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Beaurepaire
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« Labyrinthe pour un ado » déroule une tranche de vie d'un adolescent dans les années 1960. Conscient très tôt des conditions de vie difficiles dans lesquelles se trouve sa famille, il décide alors de prendre son avenir en main et, volontairement, quitte le collège et s'oriente vers le monde du travail. Il entre en apprentissage dans l'industrie sans connaître réellement le sort qui lui est réservé.
Sa première expérience du mois de juillet 1961, au sein d'une équipe de compagnons confirmés, lui donna le goût de pour-suivre la voie qu'il s'était fixée.
Embarqué à 15 ans dans la rudesse d'un atelier bruyant, il sut mener de front sa vie d'apprenti par alternance, puis de jeune professionnel, qu'il enrichit par des cours du soir, au fur et à mesure de deux années laborieuses.
Cette riche vie professionnelle, ajoutée à la pratique du sport et l'ouverture aux autres, aussi bien dans le domaine socio-éducatif que récréatif, l'achemina très tôt à son émancipation de jeune adulte.
Ce parcours atypique lui réserva des moments de découragement, de peines et de douleurs qu'il dut affronter. D'autres, de grandes satisfactions, de joie, de bonheur et d'amour l'aidèrent à poursuivre.
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Destin d'un petit garçon » raconte l'histoire vraie que fut le bouleversement provoqué par une maladie infantile dans la vie d'un enfant de sept ans, en octobre 1953.
Atteint de troubles du comportement et d'un état de santé précaire, il est placé chez un curé d'un petit village de montagne. Il y restera deux ans. Deux années durant lesquelles, il vivra au quotidien la rude vie du monde de la montagne, bien loin de sa vie habituelle de petit citadin.
À l'école, dans une classe unique et mixte, il devra se faire une place parmi ces petits montagnards qui le considèrent un peu comme un « extra-terrestre ».
Placé comme berger en alpage, pendant la période de transhumance de juin à septembre, il vivra - là-haut, perché à plus de deux mille mètres d'altitude - des aventures « extraordinaires » qui resteront gravées dans sa mémoire, pour toujours.
Cette ouverture à la vie par une éducation extrêmement libre mais riche en expériences, au contact - notamment - du curé et de sa servante, lui aura fait découvrir les vraies choses de la vie : simples, utiles et instructives, parfois heureuses et parfois... pas du tout.
Elle contribua, tout au long de cette période, à rendre la santé à ce petit garçon, et joua sans conteste, un rôle important dans sa complète guérison.
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Une invitation à épouser le courant de la Vie dans l'ouverture du coeur quels que soient les remous... Un voyage au creux de cette essentielle profondeur que dissimule notre quotidien.
Dans un langage fluide, poétique et stimulant, le récit d'une aventure de conscience intime et joyeuse, ayant favorisé la guérison radicale d'un cancer mature et invasif survenu en pleine jeunesse ; puis l'écho d'autres histoires surprenantes, témoignant toutes de notre subtil potentiel de transformation.
Nous sommes des êtres de lumière : le message se révèle parfois avec force et agit durablement comme une grâce... Lorsque par bonheur le voile se lève, il nous restitue ce sens inné du sacré tel un vertige d'évidence qui nous réunifie.
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De djebels en oueds - Récit d'un chasseur d'Afrique en Algérie d'avril 1956 à fin novembre 1957
Thimonier Joseph
- Beaurepaire
- 9 Novembre 2009
- 9782357670310
Ce récit a été rédigé à partir de lettres envoyées par cet appelé à sa fiancée Odile qui deviendra sa femme, durant les longs dix-huit mois de son service militaire en Algérie, pendant une guerre qui n'en portait pas le nom et dont il détaille à loisir les opérations de pacification dont était chargé son régiment, ce « baroud » sans fin dont il ne tire aucune gloire, aucun plaisir.
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Laissez-vous emporter par le souffle de cette fresque historique, romanesque et sociétale. Avec cette saga, l'auteur nous propose de suivre l'histoire personnelle d'une famille - la sienne - sur plusieurs générations.
