernier, Lilae s'est confiée... Elle m'a avoué et décrit ce qu'il lui a fait ! [...] Le Mal l'a fait parler et l'horreur m'a submergée.
Histoire d'un combat, d'une injustice...
Vaut-il mieux être accusé que victime, pour n'avoir qu'à se défendre, et non pas devoir se battre et combattre... Je pensais qu'il n'y avait qu'une réalité... qu'une version possible : La Vérité !
Bleu c'est bleu, blanc c'est blanc !
Et bien non !
La vie m'a appris que certains, sans conscience ni scrupule, ont été capables de réinventer l'histoire... Même au détriment des autres, même au détriment d'une petite fille...
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Tout commence par une petite enfance choyée de fils chéri, si fort désiré par un père qui exigeait d'avoir un garçon. S'ensuit, à l'adolescence, un terrible parcours d'obstacles face à l'incompréhension des autres, la violence de la société, les trahisons, les drames. Et puis enfin, grâce aux miracles de la chirurgie, vient le moment de devenir une femme.
Parcours émaillé de bonheurs intenses et de rudes coups de théâtre, le destin de Peggy Guex, née Roland, s'avère un tourbillon d'aventures prodigieuses qui nous interroge : qu'est-ce que la différence ? Que décide-t-on vraiment dans une vie ?
Elle ne se sera jamais soumise, s'inventant un prénom, une carrière et d'éblouissants pseudonymes de music-hall : Gloria Paname, Diana Santiago... Elle aura agi, défiant les conventions, la peur, le danger.
Aujourd'hui, à 64 ans, elle témoigne pour dire sa vérité et nous raconter son parcours absolument atypique. À nous tous sans exception, sans exclusion...
Élisabeth Lardeaux, parolière
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« Tout ce qu'a pu être ma vie là-bas, les plages de sable, le superbe jardin d'Hussein Dey, une amie arabe qui m'était chère, les copains qu'on commence à regarder d'une façon un peu différente, ma communion avec ma belle robe longue blanche (ce sera la seule de ma vie), tout cela est devenu flou, englouti par un seul fait marquant : la naissance de ma soeur Carole. » La vie d'une adolescente de treize ans, gaie et insouciante, bascule alors dans la tragédie. Une soeur handicapée physique et mentale, une mère à l'agonie et un père torturé entre ses trois femmes.
Ce récit d'une vie s'effiloche entre la violence et l'amour, les joies et les coups bas du destin.
Un dialogue plein d'humour et de tendresse avec sa conscience.
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« Le temps est venu, pour notre peuple, de se tourner vers son sein pour y redécouvrir et puiser, dans ses inépuisables réserves, les forces, les lumières et les intelligences pour un nouveau départ.
Car il est hors de question que le Cameroun s'incline devant la double imposture que constitue le néo-colonialisme au pouvoir et son alliée, l'opposition officielle.
Ce pays ne sera pas abandonné à une poignée de prédateurs incapables, cupides et corrompus.
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Un jour secrétaire, un autre prostituée, l'auteur raconte avec humour la métamorphose d'un pitchoun Niçois efféminé, timide et complexé en une turbulente jeune femme avide de plaisirs interdits. Ingurgitant pêle-mêle alcools et stupéfiants sur des airs de disco ou de techno elle cherchera désespérément le Grand Amour à Nice, Saint-Tropez, Marseille ou Ibiza.
Que se serait-il passé si « il » n'avait pas rencontré ses violeurs à l'âge de 20 ans, si sa route n'avait pas croisé celle de Son Homme, si « elle » avait dit non aux hormones et non à la drogue ? Aurait-elle prospéré mieux ou moins bien sous son ancienne identité plutôt que de vivre dans le péché ?
À toutes ces questions qu'elle repoussait d'une griserie, d'un verre d'alcool, d'un coup de bite, d'un fix ou d'un ecstasy, Cécile ose répondre en racontant avec autodérision ses joies comme ses peines sans aucune fausseté et encore moins de pudeur.
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Mon éducation a été sans cesse en proie à des disputes fréquentes entre mes pères.
Mon paternel m'a obligé à le suivre tous les dimanches dans cette église abjecte pour me faire conformer aux règles de Dieu.
Mon grand-père quant à lui, m'avait attiré tout naturellement sur ses traces où j'ai appris à comprendre ma culture.
Mais, les remous sociaux qui agitaient profondément le pays, m'obligèrent à émigrer en Suisse où je fus obligé de désenvoûter ces méchants enfants, bannis par la société pour réussir mon intégration.
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Heureux qui comme Ulysse a fait de beaux voyages Tome 1
Daniel m. Lacour
- Benevent
- 6 Février 2009
- 9782756311135
Quand un ancien chef de zones à l'exportation à la retraite décide de nous faire partager ses expériences en nous emmenant avec lui dans tous ces pays qu'il a découverts en Amérique du Nord, Centrale et du Sud, ou à travers l'Orient, et bien d'autres encore, il nous faut le suivre et nous émerveiller avec lui.
