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Guy Bedos
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Je me souviendrai de tout ; journal mélancomique
Guy Bedos
- J'ai Lu
- Document
- 14 Juin 2017
- 9782290130742
L'humoriste évoque sa vie et sa carrière, son enfance à Alger, ses histoires d'amour, sa famille, les artistes qu'il a côtoyés, tout en passant au crible l'actualité politique
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Portrait de vingt-cinq personnes attendues ou inattendues, d'Aragon à Signoret, de Sagan à Coluche, de Jean-Loup Dabadie à Sophie Daumier. G. Bedos raconte ici ses amis et ses ennemis, ses amours et ses colères mais surtout qui il est.
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La fraîcheur de sa colère, son amour des femmes, ses instincts de bon père juif, son usage immodéré de l'humour comme ultime politesse, David n'a rien perdu. Pourtant Leïla, l'Arabo-Andalouse de sa vie, l'a abandonné. Les Fellini, les Mastroianni, les Serrault et autres frères élus ont disparu sans crier gare. Alors il écrit. Des notes éparses, qu'il laisse traîner un peu trop négligemment, et qui déclenchent une correspondance inattendue avec ses trois enfants...
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" Je suis fille de Georges, métèque, grec, né à Alexandrie et de Yanick, bretonne de Roscoff, Finistère Nord, née à Levallois-Perret. Issue de ces deux berceaux différents, rencontre de l'Occident et de l'Orient. Remonter le fil jusqu'à mes grands-parents. Dresser leurs portraits, l'histoire familiale, ses anecdotes. Revenir à la source, mes racines et bout à bout, pièce après pièce, reconstituer le puzzle...
Témoigner sur la joie mais aussi la difficulté de grandir auprès de parents hors-norme, tous deux artistes et bien jeunes à ma naissance. Surtout lorsque l'image publique est forte et la notoriété vive. J'ai ressenti le manque, la solitude, l'absence mais j'ai aussi aiguisé, précoce, une force d'adaptation, un esprit audacieux et rebelle. J'ai pris au lasso les moments de bonheur, de tendresse et de complicité partagés. Auprès de mon père globe trotteur et de ma mère poétesse, les rencontres ont étés magnifiques. Elles ont laissé leurs empreintes, leurs influences. Parmi elles, Edith Piaf qui m'offre ma première guitare, Paco Ibanez, Jacques Higelin, Renaud, Barbara, Jeanne Moreau, Josiane Balasko, Vinicius de Moraes, Caetano Veloso, Pierre Richard, Diane Dufresne, Catherine et Maxime Le Forestier, Albert Cossery ...
Avec mon père, c'était aussi le plaisir, pour l'enfant et l'adolescente que j'étais, de l'accompagner parfois en tournée à travers le monde. Cette soif de voyage, je la tiens de lui comme cette volonté, très jeune, de tracer ma route. Ce récit livre leur histoire, mon histoire. " -
Pointes, piques et repliques de guy bedos
Guy Bedos
- Le Cherche Midi
- Les Pensees
- 3 Août 2005
- 9782862745855
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Évidemment, ce ne sont pas des mémoires. Pas de souvenirs d'acteur, pas de traversée du demi-siècle, tout le monde n'est pas beau, tout le monde n'est pas gentil. Pour la première fois, Guy Bedos écrit à la première personne l'histoire de la personne la plus importante de sa vie : sa mère. Leur histoire, leur lien. Sa haine et son amour. Il a peut-être deux ans, trois tout au plus, en Algérie, et il voit sa mère frapper son père avec un marteau. Le livre commence comme ça, dans cette brutalité. Aujourd'hui, le petit garçon de deux ou trois ans en a soixante-dix. Et sa mère est toujours, à quatre-vingt-dix ans, terriblement vivante, terriblement présente. Guy aimerait autant qu'elle disparaisse avant lui. Il n'en est pas très sûr. D'où ce besoin d'écrire ce livre-là, retenu sans doute depuis très longtemps. Ce livre qui raconte tout ce qu'il n'a jamais osé raconter de son enfance et son adolescence, de sa jeunesse mais de sa vie d'homme aussi.