Cette histoire s'entremêle à l'Histoire à travers des destinées de femmes et d'hommes à des périodes qui nous sont parfaitement reconstituées.
Le récit commence pendant la période révolutionnaire de 1848, puis traverse les guerres de 1870, 1914 et 1940. Il se poursuit avec celle qui ne disait pas son nom, en Algérie, vécue au plus près par l'auteur, alors jeune appelé du contingent. S'en suit son autobiographie qui baigne notamment dans le monde de la musique et du sport avec toujours pour fil rouge la réconciliation franco-allemande.
Ce roman, à la fois fresque historique et témoignage, écrit un peu de notre histoire commune. -
Léon Dufour - Médecin fécampois au coeur de l'hygiène
Bernard Le Luyer
- Beaurepaire
- 20 Avril 2023
- 9782357673526
À la fin du Second Empire, la classe politique prend conscience que la dépopulation, avec ses conséquences redoutables, menace la France. Dans ce contexte, la lutte contre la mortalité infantile devient un objectif crucial. Remédier aux décès évitables de la petite enfance est la mission que se donne la médecine pédiatrique naissante.
Lutter contre ces morts évitables par une alimentation rationnelle, un lait stérilisé, l'hygiène des biberons et un suivi médical constitue le projet auquel va se consacrer alors le docteur Léon Dufour, notamment en fondant l'oeuvre de la Goutte de lait.
Bien avant la loi sur le congé post-natal, il crée à Fécamp la Mutualité maternelle qui institue le repos des mères. Il ajuste son activité médicale aux progrès des lois d'assistance médicale gratuite, de la reconnaissance des accidents du travail et des maladies professionnelles. Membre des commissions sanitaires cantonales et d'arrondissement, il contribue à créer le bureau d'hygiène de Fécamp, en application de la loi de santé publique de 1902. Promoteur inlassable de la lutte contre les maladies infectieuses transmissibles, il interpelle les municipalités sur une véritable politique d'assainissement et de distribution de l'eau.
C'est donc un médecin engagé, et parfois précurseur. C'est aussi un travailleur infatigable et polyvalent : il est médecin des chemins de fer, médecin des écoles, médecin-chef des hôpitaux. Il pratique également la chirurgie et la médecine légale. Il fait de nombreuses communications dans les congrès nationaux et internationaux, auprès de la Société de pédiatrie et dans la presse locale qu'il utilise comme un véritable lobbyiste.
Enfin, passionné par sa région et l'érudition locale, il crée l'association des Amis du vieux Fécamp, dont l'activité perdure encore un siècle plus tard. -
Gabriel le Vendéen : le tour de France d'un compagnon
Gabriel Patarin
- Beaurepaire
- 26 Octobre 2023
- 9782357673571
En septembre 1967, j'arrivais au siège des compagnons de Toulouse au 28 rue des Pyrénées. Le hall d'accueil était prestigieux ainsi que la salle à manger. L'ensemble était moderne, avec des boiseries magnifiques en châtaignier et en merisier. L'escalier monumental contemporain avait été réalisé par Bernard le Vendéen et un autre compagnon menuisier. Je traversai le hall avec ma valise. Ainsi commençait mon Tour de France. Après Toulouse allait suivre Tarbes, Lyon, le château de Coubertin, Reims, Strasbourg, Nantes et enfin Paris.
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Décembre 1961, pensionnat Sainte-Croix, énorme bâtisse en forme de U ; un silence liturgique règne en permanence dans ce couvent qui abrite une cinquantaine de petites filles âgées de six à dix ans et qui est géré et dirigé par des religieuses.
Gina, mère de quatre jeunes enfants - dont Marie-Claire et Chantal, toutes deux pensionnaires de cet établissement - s'apprête à signer des documents. Elle ouvre grand ses yeux devant la liasse de papiers que lui présente la mère supérieure. Cette dernière n'ignore pas les difficultés de lecture en français de Gina, d'origine italienne.
