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7 Ecrit
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Vingt années chaotiques de la vie de France.
Une grande histoire d'amour, puis un enchaînement d'épreuves brutales et d'absurdités du sort.
L'histoire se solde par un événement tragique : la mort de l'être aimé lors d'un triple assassinat dont elle est la seule survivante.
Le besoin de témoigner et de se reconstruire l'amène à passer 6 mois dans un ashram.
Entre sa colère, son sentiment d'injustice, sa joie de vivre fondamentale et sa gratitude, ce livre tisse les fils de ce qui s'est joué et l'a transformée à travers ce chemin. Il se donne en partage et en témoignage de la lumière qui la guide aujourd'hui.
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Le Dernier Souffle raconte l'histoire vraie d'une femme qui a travaillé dans les usines Ferodo d'amiante en Basse-Normandie entre les années 1950 et 1970 et qui en est morte.
Le livre relate comment les habitants de cette région ont été pris en otage entre la nécessité de gagner leur vie dans une région longtemps très agricole et industriellement enclavée, et l'absence d'informations claires et nettes sur la dangerosité de l'amiante.
Pourtant des médecins, des chefs d'entreprise, des syndicats et les services de santé publique savaient, depuis 1906, que l'amiante tuait les ouvriers qui le manipulaient.
L'amiante va encore tuer, on estime à 125 000 le nombre de morts causées par l'amiante en France en 2025, et bien que l'utilisation de la roche soit interdite en France depuis 1996, les familles continuent de perdre leurs parents et grands-parents sans que les responsabilités pénales aient été reconnues et punies.
L'utilisation et le commerce de l'amiante sont toujours autorisés dans d'autres pays du monde, permettant l'enrichissement des mêmes familles et entreprises qui ont tué en France, en Europe et en Amérique du Nord, en toute impunité, et dans l'indifférence totale.
Le Dernier Souffle est un hommage d'un petit-fils à ses grands-parents, puisse-t-il participer autant que possible à ce que les lecteurs comprennent le drame de l'amiante et n'oublient pas les victimes. Car des affaires similaires peuvent encore se produire.
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À travers ses souvenirs d'enfance, Gabrielle Martinet-Llorco partage avec vous l'histoire d'un village kabyle avant l'indépendance de ce pays où coulent le lait et le miel.
« Si vous y faites escale, un peu d'humour, beaucoup d'amour vous trouverez. »
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Une dépression sans motif apparent, suivie d'un cauchemar récurrent, une nuit, fait sortir de l'inconscient un traumatisme lié à la petite enfance.
L'horreur des images qui surgissent et le refus de sombrer dans la folie ou le suicide, forcent à une analyse qui, un jour, amène au pardon.
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1989, une chaîne de 250 boutiques à l'enseigne "Un bruit qui court" voit le jour en France et à New-York...
Une banque mouillée dans le blanchiment d'un argent sale d'un cartel de la drogue Colombien...
Un jeune chef d'entreprise brillant mais au passé sulfureux prit comme détonateur et bouc émissaire rêvé...
Il se retrouve en prison...
La ruine de 250 familles au nom de la raison d'état...
Une princesse présidente de la banque...
Tous les ingrédients sont réunis pour déclencher une affaire politico-commerciale qui a fait grand bruit.
Il aura fallu plus de vingt ans à l'auteur pour pouvoir écrire la véritable histoire de cette affaire...
Aujourdhui, après les révélations sur les subprimes et autres trafics boursiers, on arrive à mieux comprendre cette affaire où l'auteur dévoile tout sans rien cacher...
D'après une histoire vraie !
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L'auteur commence son ouvrage par " planter " le décor et l'historique de celui-ci. Jean-Serge MICHEL dévoile l'origine et les évolutions de sa surdi-cécité, les principales difficultés et caractéristiques de son vécu dans son enfance, à l'âge adulte, durant ses vies professionnelle et sociale.
Ensuite, nous passons au journal proprement dit. Il décrit, avec sincérité et précision, d'abord le parcours du combattant pour enfin arriver aux portes de l'implantation cochléaire. Suit le processus de réhabilitation auditive (renaissance), et enfin un nouveau parcours vers la bi implantation cochléaire (stéréophonie).
Le tout se fait aussi sur fond de dégradation brutale puis progressive de ses capacités visuelles déjà altérées. Nous vivons avec lui cet autre parcours du combattant des diverses rééducations visuelles, son évolution vers l'acceptation de la cécité (faire le deuil).
Nous partageons aussi son vécu professionnel, ses difficultés, sa réadaptation à son environnement professionnel. Par ailleurs, le lecteur est confronté avec lui aux nombreuses considérations administratives obtuses ou/et " assassines ".- L'auteur nous fait plonger également dans le monde associatif du handicap, et plus particulièrement des devenus-sourds et malentendants.
