Filtrer
Rayons
Support
Prix
Littérature
-
Mêlant la fiction et la réalité, les anecdotes et les hauts faits, le sort des petites gens et le destin des grands personnages, Alexandre Najjar brosse le portait de sa ville et celui de sa famille sur trois générations.
-
Khalil Gibran - Oeuvres complètes
Rafic Chikhani, Khalîl Gibrân, Alexandre Najjar
- Bouquins
- 5 Octobre 2006
- 9782221105030
Khalil Gibran (1883-1931) est un Libanais de la montagne qui se découvre dans l'exil une passion sans modération pour son pays. C'est un lecteur de la Bible qui parle comme un soufi, un chrétien qui chérit la gloire de l'Islam, un amateur de femmes mûres qui cherche sur le miroir de son oeuvre la pureté de son âme. Le poète Adonis a très bien parlé de lui : " C'est un astre qui tourne seul hors de l'orbite de l'autre soleil qu'est la littérature, dans son acception universelle. " Il a passé sa vie à écrire et à peindre. Il naît à Bécharré, sous l'occupation ottomane, Bécharré, ses cascades, ses forêts, ses hivers de neige, ses chants galiléens, ses collines plantées de vieux ceps, et " leurs grappes suspendues comme des lustres d'or ", où il rentrera après trois étapes décisives (Paris, New York, Boston), dans un cercueil en bois de cèdre, pour un dernier et triomphal hommage. Alexandre Najjar, son dernier biographe, présente ce volume d'Oeuvres complètes - dont la plus grande partie a été traduite de l'arabe et de l'anglais par Jean-Pierre Dahdah - et l'enrichit d'un " Dictionnaire Gibran ".
Nous découvrons par ces textes une existence étrange, plus méditative qu'active, hantée par l'idée de la purification intérieure et dont les événements semblent s'enchaîner pour imaginer ce livre resté unique, Le Prophète (publié ici dans la magnifique traduction de Salah Stétié), construit comme un livre sacré. " C'est le plus grand pari de ma vie. Tout mon être est dans Le Prophète. Tout ce que j'ai fait avant [...] n'était qu'une période d'apprentissage. " Le petit prince oriental en exil s'est glissé dans la peau d'un messie. Il est animé d'une puissance et d'une fraîcheur singulières. Ses mots ont baigné dans les eaux de deux sources, jaillies d'Orient et d'Occident, de l'écriture et de la parole, de l'exil et du pays perdu ; et par ondoiements divers touchent la rive sans fin de l'universel. -
"La guerre du Liban a été pour moi un cauchemar, mais aussi - comment le nier ? - une école de vie. Hemingway disait que "toute expérience de la guerre est sans prix pour un écrivain". Je veux le croire. Sans la guerre, j'aurais été un autre homme. Toute ma vie, je regretterai sans doute de ne pas avoir eu une jeunesse paisible (j'avais huit ans quand la guerre a éclaté, vingt-trois lorsque le canon s'est tu).
Mais ces regrets, ces épreuves, m'ont donné du bonheur un autre goût", Alexandre Najjar.
-
« Je n'ai pas fui, je me suis sauvée. » Confinée dans un hôtel à Saint-Malo, Amira Mitri, ancienne combattante devenue reporter au quotidien libanais An-Nahar, rescapée de l'explosion du port de Beyrouth, rassemble ses souvenirs, depuis son retour au Liban en l'an 2000, à l'orée d'un nouveau siècle, jusqu'à la tragédie du 4 août 2020. Durant cette période de vingt années, les événements se sont succédé : bien des vicissitudes ont secoué le pays du Cèdre, et sa vie amoureuse a connu de multiples rebondissements. Avec lucidité et franchise, elle se confie, sans mâcher ses mots.
Un livre foisonnant, dans la veine du Roman de Beyrouth, où se mêlent habilement fiction et réalité, aventures et réflexions politiques, héros imaginaires et personnages célèbres, pour nous dévoiler l'âme d'une femme et celle d'une ville, Beyrouth, sans cesse malmenée, mais toujours debout.
-
Le silence du ténor ; une enfance libanaise
Alexandre Najjar
- La Table Ronde
- La Petite Vermillon
- 21 Mars 2020
- 9791037107435
Un père, une mère, six enfants. Avocat réputé, ténor du barreau de Beyrouth, le père plaide avec une rare éloquence. Dans l'exercice de sa profession, la parole est d'or. Son travail est sa vie.
Il est craint, suit une discipline militaire, impose la gymnastique à ses enfants, les punit sévèrement lorsqu'ils transgressent les règles. Pourtant, derrière cette rigueur, se cache un homme affectueux, pétri d'humour, curieux de tout, à l'optimisme contagieux. Soudain, c'est le drame : le ténor est victime d'une attaque cardiaque. Il se retrouve sur une chaise roulante, privé de la parole qui a fait sa célébrité. Mais l'amour de sa famille et l'espoir vont l'aider à surmonter l'épreuve...
Dans un style limpide, à travers des séquences tantôt émouvantes, tantôt cocasses, Alexandre Najjar rend ici au père un merveilleux et bouleversant hommage.