Elle la rassure :
« Ce ne sont que des formalités classiques nécessaires, des documents obligatoires ; vous lisez puis vous mettez vos initiales en bas de chaque page, et sur la dernière vous écrivez «lu et approuvé» et vous signez ! » Gina vérifie, confiante, que les prénoms de tous ses enfants sont bien inscrits. Elle considère tous ces documents en pensant à ses fins de mois difficiles. Une aide si inattendue ne se refuse pas !
Soudain, envahie d'énergie, telle une bonne élève, elle paraphe chaque page tournée une par une par la soeur, puis signe.
Elle ignore qu'à cet instant précis le piège se referme.
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Quand deux êtres n'ont plus que le virtuel pour se parler, la communication devient piège. Les quiproquos et les interprétations s'y engouffrent sournoisement et prennent le pouvoir. Sur un terrain sensible, au jour le jour, le cataclysme affectif s'échafaude.
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Né dans la douleur, ce livre témoignage a été rédigé à l'aide d'un clavier virtuel et d'une souris fixée sur un socle, maintenue par un bras télescopique verrouillé sur une table, guidée par le menton.
Victime d'un accident vasculaire cérébral (AVC), du jour au lendemain, l'auteure se retrouve paralysée et muette, mais ses facultés intellectuelles sont restées intactes.
Depuis, elle se bat, jour après jour, contre un « locked-in syndrome », le syndrome de l'enfermement, pour réapprendre les gestes les plus élémentaires de la vie quotidienne, comme manger et parler, bouger, puis, un jour, marcher.
Elle nous livre un témoignage bouleversant sur sa nouvelle vie qu'elle n'a pas choisie, enfermée à hôpital où elle côtoie des gens formidables, d'autres beaucoup moins, et surtout enfermée dans ce silence où à force de volonté et de courage, elle parvient, pourtant, à nous délivrer ce cri, dédié à tous les patients du monde.
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Contrôler, c'est trop dur... et frauder, c'est pas beau !
Georges Vierne
- Beaurepaire
- 9 Juin 2009
- 9782357670198
L'auteur, ancien contrôleur de la Mutualité Sociale Agricole (MSA), aujourd'hui à la retraite, nous livre un témoignage poignant sur les difficultés qu'il a pu rencontrer dans le cadre de ses missions au service du respect du droit du travail, au sein du monde agricole.
À travers diverses anecdotes, parfois plaisantes, souvent difficiles, il apporte aux lecteurs un éclairage sans concessions sur ce difficile métier qui, malgré tout, lui a beaucoup appris sur l'homme, et lui manque... parfois.
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La course de printemps ; l'Algérie, l'amour, la guerre
Gérard Belorgey
- Beaurepaire
- 20 Avril 2009
- 9782357670167
L'insoumise Aïni, née dans le Rif, après la reddition, en 1926, des insurgés, est au centre de ce récit. Domestique d'une famille européenne du Maroc, elle fascine un adolescent venu de France où elle est envoyée pour études, tandis que le jeune homme, qui la poursuit toujours de sa ferveur, devient un militant des décolonisations. En 1955, alors qu'elle rallie les maquis du FLN, il est lui-même affecté en Algérie : c'est le narrateur piégé par ses contradictions.
Celles-ci et les destins mêlés des deux personnages nourrissent ce versant romanesque du grand témoignage que l'auteur publia, sous la signature de Serge Adour, dans Le Monde d'octobre/novembre 1957, « en Algérie : de l'utopie au totalitarisme »
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Le sixième sens de la petite souris ; enfance volée
Ling Mai
- Beaurepaire
- 8 Octobre 2009
- 9782357670266
1955. Le grand exode du peuple nord-vietnamien mettra-t-il fin à la difficile vie de Mai Ling, la "Petite Souris" ?...
Issue d'une famille aisée, dernière d'une fratrie de onze enfants, orpheline de mère à l'âge de quatre ans, bringuebalée d'une ville à l'autre pour fuir les bombes, son sort ne s'améliorera pas. Elle va connaître l'enfer, sa marâtre se montre pire que Folcoche, l'héroïne de « Vipère au poing » (Hervé Bazin).