Mais quand en plus, il en profite pour tirer des leçons de tout ce qu'il a vu et entendu, alors il nous faut aussi l'écouter, que l'on soit d'accord ou pas avec lui. simplement pour réfléchir à notre tour sur le monde de demain...
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Pour aider chacun à comprendre certains phénomènes naturels, que d'autres appellent surnaturels.
Découvrez les facultés qui sommeillent en vous et ne demandent qu'à se réveiller.
Pour vous faire découvrir des joies immenses que vous ne pouviez imaginer.
Trouver l'amour divin universel, la sérénité, la félicité, sur ce chemin difficile qu'est la vie sur terre, et votre vie s'en trouvera plus douce remplie d'amour, car cet amour-là est incommensurable.
Osez pousser la porte pour y voir l'invisible, qui deviendra visible avec les yeux de l'âme et laissez descendre en vous les yeux du ciel.
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"Le village de Nazimiye, qui se trouve au Kurdistan, m'a vu naître le 30 Septembre 1960. Nous sommes de religion aléviste. La famille de mon père était très croyante.
J'ai commencé l'école à Erzincam, située à l'est de la Turquie. Mon père était professeur dans un lycée. En 1969, nous avons déménagé à Buyukorhan, à l'ouest de la Turquie. Un an plus tard, j'ai eu un grave accident et je suis resté dans le coma pendant deux ans. Nous avons ensuite déménagé à Bursa, où j'ai commencé mes études. 12 septembre 1981, les Généraux arrivent au pouvoir. Sur le point de rentrer à l'université, j'étais contre ce gouvernement militaire. A la suite de fausses accusations, les policiers m'ont arrêté, torturé, battu et mis en prison. J'ai attendu le jugement pendant deux ans et ai été libéré à la première audience. J'ai alors décidé d'effectuer mon service militaire.
Durant mon séjour en prison, mes parents vivaient en France. Mon père y a eu un accident de la route près de Nevers, en février 1988. Je suis arrivé dans l'hexagone le 3 mars 1988 et n'en suis plus reparti."
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Dans la vie, il y a souvent beaucoup de tristesse et de mystère.
C'est le coeur d'une mère qui exprime sa peine et sa colère, par une perte inattendue et cruelle.
Celle de son seul enfant, victime d'un grave accident de la route.
Assassine collision, injustice et déraison, ce monde n'en portait pas qu'un seul, et c'est au travers de ces lignes qu'elle laisse hurler son coeur, au nom de toutes ces petites âmes si jeunes et lâchement fauchées.
Un cri.
Et dans l'ombre partagé par tant de parents meurtris.
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Une coiffure excentrique aux cheveux roux et une garde-robe extravagante. tout droit sorti de l'espace !
Le 3 juillet 2013, Nathan Adler, patient de la clinique du docteur David Jones, annonce la nouvelle : IL va revenir. Tel un médecin face à un patient, le Dr Jones met ça sur le compte de la folie.
Après une journée des plus banales, un coup de tonnerre éclate. Par instinct, le psychiatre sort pour vérifier que la foudre n'avait rien frappé. C'est alors qu'il LE découvrit.
« Bonsoir, je m'appelle Ziggy Stardust. » Intrigué, le docteur accueille un nouveau patient. Dédoublement de personnalité, ou bien le retour sur Terre, 40 ans après, de Ziggy Stardust, le personnage intergalactique crée par David Bowie ?
La vérité n'est pas ailleurs.
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Qui peut imaginer les surprises que nous réserve la vie sur terre ? Qui peut savoir que l'existence est un perpétuel cycle : des hauts et des bas ?
Si chacun de nous pouvait connaître son avenir, ce serait une bonne chose, car chacun prendrait ses précautions. Hélas, nul ne le connaît d'avance. Ainsi, l'homme vit le présent, et se souvient encore d'hier ; mais on ne peut effacer les fautes commises, et demain c'est autre chose.
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« La «vie intérieure» est un fleuve continu. l'écrivain y plonge ses mains, en remue le fond, le sable, les algues, la mousse, les cailloux, en frôle les poissons, en caresse les paillettes, les reflets, et en ressort ses mains roidies, éblouies, dégoulinantes, étonné des jolis dessins, des jolis ronds dans l'eau qu'elles font en s'égouttant. » « L'autre, le prince d'une cité engloutie. » « Pour que naisse le dialogue il faut parvenir à toucher l'âme, ne serait-ce que d'un doigt. » « C'est peu de chose ce que j'écris. feuilles poussées par le vent. » « De ces paroles envolées Il a dû rester quelque chose, Tu n'as pu fermer tes volets À cause de l'odeur des roses. »