C'est un livre où Guy Bedos s'est tout permis, tout autorisé, sans le moindre scrupule mais sans aucune complaisance. C'est un livre qui plaira à tous ceux qui l'aiment mais aussi à ceux qui ne l'aiment pas. Mémoires d'outre-mère nous font découvrir un homme écorché à vie, un blessé grave qui n'a pas trop envie de guérir et surtout et enfin, ce n'est pas lui qui le dira, un écrivain.
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La Bourse ? Je m'en fous. J'ai choisi la vie.
J'ai horreur des gens qui parlent pendant que je les interromps !
Etre prêt à mourir pour le peuple, ça signifie pas qu'on est prêt à vivre avec !
La Légion d'honneur pour un humoriste, c'est une faute professionnelle.
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Arrêtez le monde, je veux descendre !
Guy Bedos
- Le Cherche Midi
- Le Sens De L'humour
- 1 Mars 2003
- 9782749100982
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Bete de scene
Guy Bedos
- Éditions Hors Collection
- Humour Hors Collection
- 6 Janvier 2005
- 9782258067516
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J'ai fait un rêve ; entretiens avec Gilles Vanderpooten
Guy Bedos
- Editions de l'Aube
- Monde En Cours
- 14 Mars 2013
- 9782815907224
Résister par l'insolence et par le rire, Guy Bedos s'y attache, en comédien et en observateur féroce de notre société.
De sa jeunesse algérienne, il tient l'antiracisme. Du refus de l'indifférence, l'engagement pour les droits de l'Homme. Du goût pour la liberté, l'indocilité face aux pouvoirs. De l'exigence de démocratie, l'appel à l'« insurrection pacifique ».
Guy Bedos projette son rêve d'une société meilleure dans la jeunesse qui s'indigne et qui agit. Rencontre avec un homme irrésistiblement drôle et tourné vers la vie.
«À ceux qui me demandent de quoi je me mêle, je réponds que je me mêle de ce que je regarde.» «Vive l'avenir ! Plus qu'un message, c'est un devoir pour l'idéaliste et le père que je suis.» «La Bourse ? Je m'en fous. J'ai choisi la vie.»
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J'ai fait un rêve
Gilles Vanderpooten, Guy Bedos
- Editions de l'Aube
- L'aube Poche
- 19 Février 2015
- 9782815911504
Résister par l'insolence et par le rire, Guy Bedos s'y attache, en comédien et en observateur féroce de notre société. De sa jeunesse algérienne, il tient l'antiracisme. Du refus de l'indi érence, l'engagement pour les droits de l'Homme. Du goût pour la liberté, l'indocilité face aux pouvoirs. De l'exigence de démocratie, l'appel à l'« insurrection pacifi que ». Guy Bedos projette son rêve d'une société meilleure dans la jeunesse qui s'indigne et qui agit. Rencontre avec un homme irrésistiblement drôle et tourné vers la vie. Une introduction à ce livre sera ajoutée afi n de permettre à Guy Bedos de raconter à Gilles Vanderpooten comment il a vécu sa première année de « retraité » !
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Comme beaucoup d'entre nous, Guy Bedos avait suivi la dernière campagne de gauche, celle de François Hollande, avec espérance. Mais son regard sur ce quiquennat décevant, il l'a résumé en une phrase assassine : "Nous sommes toutes et tous des Valérie Trierweiler." À l'heure où l'extrême droite se projette au pouvoir, où tous les pronostics sont mis à mal par les rebondissements de l'actualité, il se livre de nouveau à son exercice favori : la revue de presse.
Libre comme il l'a toujours été, il porte les coups et se moque des puissants tout en donnant un éclairage cruel au théâtre politique. Dans ce journal de campagne, où l'on rit parfois de bon coeur, parfois jaune, l'auteur tente de mobiliser des électeurs assoupis avec cet esprit vif et corrosif qui est sa marque de fabrique.