Son père profite de l'exode qui suit la grande bataille de Diên Biên Phu pour la soustraire de cette condition en la confiant à sa soeur qui part, avec sa famille, s'exiler en France.
Son départ vers la France est pour elle une grande lueur d'espoir. Mais sa soeur va se révéler être une Madame Thénardier bis... Mai Ling devra s'adapter à de bien mauvaises conditions avec des intermèdes vécus dans les couvents, seuls lieux où elle trouvera un peu de confort et de chaleur humaine. Mais, chaque fois, son destin d'enfant martyre lui sera réimposé.
Une histoire vraie où Cosette ne trouvera jamais son Jean Valjean.
Pour se maintenir moralement et physiquement en équilibre, Mai Ling a besoin d'aimer comme elle a besoin d'entendre, de manger, de respirer, de toucher, de voir. d'où son message d'Amour.
Et c'est grâce à l'amour qu'elle a pu survivre aux mauvais traitements de la vie et conserver sa lucidité, son sourire et sa joie de vivre.
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Nos enfants posent toujours les bonnes questions au mauvais moment : « On ne sait rien de ton enfance. » Ils ont raison, je n'ai jamais pris le temps de leur dire : « De mon temps, tu sais. » À seize ans, cette phrase de mes parents, de tous les parents, m'agaçait ; aussi ai-je pris le soin de ne jamais la prononcer à mes enfants.
La peur du ridicule. peut-être !
Il faut laisser du temps au temps, mais plus notre vie s'allonge, plus elle raccourcit !
Le questionnement, aujourd'hui de mes enfants, demain peut-être celui de mes petits-enfants, exige une remise en ordre de la résurgence anachronique des souvenirs qui, çà et là, affleurent les nuits d'insomnie.
Il me parut évident dès mon premier récit « Faut-il pleurer, faut-il en rire » que le journal par ses repères calendaires permettait à un demi-siècle d'écart, l'évocation des souvenirs et la chronique relevant parfois de la sottie, d'une actualité qui est aussi celle de mes enfants et petits-enfants.
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Safwan était parti pour jouir de la vie et des plaisirs mondains, mais il revint avec la lumière qui donne sur les espaces éternels. Une renaissance. Il commença progressivement à retrouver le souffle originel, à redonner un élan à son aspiration naturelle. Il était en plein exil spirituel. Une élévation. Il eut ce besoin de reconquérir son espace intérieur. Le sommeil a certes été long, mais le réveil fut efficace. Puis, au fur et à mesure de sa progression sur la cyclopéenne montagne de la spiritualité, il se rendit compte qu'il n'était pas à l'abri d'éventuelles chutes.
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Victoire, tu m'as dit un soir, comme pour échapper à ton destin :
- Maman, s'il faisait beau !
Cette phrase apparemment anodine n'aurait pas dû m'interpeller. Mais dans ta voix, il y avait une sorte de singularité qui me fit douter sur le sens que tu voulais céder à cette exclamation.
Aujourd'hui, je sais malheureusement pourquoi tu voulais qu'il fasse beau. Tu cherchais à te défaire d'un lourd secret. Depuis, à chaque seconde qui s'écoule, je pense à toi. Tu es devenue mon obsession. Cela fait six mois que je me bats et me débats encore, pour accepter les meurtrissures qui ont tatoué d'une encre indélébile ton corps et ton coeur. Mais en vain, je suis arrivée au bout de mes ardeurs.
Aussi, faudrait-il peut-être que j'écrive ce que tu as vécu...
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Du haut de mes soixante-six ans, j'ai traîné mes fonds de culotte de cinq ans à vingt-six ans sur un nombre incalculable de bancs et de chaises tous plus inconfortables les uns que les autres. Mes fonds de pantalon lustrés jusqu'à la transparence sont la preuve indubitable de ma présence dans les établissements scolaires.
