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Bens Jacques
34 produits trouvés
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50 choses qu'il ne faut tout de même pas oublier de faire avant de mourir
Jacques Bens, Georges Perec
- L'Oeil Ebloui
- Perec 53
- 7 Mars 2024
- 9782490364374
À l'automne 1981, sur France Culture, l'oulipien Jacques Bens inaugure une nouvelle forme d'inventaire qu'il a lui-même créée, les "50 choses qu'il ne faut tout de même pas oublier de faire avant de mourir". Bertrand Jérôme, producteur de l'émission « Mi-fugue mi-raisin » et animateur complice, lui propose de convier des artistes à faire de même. Georges Perec est l'un des premiers invités. Ce sont les "50 choses..". des deux écrivains qui sont retranscrites ici dans leur version radiophonique, accompagnée des tapuscrits originaux.
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Les Israéliens hypercréatifs !
Jacques Bendelac, Mati Ben-avraham
- Ateliers Henry Dougier
- Lignes De Vie D'un Peuple
- 12 Mars 2015
- 9791093594491
Si le conflit israélo-palestinien est largement couvert par les médias, la société israélienne reste assez méconnue du public francophone.
Ce livre invite à découvrir un peuple pluriel et complexe, un état où s'amalgament des rescapés de la shoah, des immigrants originaires d'horizons très différents, des juifs de stricte observance, des juifs libéraux, des juifs laïcs, des juifs athées voire agnostiques, des chrétiens aux multiples facettes, des musulmans sunnites - des citoyens qui rejettent l'autorité de l'état, et d'autres qui s'en accommodent tant que leurs intérêts sont préservés.
Dans ce pays laïc, mais empreint de religiosité, dans cet état démocratique, mais tenté par l'autoritarisme, les Israéliens se dotent d'une culture originale et développent une créativité à toute épreuve, tout en revendiquant le droit à la normalité dans un environnement hostile.
Ce livre est un voyage au sein d'un peuple-mosaïque dans un état moderne. Un portrait réaliste et attachant des Israéliens aujourd'hui.
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Jules Renard ; mots, propos, aphorismes
Jacques Bens
- Albin Michel
- En Verve
- 23 Octobre 2017
- 9782705805890
Les mots d'esprit de Jules Renard sont à son image : ambivalents, ingénieux et pleins d'humour. Ils témoignent de sa lucidité sur ses contemporains, de son pessimisme incorrigible et de sa propension à l'autodérision. Ce florilège détonnant des meilleures citations de l'auteur de Poil de carotte nous révèle qui se cache derrière l'écrivain de génie : un homme avide d'admiration, orgueilleux, souvent sévère envers lui-même, mais d'une sensibilité rare ; un orfèvre des sentiments humains
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Le dimanche 21 mai 1854, dans la petite chapelle Notre-Dame de la Beaume, près de l'Isle-sur-la-Sorgue, pendant la messe, Estelle de Caseneuve, dont les jambes étaient paralysées depuis huit ans, s'est levée et s'est mise à marcher.
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Jean Baptiste (sans trait d'union), peintre de batailles en chômage, rêve, derrière ses persiennes, de pêches et d'horions. Soudain, une flèche imprévue l'atteint au coeur : c'est une vision féminine et fugitive. Il se précipite mais, après ce coup de foudre, s'installe le silence des espaces infinis. L'objet de sa passion a disparu dans une petite automobile jaune canari. L'émuIe de Meissonier s'élance à sa poursuite, sur-le-champ et sur une vieille moto. Deux Simon l'accompagnent, l'un qui parle toujours et l'autre qui ne dit jamais rien. À chaque étape, ils interrogent les gens du pays, faisant de Sidonie un portrait toujours nouveau (car l'amour et la mémoire ne font pas bon ménage). Où peut les conduire un itinéraire ainsi dessiné ? Au désespoir ou au bout du monde, tout dépend de la philosophie que l'on pratique. Ce récit un tantinet agité se double d'un périple littéraire. Chaque chapitre a son décor, sa flore, sa faune, son climat. Les lecteurs s'amuseront (si ça les amuse) à retrouver Flaubert, Queneau, Jarry, Sterne, et jusqu'à l'auteur d'Adieu Sidonie qui n'hésite pas à se parodier lui-même sans façons.