Puis Jean-Serge MICHEL nous met en situation des " souffrances partagées " qu'il a vécu avec sa compagne (elle-même devenue-sourde), de par la succession de tous ses efforts, et du soutien qu'il a dû apporter à sa compagne néo-candidate elle aussi à l'implantation cochléaire. Le tout est baigné sur un fond de trahisons, d'attaques sournoises et perverses subies, venant de quelques personnes avides de pouvoir ; ou/et lâches.
L'auteur finit par une conclusion et dresse des perspectives aussi réalistes que possible.
Le lecteur ne pourra pas être insensible, selon les situations, à l'émotion dégagée, à l'humour. Il est mis dans la peau de la personne handicapée devant continuellement se battre, se justifier, faire des efforts, accepter des choses invraisemblables. Le lecteur ressort de ce parcours avec un autre regard sur lui-même, et aura une autre vision de la société française.
Cet ouvrage se termine par des annexes documentaires, permettant d'appuyer l'histoire vécue, et d'améliorer les connaissances des profanes.
Les professionnels, les personnes handicapées, les citoyens valides, et sans oublier les " décideurs " vont se laisser imprégner par ce vécu très atypique. Le lecteur en ressortira différent, enrichi... même si il ne sera peut être pas d'accord avec tout.
Ce livre se termine par des " propositions citoyennes " destinées aux " décideurs " mais aussi à tous les citoyens... pour un " mieux vivre ensemble " avec solidarité effective, efforts partagés, et désir résolu de résoudre les problèmes de ce " pays des coqs ".
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La perte d'un enfant n'est pas dans l'ordre des choses, mais le vivre seul entre les quatre murs d'une prison, est un calvaire sans nom... "t'écrire... te parler pour continuer à vivre" dit ce père à son fils disparu. Véritable témoignage d'un douloureux chemin et d'un retour à la vie. Par ce monologue son fils mort revit dans sa mémoire et l'aide à devenir ce qu'il est vraiment, à s'épurer jusqu'au cristal, dont il sortira grandit. Un livre émouvant et pudique à l'extrême. Une grande leçon de vie, où quand tout paraît fini, tout est encore possible et où le pire n'est jamais certain... Une Interview de l'auteur en direct sur l'antenne de la radio MOSAIQUE FM au sujet de son livre dans l'émission "Partage d'émotions".
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Le vrai du faux barrabas prince des faussaires
Henry Solange Marc
- 7 Ecrit
- 10 Juin 2012
- 9782358971485
La naissance d'un faussaire de talent ayant existé sur la Côte d'Azur, au pseudo de Barabbas.
Un nom qui allait empoisonner la cote des artistes, des compagnies d'assurance et des policiers du monde occidental.
Barabbas s'attaque à la mafia de l'art, utilisant la cupidité des revendeurs pour mieux les voler. Il fait de la fausseté sa maîtresse, produisant l'apparence, comme le ferait un magicien.
Des héritiers d'artistes, possédant un flair « objectif » tout à fait extraordinaire, celui de la fragrance de l'argent.. cash !
Une belle histoire d'amour inachevée.
L'auteur vous fait découvrir les années du mouvement fluxus..
Ses faux deviendront authentiques et seront répertoriés dans les catalogues des plus grands marchands d'art.
Vous voyagerez avec lui dans les îles grecques où une rencontre fortuite changera le cours de sa vie..
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L amitie, ce soutien dans la tourmente pilote de piper, algerie 1956
Gilbert-C.Toussaint
- 7 Ecrit
- 27 Février 2015
- 9782368497067
Gilles Teller, tout juste émoulu de sa formation de pilote, est affecté dans une escadrille de l'aviation légère de l'armée de terre basée en d'Algérie. Il se trouve plongé dans une succession ininterrompue de missions aériennes : accompagnements de troupes et de convois, largages de courriers, transports de passagers... avec constamment la crainte d'un crash en territoire hostile dû aux tirs ennemis ou à des conditions météorologiques extrêmes. Pendant cette période tourmentée, il profite de l'amitié de son fidèle mécanicien qui lui apporte un réel soutien dans cet univers d'hommes plongés dans une guerre. Au cours d'un banal vol de réception après révision, il perd le contrôle de son avion et c'est l'écrasement au sol. Grièvement blessé, il est rapatrié en métropole. Malgré cet épisode sanglant, il n'aspire qu'à reprendre le pilotage des avions. Ce récit basé sur une expérience vécue relate avec simplicité l'existence aventureuse d'un homme ordinaire à la recherche de soutiens affectifs pendant la guerre d'Algérie.
