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Benevent
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René Champigny lance un cri d'alarme à tous ceux qui, nés après 1940, n'ont pas vécu la terrible période de 1920 à 1945 marquée par les effets de la Révolution russe et la crise de 1929, à tous ceux qui ne se souviennent évidemment pas de Franco, Mussolini, Hitler, de la guerre de 1939-45 et de ses quarante millions de morts.
Ils ne se rappellent pas non plus la poignée de mains Charles de Gaulle-Conrad Adenauer, symbole de la paix en Europe, confirmée par la chute du mur de Berlin.
Ils risquent, sous prétexte de droits de l'Homme, de liberté, de démocratie, de se laisser prendre dans des engrenages qui ne peuvent qu'aggraver les conflits et mener à la guerre.
L'Union européenne doit donner l'exemple de la paix sans vouloir imposer sa loi.
À 87 ans, René Champigny délivre un message totalement désintéressé à nos petits-enfants et à leurs parents
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Qu'est ce que le capitalisme ?
C'est à cette question que le présent ouvrage est destiné à répondre. On en parle dans tous les domaines : politique, économique, social. et les discours qui en traitent sont toujours polémiques, partisans, idéologiques.
Il en existe de multiples définitions, chaque classe, chaque parti, groupe, tendance, en a une ou plusieurs. Opposées, antinomiques, contradictoires.
N'est-il pas nécessaire d'éclaircir cette question ?
Si le capitalisme est tellement important, tient une telle place dans la pensée et les discours, une définition claire n'est-elle pas nécessaire ?
Marc Chaigneau a recherché dans tous les secteurs des sociétés, les domaines de la pensée, pour faire un inventaire de ce qu'on lui attribue, un bilan de ce qui lui est reproché. Cherchant ainsi à ouvrir de nouvelles perspectives et une voie vers des solutions différentes de celles qui prévalent, en ce début de XXIe siècle, pour les résoudre.
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Vocabulaire critique de la démocratie en France ; propositions pour des institutions modernes
François Lalande
- Benevent
- 16 Juin 2011
- 9782756321189
La démocratie française autorise une grande liberté d'expression et de manifestation, et elle est devenue fondamentalement laïque. Mais elle reste monarchique dans ses institutions politiques nationales et locales, dans ses institutions civiles et dans tous ses modes de prise de décision collective.
A partir d'une analyse critique de la société française, François Lalande souligne le paradoxe d'une culture qui se voit comme le berceau de la démocratie alors qu'elle conserve des modes de fonctionnement surannés, profondément marqués par le centralisme étatique et les traditions religieuses.
Afin d'évoluer vers des institutions modernes qui permettraient aux responsables de tous bords de gérer le pays avec efficacité et aux citoyens de participer aux débats et aux décisions qui les concernent, l'auteur formule des propositions fortes. Seule une majorité culturelle convaincue permettra une telle avancée.
Il s'agit ici d'un réalisme pragmatique, les véritables irréalistes étant ceux qui croient que l'on peut continuer comme à présent. Pour formuler ces propositions novatrices, François Lalande s'appuie sur sa longue expérience de cadre d'entreprises privées et de services publics, de militant associatif et politique.
Cet ouvrage s'adresse aux citoyens et aux militants soucieux d'approfondir leur réflexion sur la démocratie et d'agir dans toutes les structures collectives qui organisent notre vie.
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Comme deux grands arbres qui ont dominé la plaine du vingtième siècle, orienté le cours de l'Histoire, le général de Gaulle et François Mitterrand, sans jamais se rencontrer, ont servi la France avec passion. Puisse ce dialogue imaginaire rendre hommage aux deux hommes qui ont occupé avec talent la plus haute fonction.
Charles de Gaulle Le peuple, Mitterrand, le peuple est souverain Avec ses qualités, son génie, son destin.
Sans le peuple on n'est rien, avec lui on est tout, C'est la clé du pouvoir, l'irrésistible atout.
François Mitterrand Le peuple on l'utilise, et c'est un plébiscite, La propagande est là, entraînante, explicite, Qui fait voter de là, il faut voter pour lui, De Gaulle qui toujours est celui que l'on suit.
