Histoires d'hommes rassemble une cinquantaine de monologues écrits pour des femmes.
Destinés à des actrices de tous âges, ces textes s'inscrivent dans l'espace de la représentation, pour le temps du plateau. on y retrouve le style si particulier de durringer parole tendue, invectives, cris du corps, révolte de l'âme, poésie de l'instant, échos de la ville ou de la nature. des éclats fulgurants de la vie de femmes amoureuses, seules, en colère.
à lire, à programmer sur une scène, à partager avec des publics en manque de théâtre et d'amour.
De toute urgence !.
Xavier Durringer aime propulser sur scène et dans les pages les paumés, les prolos, les dédaignés.
Et avec eux, leur cortège de mots crus, de syntaxe tordue, mais aussi de fulgurances poétiques. Bal-trap, c'est la fin d'un bal et celle d'un couple. L'amour comme au tir au pigeon? Loin de là, car un autre couple se forme sur les traces du premier. Les petits bonheurs à venir chassent les grands malheurs. Et inversement. Encore un dancing, mais cette fois-ci, c'est soirée sur le parking : on ne rentre pas.
Alors quoi, il y aurait les nantis qui accéderaient aux paradis artificiels et les laissés-pour-compte? Et si ces petits loulous étaient les vrais vivants : désespérés, mais insatiables; eux qui ont une envie de tuer sur le bout de la langue. Ces deux premières pièces de Durringer font surgir un auteur âpre, subversif, qui aime mêler pulsions de vie et de mort, grande tendresse et sexualité tellurique.
Haletant.
Gepetto et Horace sont rejoints en cellule par Robert. condamné pour meurtre. Fasciné par les métamorphoses de l'acteur et le glamour du grand écran, Gepetto l'escroc demande à Robert l'acteur de lui apprendre à devenir un autre. Entre bouffonneries et monologues shakespeariens, deux mondes et deux conceptions de l'art se confrontent dans ce huis clos carcéral. La comédie laisse rapidement place au draine au fur et à mesure que se dévoilent le talent de l'un et les stigmates de l'autre.
Revue à l'occasion de la mise en scène de l'auteur. cette très belle pièce de Xavier Durringer sur le pouvoir du jeu rend hommage à la passion des acteurs sans pour autant concéder à la férocité du milieu.
C'est la collection "historique", l'essentiel de la production avec 14 à 20 sorties chaque année. Les éditions THÉÂTRALES publient ainsi de nouveaux auteurs et soutiennent leurs "auteurs maison".On retrouve donc des auteurs français, de Azama à Rullier, en passant par Bonal, Besnehard, Cormann, Durringer, Fichet, Minyana ou Renaude, entre autres, et des auteurs étrangers tels que Belbel, Bouchard, Dalpé, De Filippo, Fischerova, Hacks, Horovitz, Müller, Murphy, Motton, Nadas, Rozewicz, Schwajda, Santanelli, Stock, Tabori ou Zahnd, par exemple.
Les textes sont publiés en fonction de leur théâtralité - comme le démontrent les nombreuses créations dont ils font l'objet - et surtout de leur capacité à pouvoir être lus et appréciés pour leurs qualités littéraires.
Bianca a passé sa vie à danser au Love Suprême, un peep-show de Pigalle. Mais elle n'a plus vingt ans, et on la remercie « gentiment » : il est temps pour elle de quitter les lieux. La danseuse revient sur ses années passées à danser nue de l'autre côté d'une vitre sans tain, sur ses rêves envolés et ses désirs inassouvis ; sur ses joies et ses peines.
Au-delà de son histoire intime, c'est le portrait de sa génération qu'elle dépeint, ses désillusions et ses échecs. La vie de la nuit se révèle comme le négatif de la vie sociale et politique, avec ses faux-semblants, ses mensonges et ses hypocrisies.
Dans une cellule de prison, Robert, acteur et metteur en scène condamné pour meurtre, rejoint Gepetto, un petit escroc, et Horace, son mystérieux codétenu muet et insomniaque...
Les liens se nouent entre Robert et Gepetto autour du métier d'acteur. Mais les deux détenus ne lui donnent pas la même définition : Gepetto ne pense qu'au star system ; Robert, lui, invoque Shakespeare, Stanislavski et l'art de l'acteur. Pourtant ce dernier va enseigner la comédie au premier ; dans cette cellule qui se transforme peu à peu en scène de théâtre, le maître pousse l'élève dans ses ultimes retranchements, au coeur des secrets du métier, et tente ce pari fou : faire de lui le plus grand acteur au monde.
Avec sa langue toujours percutante, canaille, populaire, scabreuse, Durringer revient au texte par une mise en abyme de cet art qui ne finit pas de fasciner, le théâtre.
Intérieur jour. Une pizzeria au bord d'une route. Sur les banquettes de skaï, le gangster fait face à l'auto-stoppeuse. Un silence s'installe, long, interminable. « Coupez ! s'écrie Paul Corso. Mais pourquoi il ne dit pas son texte, ce con ? » Corso n'en est pas à son premier tournage, mais un comédien qui refuse de parler, c'est du jamais-vu. Quelle idée aussi d'engager, dans le rôle du taulard, un vrai taulard... Il fait peur à tout le monde, ce dingue. La réalité vient de s'inviter dans la fiction : débordements à prévoir...