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Grand format 15.50 €
Indisponible
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" un beau jour de novembre 1960, autour de raymond queneau et de françois le lionnais, se constituait un petit groupe d'écrivains et de mathématiciens qui devait prendre, quelques semaines plus tard, le nom d'ouvroir de littérature potentielle.
Depuis cette date, les membres de l'oulipo, sept d'abord, puis dix, puis quatorze, n'ont cessé de se retrouver, une fois par mois, pour s'efforcer d'élaborer de nouvelles techniques d'écriture. par un commun désir de discrétion et de sérénité, les travaux de l'oulipo demeurèrent longtemps confidentiels. pendant les trois premières années de son existence, cependant, j'eus le rude privilège de rédiger les procès-verbaux de nos réunions.
On y constatera que les recherches, parfois maniaques, de l'oulipo, n'ont jamais pris une allure sévère, ni compassée. et s'il fallait donner un nouveau titre à ces mensuelles éphémérides, je proposerais : le désir littéraire attrapé par la queue. " jacques bens.
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De l'Oulipo et de la Chandelle verte : Poésies complètes
Jacques Bens
- Gallimard
- 18 Mars 2004
- 9782070770311
«Du début à la fin, toute la poésie de Jacques Bens dit "je", ne dit presque que "je". Elle met en scène quelqu'un qui parle à la première personne. Il parle en vers. Il se raconte. L'opus bensi, comme il dit, est monomaniaque de la narration de soi. Je ne dis pas cela de manière critique. Un des "pronunciamento" les plus stupides est, si on l'applique à la poésie : "Le moi est haïssable." De quel "moi", d'ailleurs, s'agit-il ? D'un "autre" ? qui serait "mon semblable, mon frère", "hypocrite lecteur" ? Pas du tout. C'est un "je" uniquement déterminé par ses mots, ses vers, ses aventures, ses postures devant le monde. Ceux qui ont connu Jacques Bens l'y reconnaîtront, ou pas, peu importe ; l'y reconnaissent et ne l'y reconnaissent pas, fatalement. Et ceux qui ne l'ont pas connu, s'y reconnaîtront ou pas, peu importe. Distinguons donc : il y a le poète : Jacques Bens, et son personnage : J. B.» Jacques Roubaud.
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Mémoires d'un vieux crocodile : correspondance (1952-2001)
Bens Jacques, Bertrand Tassou
- Honore Champion
- 29 Septembre 2022
- 9782745357892
Comment se fait-il qu'un jeune écrivain lancé avec conviction par Raymond Queneau, et soutenu par l'Oulipo, dont il fut l'un des membres fondateurs en 1960, n'ait pas atteint la postérité littéraire ? Dans cette correspondance croisée, Jacques Bens se révèle un formidable épistolier aux émotions contradictoires, à la fois abrupt et dolent, mais toujours animé par la rigueur intellectuelle, l'humour et l'humanité. Convaincu de la valeur de son écriture, et cependant ployant sous le joug des travaux alimentaires, cet amoureux des textes bien faits, en butte à l'insuccès, s'autoproclame « prolétaire des lettres » - se portraiturant parfois comme un « vieux crocodile ». Parallèlement, son exil de la capitale lui permet de conserver en son for intérieur une conception « puriste », de l'Oulipo, telle qu'elle fut vécue par ses membres fondateurs de la première décennie du groupe.
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L'histoire que raconle La Plume et l'Ange tient en quelques mots : Ariel est en vacances dans un pelit port de Bretagne où le ciel, la lerre et l'eau se mêlent sans cesse à la vie des choses et des gens. Mais Ariel est un singulier personnage dont les gestes surprennent ceux qui le côloient, sauf Nils, le chien, qui ne s'étonne de rien. Il renconlre Juliette qui lui apparaît un instant comme la créature de rêve que chacun se construit en secret. Mais, quand elle s'en va, le charme est à demi rompu déjà. Car, comme dit Norge, la plume et l'ange, ça fait deux. On retrouvera, dans ce nouveau récit de Jacques Bens, les qualités de grâce, de profondeur et de poésie qui avaient fait de Chanson vécue et de Valentin, ses deux premiers ouvrages, une véritable révélation.
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«Certains jours (ou mieux : certains soirs), les jeunes hommes s'imaginent que la liberté se trouve à portée de leurs mains. La liberté, c'est-à-dire, très prosaïquement, la possibilité de réaliser un souhait, un désir ou un rêve. Mais la liberté n'est guère différente de tout ce dont les hommes disposent : elle vous apparaîtra absurde et dérisoire si vous ignorez (ou si vous avez oublié) la manière de s'en servir.