Didier Jean, né à Vannes en 1952, diplômé d'études approfondies en géopolitique, c'est toujours intéressé aux problèmes du pouvoir. Ce livre en est une illustration.
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Il ne s'agit pas d'un livre de partisan, mais d'un recueil de certaines réflexions faites au jour le jour depuis près de soixante ans, et que domine la double aspiration de l'efficacité économique et de la justice sociale.
L'aspiration à la grandeur culturelle de l'Europe, continent qui est passé par les plus graves crises de l'histoire, conduit à souhaiter que la France y poursuive son rôle d'inspiratrice.
La patrie des Lumières peut et doit tenter la réconciliation du capital et du travail, par une transparence totale des gains et un abandon du conflit larvé entre le pouvoir des chefs et celui des travailleurs, pour un partage collectif des risques encourus et des avantages acquis. Tout le monde dans le même bateau, sans ponts qui créent les classes. Créer enfin l'équipage dans les entreprises.
La patrie des Lumières se doit de rénover et d'adapter à notre temps son école, de privilégier la culture où l'Europe a d'exceptionnels atouts, de promouvoir plus de fraternité et de lutte pour moins d'inégalités, de résoudre les problèmes du logement, du manque de respect collectif, de la pollution, et d'enseigner les leçons que nous donne la nature.
Utopies ? Pourquoi pas. L'utopie d'hier est réalité d'aujourd'hui. Il faut tous voir un peu plus loin, d'un peu plus haut les différences, et redécouvrir l'identité universelle de l'homme, notre frère.
Francis LEGRAND
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Michel Arrouays a été, pendant près de vingt ans, le responsable en France de neuf programmes de politique étrangère en matière de coopération universitaire financés pas l'Union européenne, concernant soixante-dix pays répartis sur toute la surface du globe.
Les états du monde n'est pas le fruit de pures spéculations mais le produit de nombreuses observations de terrain faites par l'auteur lors de missions à l'étranger.
Ses voyages étaient l'occasion de relever des données et d'en faire la synthèse à destination de potentiels intervenants français, afin d'optimiser leurs travaux à l'échelle d'un pays ou d'une région.
La vision géopolitique qu'il propose n'a rien d'un simple bilan chiffré : il s'agit d'un tableau des mentalités des diverses nations rencontrées et des relations qu'elles entretiennent entre elles.
Examinant successivement la situation française puis européenne, l'auteur invite ensuite le lecteur à contempler un panorama où il découvrira des réalités bien loin des clichés véhiculés par les média, qui relaient souvent des stéréotypes.
Cet ouvrage est destiné à un large public désireux de s'informer sans verser dans la spécialisation. Il pose la question du sens des choses aujourd'hui, alors que les idéologies sont déclarées mortes et que la science fourmille de découvertes sans offrir de théories explicatives. Alors, vivons-nous dans un monde éclaté qui voit l'homme saisi d'effroi oe
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« Il avait dû cerner toutes ces raisons du surgissement du fascisme et du nazisme pour comprendre comment juger des crimes de guerre qui s'étaient produits en Bosnie de 1992 à 1995. Des crimes de guerre, c'est-à-dire de génocide et de crimes contre l'humanité. Il s'était rendu compte que les trois années de durée de cette guerre correspondaient pratiquement à la durée de l'exécution de la «solution finale..., mais que l'élimination des prisonniers, faits parce que d'autres ethnies que celles de l'adversaire, avait une durée moindre.
Il avait rédigé des notes qui correspondaient exactement à ce qu'il avait compris et sur lesquelles il s'appuierait pour ordonner le déroulement du procès. »
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Le combat sera long et pugnace.
Pour deux raisons : la République tient à sa place.
Et surtout, elle est le principal obstacle empêchant le monde d'inaugurer son millénaire, et le genre humain de respirer, en voulant maintenir le monde et le genre humain dans les carcans de ses modèles surannés.
Elle est d'hier et n'acceptera pas le monde de demain sans résister, comme la France, royaliste et chrétienne de toujours, ne pourrait se soustraire à demain sans manquer à sa vocation.