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Un peloton d'hélicoptères militaires quitte Rochefort-sur-Mer pour rejoindre l'Algérie. Gilles Teller, jeune sous-officier pilote, profitant de l'opportunité offerte par une erreur de navigation, fait la connaissance dans un village de Gironde d'une étudiante, Marianne. Cette brève rencontre marque le début d'un échange régulier de lettres. Ils se découvrent. Il lui raconte les péripéties de sa vie dangereuse de pilote de guerre. Elle lui apporte le réconfort par ses descriptions de l'existence paisible dans sa province du Sud-Ouest. Insensiblement, ils expriment des sentiments intimes l'un pour l'autre. Ils deviendront un soutien moral précieux pour Gilles, terrassé par une grave maladie contractée au cours d'une évacuation sanitaire. Pendant un long cheminement dans les hôpitaux militaires, il réalise que la faculté de piloter, son idéal depuis l'enfance, va lui être retirée. Au sein d'une telle remise en cause, Marianne lui tend les bras. Lentement, il se rend compte qu'elle lui ouvre la porte sur une nouvelle aventure : quitter l'armée pour un nouveau métier, fonder avec elle une famille. Revivre en sorte !
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Ce n'est ni un roman, ni de la poésie, juste un partage de ma passion de l'humain et de l'animal à travers mon action de médiation animale en milieu carcéral. Des photos prises pendant notre travail, des moments « volés », un zoom sur ce lien entre deux êtres vivants, presque invisible à première vue mais bien réel.
Je voudrais donner une autre image de la prison et de ses occupants, mettre la lumière sur un milieu qui fait peur, que l'on ne connaît que par « extraits de films », un univers totalement déshumanisé, que l'on veut oublier, cacher... L'animal permet d'y entrer de manière douce, naturelle et permet de croire en l'humanité qu'il y a en chacun de nous. Il est important pour moi également de partager ma collaboration avec mon partenaire depuis 11 ans, un golden retriever, nommé Sunny. C'est lui qui prend la parole et raconte notre parcours, nos rencontres, notre histoire...
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Qui est-il ? Où va-t-il ? Comment peut-on vivre ainsi ?
Il a été trompette dans la Légion étrangère, garde du corps, mercenaire au Liban en 1982, démineur, prisonnier des Palestiniens puis colonel dans l'armée croate. Ses aventures montrent que la barbarie renaît où vit le conflit.
Son parcours incroyable, dur, sans pitié et désespéré, est éclairé par le parcours de son père, parachuté de Londres en 1943, évadé d'Ellrich, officier de renseignements.
Il veut devenir un héros comme son père. Il aime l'imposture, les armes et les mines.
Dans sa lutte acharnée contre l'effacement, il recherche une identité qu'il n'a jamais trouvée.
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L'histoire d'une jeune femme au parcours sinueux... Sans jamais se décourager et toujours souriante, elle vit des histoires qui vont marquer sa vie : finalement une belle vie !
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Une jeune femme de vingt-six ans, vivant seule avec son chat, passant son temps à regarder des séries, loin de sa famille, ayant une relation conflictuelle avec sa mère, retombe en dépression sévère après avoir eu un passé très difficile dont elle est encore victime...
Accro aux médicaments, aux drogues et ayant des penchants suicidaires, va-t-elle succomber au désespoir total ou va-t-elle se relever à nouveau ?
Si j'ai fait ce livre, c'est avant tout pour moi, j'avais besoin d'écrire ma vie, mettre des mots sur ce que je ressens. Si je veux publier ce livre, c'est parce que j'ai besoin de me prouver que je suis capable de réussir un projet et de faire quelque chose dans ma vie. Si je suis capable de faire ça et que les gens croient en moi et à ce que j'entreprends, pour moi ça signifie beaucoup. Je me dis que si je réussis ça, je ne peux que m'en sortir dans ma vie. Je souhaiterais aussi que mon histoire puisse donner de l'espoir aux gens qui sont susceptibles de se retrouver dans mon récit, afin de les encourager à s'en sortir et surtout en trouver la force. Si moi j'ai réussi, tout le monde le peut, même si c'est très dur.
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Dès le premier jour, je suis confronté à la dure réalité d'une discipline bête et aveugle de la part du surveillant général. Me vient aussitôt l'idée de fuir cette prison où l'on m'a interné sans me demander mon avis. Ma tentative échoue. Le chef de division, un religieux, se prend d'affection pour moi, comme il le fait pour d'autres jeunes élèves...
Étant le plus jeune de la classe, je suis confronté à des élèves plus âgés que moi. Ils vont me faire découvrir la sexualité dont je suis tout à fait ignorant. Apprenant par les copains que j'ai des adhérences et qu'il va falloir m'opérer, je me confie au chef de division. Ce religieux me les soigne à sa manière !!! C'est alors que j'apprends les bienfaits de la salive sur ce que je pensais être une infirmité.