Les sept jeunes gens dont il s'agit dans ce recueil ratent sept aventures par ignorance, plus souvent par lâcheté, voire par désinvolture (c'est la meilleure manière). Certains d'entre eux se promettent bien fort que la leçon ne sera pas perdue. Nous soupçonnons qu'ils se trompent : les bonnes intentions ne suffisent pas ici. Mais il vaut mieux, sans doute, faire semblant de les croire. Après tout, cela ne coûte rien - rien qu'une façon de sourire.» Jacques Bens. -
«Le dimanche 2 avril 1961, à Bourges, devant la cathédrale bruissante et frémissante de passions sacrées, un jeune homme médiocre attend bêtement la fin du service religieux, pour des raisons profanes et presque inavouables. Il meuble cette attente, comme n'importe qui le ferait à sa place : il jette des regards curieux sur le célèbre monument qui se dresse devant lui ; il déroule des souvenirs de jeunesse ; il échange, avec un voisin, des considérations multiples et réfléchies sur la pluie et le beau temps, l'amour, la poésie, le café, la musique et, naturellement, la cathédrale Saint-Étienne précédemment citée ; [...] il espère, il sourit, il baîlle, il désespère, il éclate de rire, il se mouille, il raisonne, il s'agite, il évalue, il déraisonne, il suppute, il rêve, il aimerait aimer. Cela se termine, comme toutes les messes du monde, par l'Ite missa est. Quant à notre héros, il ne meurt pas à la fin, ce qui n'est pas si mal, par les temps qui court, on en conviendra volontiers.» Jacques Bens.
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«Comme tous les lycéens, j'ai découvert la plupart des grands auteurs français et étrangers dans ces volumes réduits que l'on appelait :
Des classiques. C'est ainsi que j'ai pris contact avec des ouvrages dont je parvins à dévorer, plus tard, le texte intégral, comme Pantagruel, les Confessions et Notre-Dame de Paris. Il y avait enfin des oeuvres intermédiaires, dont l'intérêt, non douteux, me semblait cependant parfaitement épuisé par leur publication fragmentaire. Il en fut ainsi du Lutrin, des Mémoires d'outre-tombe et du sinistre Jocelyn. Je me disais alors que MM. Despréaux, de Chateaubriand et de Lamartine avaient accompli bien d'inutiles efforts, accumulé bien des phrases redondantes, multiplié bien des paragraphes superflus. Je me le dis toujours. C'est pourquoi, du vaste poème en douze chants dont j'avais d'abord formé l'estimable projet, je n'ai composé que des fragments, ceux-là mêmes que MM. René Vaubourdolle et Maurice Rat eussent extraits de l'oeuvre étourdiment achevée. Je tiens à préciser, toutefois, que les chants I et XII ont été intégralement rédigés, afin de susciter quelques regrets pointus chez les plus sensibles de mes lecteurs. On a quand même son orgueil.» Jacques Bens. -
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L'indispensable en Atomistique
Jean-Luc Bonnardet, Geneviève M.L. Dumas
- Breal
- 26 Février 2002
- 9782842918361
Un mémento clair, complet et pratique pour apprendre, réviser et retrouver tous les résultats fondamentaux en atomistique.
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Les rapports de voisinage tels que les vivent les villageois, ignors des habitants des grandes villes, dcrits et rvls par un visiteur d'un jour dans une localit provinciale. A son dpart, certaines donnes ont chang...
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Futuribles 140, février 1990. Agriculture mondiale : excédents ou pénurie ? : Déprise agricole et avenir de l'espace rural
Joseph Klatzmann, Arnaud Comolet, Jacques Theys, Philippe (D') Iribarne, Tahar Ben Jelloun
- Futuribles
- 7 Janvier 1999
- 9782843871399
L'agriculture mondiale demain : excédents ou pénurie ?
KLATZMANN Joseph
Déprise agricole et avenir de l'espace rural français
COMOLET Arnaud
L'espace rural : patrimoine du futur. Pour un projet global et à long terme
THEYS Jacques
Cultures nationales et économie internationale
IRIBARNE Philippe (d')
L'émergence des sociétés pluriculturelles
BEN JELLOUN Tahar
Forum
Les Droits de l'homme face aux progrès des connaissances
MURS
Actualités prospectives n° 140
Bibliographie n° 140 -