Là où la République pressent sa fin, la Royauté devine sa résurrection.
Ce livre nous dit pourquoi et comment, dès aujourd'hui, la Royauté renaissante est en train de prendre la relève de la République moribonde.
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Depuis quelques années les organisations humanitaires et ONG se sont multipliées. Ceci est à porter à l'actif de notre société, alors qu'autrefois, ce qu'on appelait " la charité " était l'oeuvre limitée ayant surtout pour origine des émanations religieuses. Notons que de nos jours, celles-ci jouent encore un grand rôle, mais on voit maintenant apparaître des hommes d'affaires et Bill Gates en est sans doute l'un des leaders.
Parmi les nombreuses ONG, nous en avons choisies trente-cinq en soulignant l'historique, l'évolution, les actions les plus marquantes.
Si possible, nous avons essayé dans certains cas de mettre en évidence la relation entre les fonds effectivement versés aux bénéficiaires, et les frais d'exploitation.
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L'association F.L.N. vaincra à l'offensive Tome 1 ; 22 juin 1967-14 août 1970
Jean Oblin
- Benevent
- 12 Janvier 2009
- 9782756310732
En août 1970, à la deuxième session plénière du Comité central issu du ixe congrès du parti communiste chinois, le vice-président Lin Piao fut mis en minorité par une clique d'opposants à la Grande Révolution culturelle prolétarienne.
Ce coup d'État contre la G.R.C.P. et contre tous les responsables de cette Grande Révolution, à commencer par le vice-président Lin Piao, dauphin du président Mao, et Chen Po-Ta, fut perpétré un an environ avant la mort mystérieuse de Lin Piao.
Nous y voyons plus clair aujourd'hui, après ces trente-neuf années qui ont vu la transformation du parti communiste chinois en un parti social-impérialiste qui n'a rien à envier au parti social-impérialiste russe avec tout ce que cela implique : la mise en place d'une corruption à grande échelle et l'abandon de toute morale de classe.
Parallèlement, le soutien à la guerre populaire prolongée au Vietnam et en Palestine était progressivement abandonné en Chine Populaire.
L'association F.N.L. Vaincra et l'association Les Amis de F.N.L. Vaincra ont, quant à elles, fermement tenu en mains le drapeau de la Révolution, comme on l'a vu précisément le 11 août 1970, journée militante de soutien à la G.R.C.P., au Vietnam et à la Palestine.
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« Les deux hommes, surpris par la brutalité de l'aveu, se redressèrent de concert, au point de se cogner.
Devant leur désarroi, Monica Bellicu crut bon de préciser :
- On a fait l'amour, quoi !
Nicolas Rozakys consulta du regard François Pillon, puis reprit :
- Oui, on a compris. Ce n'est peut-être pas bien, mais ça n'est pas un crime non plus. Qu'est-ce qui vous perturbe ?
- Je ne sais pas comment c'est venu... J'étais tout près de lui, je sentais son souffle, et je l'ai embrassé, par compassion, comme ça, sur la joue d'abord...
- On ne va pas vous demander les détails...
- Et puis il a déboutonné ma blouse d'infirmière, ma coiffe est tombée...
- Mais... vous vous habillez en infirmière pour garder monsieur de la Gevouvoy ? » Ségolène, l'épouse du curé Culome, trouve la mort dans l'explosion de son véhicule, au lendemain de l'enterrement de sa belle-mère. Qui peut avoir commis un tel crime, dont la méthode surprend dans la paisible campagne vosgienne ? Son mari ? Un proche de la famille recomposée dans laquelle de nombreux postulants louchent sur l'héritage ? Ou alors une erreur sur la personne ? Le commandant de gendarmerie Rozakys, flanqué de son fidèle adjoint Pillon et de ses subordonnés Cardos, Forteheux, Jeandevide, Monora, Péco, Séraffin, Sirotes, etc. est chargé de l'enquête.
Cette comédie qui a pour cadre un microcosme provincial passe allégrement de l'humour à la tragédie. La légèreté du propos, ponctuée de certaines considérations existentielles, n'est qu'un prétexte pour démontrer l'inanité de l'ambition personnelle.