Entre-temps, j'apprends la mort de mon père et je vais revoir en cachette ma grand-mère que ma mère m'a interdit d'aller voir. Avec elle, je goûte enfin quelques instants de bonheur.
Je me lie aussi d'affection avec le religieux qui se comporte envers moi comme le père que je n'ai plus, si bien que je songe, moi aussi, à entrer dans les ordres...
En fait, ce roman rapporte la recherche d'un père, d'un besoin d'être aimé, la fuite de contraintes insupportables, l'emprise de la religion sur les enfants, la mise au point de tous les moyens pour me venger de ce que je considère comme des injustices, le rejet d'une mère qui ne sait pas aimer et ne s'occupe que d'elle, la découverte du premier baiser féminin...
Tout le roman est aussi un témoignage de la manière dont vivaient les internes dans un pensionnat religieux de la région parisienne dans les années 50.
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Piloter ses reves - de la patrouille de france au boeing 747
Christian Roger
- 7 Ecrit
- 20 Janvier 2017
- 9791032601990
De la lecture d'un premier livre à l'âge de sept ans naît une vocation pour le métier d'aviateur chez un petit garçon qui gardait les vaches chez ses grands-parents. Cette orientation sera confortée lors de l'adolescence par des visites d'expositions et des livres qui orienteront Christian Roger vers une volonté opiniâtre de devenir pilote de chasse.
La réussite au concours de l'École de l'air permettra au jeune homme de vivre sa vocation pour un métier où il sera pilote de chasse supersonique à vingt-trois ans et où il participera à la guerre d'Algérie. Sa passion pour la voltige le fera remarquer par le chef d'état-major de l'armée de l'air qui le nommera leader de la Patrouille de France.
Plus intéressé par le pilotage des avions que par les tâches d'état-major, Christian Roger quittera l'armée de l'air assez tôt, pour mener une carrière de pilote de ligne à Air France. Il jouera un rôle déterminant dans l'évolution de cette profession, tant sur le plan technique que social, en s'appuyant sur le puissant moyen d'action du Syndicat national des pilotes de ligne (SNPL), dont il fut une figure marquante au long de près de trente années.
Ce livre relate comment a été vécue cette carrière, avec des situations comiques ou tragiques qui retracent de façon vivante ce parcours qui est le rêve de tant d'enfants.
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C'est une tranche de vie saisie à un mètre cinquante du sol, avec les yeux d'un gamin qui raconte les choses comme il a cru les voir et les ressentir à ce moment-là.
Il raconte avec ses mots, ses émotions, ses interrogations et ses sourdes révoltes.
L'école primaire rue de Tanger, les grandes vacances, la télévision, la quête effrénée pour gagner l'affection d'un père qui, par pudeur ou maladresse, semble souvent distant et sans grande complicité.
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Ce livre décrit le caractère et les agissements d'un manipulateur pervers paranoïaque.
Il met en garde ceux qui ont connu ou qui pourraient rencontrer ce genre d'individu, contre la dangerosité de ce type de caractère. Après avoir séduit sa proie, il tisse une toile qui met l'autre dans un état de sidération, l'inhibe et le rend complètement à sa merci sans qu'il s'en aperçoive.
Un grain de sable, un sursaut de sa proie, lui fait peur et c'est un des moyens pour s'en échapper s'il n'est pas trop tard.
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Etre malvoyante dans un monde de voyants, être différente dans un monde où la différence est mal vue, exister en collectivité quand on vous pousse à mal vous y intégrer, vivre dans une société ou tout n'est pas fait pour bien y vivre, vous présente alors la vie comme un combat de tous les jours. De par votre intérieur, vous êtes doté de craintes, de peurs, mais le plus effrayant vient de ce tout ce dont l'extérieur vous renvoie et vous propulse dans les yeux et le coeur. Alors que vous menez à bien votre existence, alors que vous voyagez léger, petit à petit, on vous alourdit vos bagages pour ensuite vous laisser les ranger seule. Votre vie scolaire, votre vie professionnelle ainsi que votre vie sociale sont marquées par le fait de ne pas voir comme les autres, mais votre for intérieur ainsi que votre vie affective et familiale vous poussent à être comme les autres.
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Malade dès les premiers mois de ma vie, dialysée à partir de 17 ans tout en menant de front des études, entourée de mes amis et cousins, j'avais déjà pour leitmotiv : "il faut avancer".
Pourtant, la vie et ses épreuves ne m'épargnent pas...
Avec mon mari, nous luttons jour après jour : après deux greffes, de multiples opérations et toute une vie de luttes, nous voilà à 60 ans avec trois enfants et trois petites-filles comme autant de fleurs d'espérance, parsemées dans ce parcours chaotique, qu'il faut accepter de voir et de cueillir.