-
" - Dans notre travail, monsieur l'abbé, nous nous appuyons tout d'abord sur la rumeur, en partant du principe qu'il n'y a pas de fumée sans feu, puis nous l'étayons par des éléments de preuve réunis par nos soins.
- Et que dit la rumeur dans le cas de Baur ?
- Harry Baur a interprété des rôles de juifs dans plusieurs films, ce qui n'est pas anodin." Harry et Franz est le roman d'une rencontre inattendue entre l'un des plus grands acteurs français de l'entre-deux-guerres, Harry Baur, incarcéré et torturé par les nazis, et un aumônier allemand, l'abbé Franz Stock, qui assistait avec abnégation les prisonniers français.
Deux êtres d'exception, à la fois opposés et complices. Un hymne à la paix et à la fraternité à une époque où l'extrémisme, l'obscurantisme et l'arbitraire tenaient lieu de droit.
-
Le philosophe Zénon n'a jamais caché ses origines phéniciennes. A Athènes où il a fondé l'école des stoïciens, il raconte à son disciple Apollonios la tragédie de sa mère, une Tyrienne prénommée Elissa. La jeune femme accompagne son oncle dans un long périple qui lui permet de découvrir les comptoirs phéniciens qui jalonnent la côte méditerranéenne. A son retour, Tyr, sa ville natale, se retrouve assiégée par l'armée d'Alexandre le Grand dont l'ambition est d'annexer tous les ports de Phénicie. La résistance s'organise. Les Phéniciens refusent l'occupation, multiplient les stratagèmes pour venir à bout de leur ennemi et, durant sept mois, vont se battre avec l'énergie du désespoir. Ils n'ignorent pas que le devenir même de leur civilisation est en jeu. A travers les récits croisés de l'assiégeant et de l'assiégé, Alexandre Najjar nous propose une double perspective du siège de Tyr, en même temps qu'une métaphore du Liban, pays meurtri avide de liberté.
-
Le censeur de Baudelaire ; Ernest Pinard (1822-1909)
Alexandre Najjar
- La Table Ronde
- La Petite Vermillon
- 27 Janvier 2011
- 9782710367031
"Voilà une biographie à la fois inattendue, brillante et bienvenue. [...] Ernest Pinard, qui en est l'objet, fut un procureur soumis en tous points à l'ordre social de son temps, un ministre de l'Intérieur somme toute médiocre, et sa postérité, à vrai dire, n'avait jamais encore interpellé quiconque. [...] On eût été tenté de rejeter d'emblée le souvenir d'un homme qui eut pour titre de gloire - ou, à tout le moins, pour chemin vers la notoriété - de faire condamner Flaubert, Baudelaire et Eugène Sue, qui s'opposa à l'érection des statues de Baudin et de Voltaire, et eut maille à partir avec Zola. Excusez du peu !
[...] Au travers du destin d'un homme, on traverse une époque, les yeux et les oreilles aux aguets. On voit s'achever la monarchiede Juillet, avec ses fausses certitudes, s'édifier la Deuxième République, celle de toutes les ambiguïtés, vivre le Second Empire, avec ses contradictions si souvent fécondes, s'improviser la Troisième République avec l'entrelacis de ses arrière-pensées.
Nul ne pourra plus écrire sur le Second Empire sans tenir compte de la contribution d'Alexandre Najjar. C'est le témoignage à lui rendre. » Extrait de la préface.
-
Le silence du ténor
Alexandre Najjar
- La Table Ronde
- La Petite Vermillon
- 11 Octobre 2007
- 9782710330059
un père, une mère, six enfants.
avocat réputé, ténor du barreau de beyrouth, le père plaide avec une rare éloquence. dans l'exrcice de sa profession, la parole est d'or. son travail est sa vie. il est craint, suit une discipline militaire, impose la gymnastique à ses enfants, les punit sévèrement lorsqu'ils transgressent les règles. pourtant, derrière cette rigueur, se cache un homme affectueux, pétri d'humour, curieux de tout, à l'optimisme contagieux.
soudain, c'est le drame: le ténor est victime d'une attaque cardiaque. il se retrouve sur une chiase roulante, privé de la parole qui a fait sa célébrité. mais l'amour de sa famille et l'espoir vont l'aider à surmonter l'épreuve.
dans un style limpide, à travers des séquences tantôt émouvantes, tantôt cocasses, alexandre najjar rend ici au père un merveilleux et bouleversant hommage.
-
Une mère libanaise.
" Maman, Mama, Mimo, Mimo sa...
Je ne sais plus si c'est ainsi que j'en suis arrivé à t'appeler Mimosa, ce surnom qui te va si bien, toi la passionnée de plantes qui, l'été venu, veillais avec amour sur les rosiers du jardin. Peu à peu, ton surnom est devenu ton prénom.