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Les espoirs déçus ou le désordre d'être maire au féminin
Christine Welker cruzalebes
- Benevent
- 18 Décembre 2009
- 9782756315263
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Comment sortir du merdier actuel ? ; petit manuel à l'intention des maîtres du monde
Julie-céline Grobon
- Benevent
- 22 Août 2011
- 9782756322001
Feriez-vous partie de ceux qui s'interrogent sur l'origine du bordel actuel ?
Tel est le départ de cette réflexion qui se propose d'étudier les vraies causes de la situation en cours et d'amener des solutions concrètes pour y remédier. En effet, il est grand temps d'adopter un nouveau comportement qui sera autre que le modèle « dominant-dominé » que la plupart des êtres humains entretiennent dans leurs relations personnelles, mais aussi et surtout envers tout ce qui vit. C'est pourquoi ce livre s'est attaché à donner des conseils immédiatement applicables au quotidien et à fournir une vision nouvelle de notre relation avec la Terre et notre environnement qui est simplement un retour au bon sens.
Un changement dans notre façon de « voir » le monde est, selon l'auteure, la clé pour se sortir du merdier actuel.
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ÿþAncien rédacteur en chef du Provençal où il avait débuté au fond de la classe. Ancien directeur de la rédaction sportive du Dauphiné Libéré, Jean-Louis Levreau, né à Alès dans les Cévennes, a été incité par son père, Charles, à devenir journaliste...
Après des études de droit, il décroche un diplôme en bonne et due forme à l'École Supérieure de Notariat.
Il avait rêvé d'être footballeur professionnel et a connu tout ce qu'il était bon de savoir sur ce métier.
De sa place d'observateur et de critique, il a couvert plus de quatre cents matches internationaux, entre nations ou clubs, cinq coupes du Monde, quatre championnats d'Europe, il a assuré le suivi attentif de l'équipe stéphanoise, du parcours de la Juventus de Michel Platini et des aventures européennes de Bastia et de l'OM, conclues par le seul titre de ligue des champions, obtenu par un club français.
Quinze Tour de France lui ont ouvert les yeux sur le cyclisme devenu depuis sa passion.
Mais, c'est dans le labyrinthe de ses rapports professionnels avec le monde politique qu'il a meublé sa mémoire de sujets de réflexion à faire partager.
Le pouvoir est-il exercé par vocation, ou pour l'attrait des privilèges qu'il procure ? Par ambition ou par conviction ? Nicolas Sarkozy apportera-t-il les bonnes réponses ?
Bien des questions sont posées dans cet essai d'un ancien journaliste amoureux de Marseille. Il ne suggère que des réponses à méditer. Le rôle des médias, multiplié par leur nombre et leur diversité est trop souvent déstabilisant pour les cibles. Aussi dit-il :
" Je m'excuse d'avoir été journaliste quand je constate les dégâts ".
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Pourquoi l'Afrique est-elle absente des « grands concerts internationaux », pourquoi ne dispose-t-elle toujours pas de siège permanent au conseil de sécurité de l'Organisation des Nations unies, et cela plus d'un quart de siècle après la fin de la guerre froide ?
L'Afrique est-elle disqualifiée, ou plutôt marginalisée, à cause de son identité ? Son échec est-il dû à ses pratiques ou à ses croyances traditionnelles ? Ou bien encore, est-elle victime de ses richesses ?
L'auteur, refusant de souffrir d'un aveuglement coupable, tente d'apporter des éléments de compréhension à la problématique africaine ; il s'agit de mettre en lumière les « causes-effets » ; c'est-à-dire de démontrer les mécanismes qui ont engendré les facteurs de sous-développement en Afrique et ont enfermé tout un continent dans un cycle d'appauvrissement.
La problématique africaine étant moralement et intellectuellement incompréhensible, traiter un tel sujet, si délicat par son essence même et complexe par ses paradoxes et ses contrastes, nécessite en premier lieu de le rendre intelligible pour le lecteur.