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Petites drôleries et autres méchancetés sans importance
Bedos Guy
- Le Seuil
- 1 Septembre 1989
- 9782020107839
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Artiste engagé à la plume bien pendue, Guy Bedos évoque son passé, les hommes et femmes qu'il a eu la chance de croiser, de Jacques Prévert à Pierre Desproges en passant par Simone Signoret ou Coluche. Entre la vie qui le rassure et la mort qui le séduit, ce « suicidaire qui s'attarde » promène sa mélancolie et nous invite dans ses souvenirs. Il parle de l'amour, des femmes, de sa famille, de ses enfants avec qui il partage le goût de la scène et de l'écriture. Comme il l'a fait pendant un demi-siècle, il ne peut s'empêcher de passer au crible l'actualité avec un esprit décapant. Il s'en prend à tous, de la gauche de François Hollande à la droite de Nicolas Sarkozy, sans oublier la tribu Le Pen . Dans ce livre fait d'émotion et d'humour, Guy Bedos évoque ses passions et nous communique son irrépressible envie de rire et de se moquer, y compris de lui-même. © Hélène Pambron
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Il est drôle, on ne va pas, en plus, lui demander d'être gai ! Guy Bedos le plus « mélancomique » des amuseurs français trouve, en effet, que faire rire ses contemporains est, de nos jours, une entreprise de plus en plus folle, de plus en plus téméraire. Il s'y risque cependant et conserve à ce jeu, l'affection et la fidélité d'un public nombreux qui sait déceler, sous ses flèches de féroce allégresse, des marques constantes de pudeur et de tendresse. C'est le même public qui a fait le succès de Je craque... (250 000 exemplaires vendus) publié en 1976. Guy Bedos y révélait sa capacité à dépasser le constat-sprint qu'est le sketch pour gagner la course de fond (et de forme) que représente un « vrai » livre. Ayant perdu l'innocence heureuse de l'auteur néophyte, mais ayant gagné la liberté lucide d'un écrivain confirmé, Guy Bedos récidive. Ce n'est pas un hasard, c'est une nécessité. Rien ne va mieux autour de lui, autour de nous. Il n'est que temps d'exorciser la peur. Contre elle, une seule arme absolue : l'amour. En attendant la bombe (et en griffant au passage quelques « grands » de rencontre), Guy Bedos parle donc de ceux qu'il aime, sa femme, ses enfants, ses amis. Quoi de plus agaçant que le bonheur des autres ? Rien, sauf lorsque Guy Bedos parle du sien. En attendant la bombe : un hymne à la vie pour éloigner la mort. On est souvent ému, mais - chassez le naturel - on rit beaucoup. Aussi.
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Faire du drôle avec du triste, c'est ma devise Sauf qu'avant d'accéder au drôle, il faut passer par la case « triste ».
Je me fais souvent interpeller par des passants sympathiques qui me disent :
« C'est pas la matière qui manque, en ce moment. Vous devez vous régaler ! » Je me régale. À mort.
G. B.
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Un récit émouvant sur la relation d'un père à sa fille.
" Je suis fille de Georges, métèque, grec, né à Alexandrie et de Yanick, bretonne de Roscoff, Finistère Nord, née à Levallois-Perret. Issue de ces deux berceaux différents, rencontre de l'Occident et de l'Orient. Remonter le fil jusqu'à mes grands-parents. Dresser leurs portraits, l'histoire familiale, ses anecdotes. Revenir à la source, mes racines et bout à bout, pièce après pièce, reconstituer le puzzle...
Témoigner sur la joie mais aussi la difficulté de grandir auprès de parents hors-norme, tous deux artistes et bien jeunes à ma naissance. Surtout lorsque l'image publique est forte et la notoriété vive. J'ai ressenti le manque, la solitude, l'absence mais j'ai aussi aiguisé, précoce, une force d'adaptation, un esprit audacieux et rebelle. J'ai pris au lasso les moments de bonheur, de tendresse et de complicité partagés. Auprès de mon père globe trotteur et de ma mère poétesse, les rencontres ont étés magnifiques. Elles ont laissé leurs empreintes, leurs influences. Parmi elles, Edith Piaf qui m'offre ma première guitare, Paco Ibañez, Jacques Higelin, Renaud, Barbara, Jeanne Moreau, Josiane Balasko, Vinicius de Moraes, Caetano Veloso, Pierre Richard, Diane Dufresne, Catherine et Maxime Le Forestier, Albert Cossery...
Avec mon père, c'était aussi le plaisir, pour l'enfant et l'adolescente que j'étais, de l'accompagner parfois en tournée à travers le monde. Cette soif de voyage, je la tiens de lui comme cette volonté, très jeune, de tracer ma route. Ce récit livre leur histoire, mon histoire. " -
Journal d'un megalo. mitterrand, pasqua, balladur et moi
Bedos Guy
- Le Seuil
- 1 Janvier 1998
- 9782020250696