Édition établie, annotée et commentée par Johan Faerber, avec une interview de Xavier Durringer Assis au bord de la route, près de la tombe d'un chanteur disparu, Gus et Léa revivent les étapes de leur histoire ensemble. Une vie à deux, comme tant d'autres, avec ses galères et ses bonheurs. À travers cette chronique théâtrale originale, Xavier Durringer retrace l'image d'une époque rongée par la crise des années 1980 et portée par un inextinguible désir de survie.L'auteur Né en 1963 à Paris, Xavier Durringer est l'une des plus importantes figures du théâtre contemporain français. Traduite dans plus de vingt langues, son oeuvre témoigne d'un sens aigu de l'observation sociale et du renouvellement de l'écriture théâtrale.Le dossier Par Johan Faerber, docteur ès lettres, spécialiste de littérature française contemporaine.
Pour aider les élèves à comprendre les enjeux de la pièce, J. Faerber a retenu trois pistes de lecture : 1. Des personnages en couple, 2. Un théâtre itinérant. 3. Une chronique théâtrale.
Le dossier comprend également des repères biographiques et culturels, plusieurs sujets de type bac, un entretien avec X.Durringer.
Il y a ceux d'en haut : le trio infernal de la politique, le politicien aux mains blanches, le conseiller technique aspirant mafieux et l'homme de main (sale).
Il y a ceux d'en bas : les sans-logis, sans-papiers, sans-travail, traversés par des énergies révolutionnaires, mais sans maître ni utopie. après les guerres et les révolutions, tous désormais surfent, à la surface de la réalité. interchangeables, tous attendent la grande vague fabuleuse.
Pour sa première oeuvre " politique ", xavier durringer nous livre une comédie grinçante, violente, sur un air " bluesy ", un peu black.
Une pièce de guerre en temps de paix, une pièce de paix en temps de guerre.
C'est la collection "historique", l'essentiel de la production avec 14 à 20 sorties chaque année. Les éditions THÉÂTRALES publient ainsi de nouveaux auteurs et soutiennent leurs "auteurs maison".On retrouve donc des auteurs français, de Azama à Rullier, en passant par Bonal, Besnehard, Cormann, Durringer, Fichet, Minyana ou Renaude, entre autres, et des auteurs étrangers tels que Belbel, Bouchard, Dalpé, De Filippo, Fischerova, Hacks, Horovitz, Müller, Murphy, Motton, Nadas, Rozewicz, Schwajda, Santanelli, Stock, Tabori ou Zahnd, par exemple.
Les textes sont publiés en fonction de leur théâtralité - comme le démontrent les nombreuses créations dont ils font l'objet - et surtout de leur capacité à pouvoir être lus et appréciés pour leurs qualités littéraires.
Dans le brouillard de l'existence, Raphaël évolue joyeusement au radar. Un peu auteur, un peu comédien, un peu bouquiniste, il brûle la nuit, le théâtre et l'amitié par les deux bouts. Jusqu'à sa rencontre avec Viktor, le vieux juif russe du bar d'à-côté. Si l'identité de celui qu'on appelle « monsieur le Président » reste aussi brumeuse qu'un arrière-plan de Léonard de Vinci, sa conversation a quelque chose de l'évidence. Maître des portes d'une vérité invisible au profane, Viktor initie peu à peu Raphaël à la seule carte au trésor qui vaille : le sens de la vie...
C'est la collection "historique", l'essentiel de la production avec 14 à 20 sorties chaque année. Les éditions THÉÂTRALES publient ainsi de nouveaux auteurs et soutiennent leurs "auteurs maison".On retrouve donc des auteurs français, de Azama à Rullier, en passant par Bonal, Besnehard, Cormann, Durringer, Fichet, Minyana ou Renaude, entre autres, et des auteurs étrangers tels que Belbel, Bouchard, Dalpé, De Filippo, Fischerova, Hacks, Horovitz, Müller, Murphy, Motton, Nadas, Rozewicz, Schwajda, Santanelli, Stock, Tabori ou Zahnd, par exemple.
Les textes sont publiés en fonction de leur théâtralité - comme le démontrent les nombreuses créations dont ils font l'objet - et surtout de leur capacité à pouvoir être lus et appréciés pour leurs qualités littéraires.
C'est la collection "historique", l'essentiel de la production avec 14 à 20 sorties chaque année. Les éditions THÉÂTRALES publient ainsi de nouveaux auteurs et soutiennent leurs "auteurs maison".On retrouve donc des auteurs français, de Azama à Rullier, en passant par Bonal, Besnehard, Cormann, Durringer, Fichet, Minyana ou Renaude, entre autres, et des auteurs étrangers tels que Belbel, Bouchard, Dalpé, De Filippo, Fischerova, Hacks, Horovitz, Müller, Murphy, Motton, Nadas, Rozewicz, Schwajda, Santanelli, Stock, Tabori ou Zahnd, par exemple.
Les textes sont publiés en fonction de leur théâtralité - comme le démontrent les nombreuses créations dont ils font l'objet - et surtout de leur capacité à pouvoir être lus et appréciés pour leurs qualités littéraires.