Dans cet ouvrage, il ne s'agit pas de développer des théories économiques ou philosophiques qui pourraient s'avérer des rhétoriques répétitives et excessives. Ce n'est pas un répertoire de statistiques, mais plutôt une autocritique constructive. L'auteur l'a rédigé avec la plus grande honnêteté intellectuelle, grâce à sa parfaite connaissance de l'Afrique et à sa maîtrise de la géopolitique internationale, pour le rendre très largement accessible au grand public, dans un style simple mais percutant, à la fois romantique et poétique, permettant d'emblée au lecteur de mieux saisir l'essence même de la nébuleuse problématique africaine.
Profondément africain et intellectuellement libre, l'auteur a toujours tenu fermement au destin de l'Afrique.
Sa pensée ne relève pas d'une simple vision d'économiste, moins encore d'un optimisme utopique. Pourtant, il fait le constat que le temps semble ne plus être l'allié de l'Afrique.
Malgré tout, l'auteur, expert en développement participatif, reste convaincu que l'Afrique est une terre d'avenir.
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Dans quelle catégorie vous classez-vous ?
Vous êtes très très pauvre Vous êtes très pauvre Vous êtes pauvre Vous êtes moyen pauvre Vous êtes moyen Vous êtes moyen riche Vous êtes riche Vous êtes très riche Vous êtes très très riche Et si l'on croyait Confucius lorsqu'il prétend que l'« on a les opinions de ses intérêts »?
Ce livre de Pierre Gil met au jour de cruelles vérités susceptibles d'entamer nos certitudes.
Il nous arme contre les préjugés qui nous enlisent dans l'indifférence, et nous invite à plus de clairvoyance.
Il célèbre la liberté, celle du choix du lecteur qu'il espère avoir secoué !
Un livre salutaire, parce qu'un livre coup-de-poing !
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Chaque instant est une expérience que la vie impose à tous, sans que l'on ne veuille ni ne puisse y échapper.
Toutefois, si l'on trouve cette force invisible, indéfinissable, l'esprit peut alors anticiper les événements du destin.
Changer les lendemains qui parfois ne répondent pas à nos ambitions ! Il faut alors avoir la volonté qui vous fait avancer, même sur des chemins escarpés, parfois dangereux, quelquefois mortels.
Malgré tous les nuages, chacun peut avoir sa part de soleil et son étoile...
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Collège-lycée ; service public d'éducation?
Agathe Berthier, Bernard Buffard
- Benevent
- 1 Juin 2007
- 9782756305295
L'éducation nationale se doit non seulement d'instruire, mais aussi d'éduquer. Éduquer qui ? les enfants ? leurs parents ? Est-ce possible ? Si oui, au prix de quelles réformes ?
- Voyons le terme « public », qui évoque le spectacle. L'école est-elle devenue une ruineuse télé-réalité dont les acteurs - enfants, parents, enseignants - ont perdu le sens de leur rôle ?
- Enfin le « service ». L'école est en crise, indéniablement.
Sert-elle encore à quelque chose ? à quelqu'un(e) ? Si oui, à qui ? aux élèves ? au corps enseignant ? aux entreprises ? à la société ?
Cet essai, après l'analyse de notre système éducatif actuel, oeuvre au projet d'un enseignement souple, certes, mais exigeant et adapté au binôme que forment l'élève et l'entrepreneur, pour une formation professionnelle et citoyenne fondatrice d'inéluctables mutations à venir dans un monde global.
Deux enseignants passionnés posent, sans démagogie, des actions réalisables et réalistes, pour que l'école soit enfin un service public de promotion de l'individu créateur de richesses à partager.
Agathe Berthier, certifiée de lettres modernes en collège et Bernard Buffard, professeur technique agrégé, chef de travaux dans un lycée technologique, sont des enseignants créatifs et innovateurs dans leur fonction respective.
Soucieux de développer toutes les potentialités du système éducatif, ils souhaitent mener chaque jeune à un niveau de qualification. Agathe s'est engagée aux côtés d'associations culturelles et Bernard est délégué régional de l'association Jeunesse et entreprises.
Leurs actions en faveur des jeunes est toujours à la base de leur engagement.