Les kilomètres de mots et de dessins posés sur des pages blanches à petits ou à grands carreaux à l'encre bleue ou à l'encre noire témoignent aussi de ma présence dans ces lieux. J'ai collectionné les feuilles simples et les copies doubles de devoirs et de compositions, souvent corrigées et annotées à l'encre rouge en haut et dans la marge. Combien de bâtons de craie ai-je pu casser à cause de ma nervosité au moment d'écrire au tableau, planté sur l'estrade ?
Et pourtant, ne tremblez pas, l'estrade est là pour pour vous mettre en valeur, en lumière ! Faites face, vous êtes le héros de l'estrade, et si elle grince sous vos pieds, demandez à ceux du premier rang qu'ils vous la calent !
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Retour de flammes ; deuzième chronique autobiographique
Michel Epiard
- Beaurepaire
- 19 Août 2015
- 9782357672123
La carrière professionnelle de l'auteur est maintenant derrière lui. Une carrière qu'il estime réussie.
Même si le métier qu'il a exercé ne peut se raconter, car il se vit de l'intérieur, il peut se narrer à travers des faits ou des épisodes mémorables.
L'auteur tente une nouvelle fois de communiquer son amour du métier, avec le souhait de partager cette envie d'aider, cette ambition de réussir et toutes ses convictions qui ont créé le substrat d'une singulière aventure humaine, relatée dans cet ouvrage.
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Après une enfance chaotique, c'est à l'âge de dix-neuf ans que Bruno décide de prendre son destin en main. Sa première aventure sera l'Afrique, il y passera deux ans.
De retour en France, déçu par le système, il rêve d'une vie meilleure. Sans un sou en poche, il traversera alors la Manche et c'est en quête de reconnaissance qu'il se découvrira enfin. Il y mènera une nouvelle carrière, avec des hauts et des bas, qui finira par le conduire dans les coulisses du pouvoir, passant de chômeur en France à la vie de palace à Londres.
Plusieurs fois récompensé dans son nouveau métier, fait par la suite chevalier de l'ordre national du Mérite agricole, c'est de retour en France, à La Rochelle où il vit actuellement, qu'il décide d'écrire ce livre pour partager son expérience.
Un livre positif et pimenté d'anecdotes croustillantes qui, il l'espère, redonnera de l'espoir à ses lecteurs.
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La toiletteuse balance tout ! (et ça lui fait du bien)
Charlene Kerberys
- Beaurepaire
- 23 Janvier 2017
- 9782357672420
Avec humour et sincérité, une toiletteuse passionnée par son métier évoque son parcours, ses joies et les embûches issues de son quotidien.
Au travers de récits et d'anecdotes insolites, elle dresse des portraits piquants et cocasses des clients et des chiens qui ont franchi la porte de son salon de toilettage.
L'auteure dévoile les coulisses d'un métier méconnu qui n'aura plus de secrets pour vous.
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À la veille de la fin de sa carrière professionnelle, l'auteur, officier de sapeur-pompier, se surprend à raconter entre collègues des anecdotes d'antan, quelques histoires d'anciens combattants en quelque sorte... Ce qui l'étonne, c'est l'intérêt que suscitent ses récits auprès des sapeurs-pompiers plus jeunes.
Refaire le monde, vouloir réinventer la profession de sapeur-pompier sont souvent les thèmes des discussions animées mais toujours stériles. Par contre, relater du vécu, partager certaines expériences sont plutôt de nature à faire prendre conscience aux futurs sous-officiers et officiers qu'ils ont la chance de vivre ce que peu de professions ont la possibilité de connaître.
L'auteur relate dans cet ouvrage bon nombre de souvenirs, parfois anecdotiques, parfois plus sérieux. Tous ont été vécus intensément dans la joie ou la tristesse que procure à chaque fois l'accomplissement des missions de secours.