Tu me dis, Mimosa, que tu as tout oub lié, que la guerre t'a volé ta mémoire. Je m'aperçois, quand je discute avec toi, que tes souvenirs sont intacts, mais qu'il faut aller les cher cher en profondeur pour les remonter à la surface - un peu comme des épaves. " Dans ce récit court, fait de souvenirs à la fois drôles et émouvants, Alexandre Najjar revient sur la figure de sa mère alors qu'elle vit ses derniers jours. L'enfance, l'éducation, la transmission, la guerre du Liban et bien sûr l'amour sont au coeur de ce livre au charme indicible. -
2020. Le coronavirus sème la mort, paralyse la planète tout entière et met l'économie mondiale à genoux...
Bouleversé par cette catastrophe, Gaudens, écrivain confiné, se téléporte en Chine, au Japon, en France, au Liban, en Italie, en Iran, en Espagne et aux États-Unis pour nous restituer des scènes de la tragédie vécue dans ces huit pays.
Tour à tour lanceur d'alerte chinois opposé aux mensonges des autorités, passager britannique prisonnier d'un navire de luxe, enseignante parisienne bouleversée par la contamination de sa mère, étudiant en cinéma enfermé à Milan, jésuite libanais révolutionnaire, médecin iranien confronté à un cas de conscience, médecin-éditeur engagé et créatif à Madrid ou encore journaliste américain féru de théories complotistes, Gaudens nous offre un panorama mondial du premier acte de cette pandémie, avec gravité ou dérision, dans ce qu'il dévoile de l'homme, de nos sociétés et de nos dirigeants.
-
Les anges de Millesgarden ; récit d'un voyage en Suède
Alexandre Najjar
- Gallimard
- Le Sentiment Geographique
- 3 Octobre 2013
- 9782070142231
Fruit d'un voyage à Stockholm et à Göteborg, ce récit nous livre les premières impressions d'un écrivain libanais parachuté dans un monde situé aux antipodes du sien. Avec érudition et humour, l'auteur nous décrit la Suède dans tous ses états, nous parle des Suédois et de leurs coutumes surprenantes, et met en exergue les différences qui séparent le Liban et la France de cette planète étrange. Plus d'une fois, le narrateur rencontre des anges. Comment s'en étonner dans un pays considéré comme un paradis?
-
Raconte le destin de K. Gibran, l'auteur du«Prophète»né au Liban en 1883. De religion chrétienne, il fut élevé dans la tolérance religieuse et resta très marqué par l'Islam et les religions de l'Inde. Pour fuir la misère, il émigra aux Etats-Unis où il fut d'abord peintre, puis se consacra à la poésie et l'écriture.
-
A l'heure où les chrétiens d 'Orient, persécutés ou pris dans la tourmente des révolutions arabes, se cherchent et s'interrogent sur leur devenir, Alexandre Najjar leur consacre ce beau roman qui nous raconte leurs racines, leur spiritualité et leur résistance.
Banquier à Beyrouth, Sami Rahmé décide, sur un coup de tête, de tout quitter pour aller vivre à proximité de la Kadicha, la vallée sainte, l'un des hauts lieux spirituels de la chrétienté en Orient. Quand son ancienne amie française, Florence, reporter à Libération, quitte en catastrophe la Syrie en révolte pour échouer au Liban, il trouve l'occasion de renouer avec elle et de l'initier à la vie paisible qu'il a choisi de mener. Ensemble, guidés par Kennedy, un aventurier érudit, ils explorent cette vallée et découvrent les personnages pittoresques qui y ont vécu : Sarkis Rizzi, qui se ruina pour installer une imprimerie au monastère de Kozhaya ; le patriarche Louqa qui, réfugié dans une grotte, résista longtemps aux mamelouks ; Marina, qui se déguisa en homme pour entrer au couvent ; François de Chasteuil, qui abandonna sa famille à Aix pour devenir ermite au Mont-Liban ; le poète Gibran, qui puisa son inspiration dans cet univers merveilleux...
Un beau roman où découverte, histoire, aventure, spiritualité et passion se mêlent dans un voyage initiatique, dans l'espace et le temps, sur les traces des chrétiens d'Orient. -
-
Ces six mélodies, qui constituent un ensemble, sont un hommage au Liban et à sa culture. Écrites sur des poèmes d'Alexandre Najjar, elles se caractérisent par une ligne vocale conçue dans un strict respect de la prosodie française et des courbes musicales épousant les inflexions de la langue parlée. Ces poèmes d'amour, qui deviennent par transposition musicale des chants d'amour, existent en deux versions : voix et piano, et voix et orchestre. L'oeuvre est dédiée à Naji Hakim en témoignage de respect et de reconnaissance. Ces Six chants d'amour, dans leur version orchestrale, ont été interprétés pour la première fois le 18 mars 2016 en l'église Saint-Joseph des pères jésuites à Beyrouth par la soprano Clémentine Decouture, accompagnée de l'Orchestre philharmonique du Liban dirigé par Harout Fazlian.
-
Auteur de pièces immortelles comme En attendant Godot, lauréat du prix Nobel de littérature, Samuel Beckett a subi, tout au long de sa vie, l'influence de plusieurs femmes : sa mère, exigeante et instable , ses amours de jeunesse (dont sa propre cousine et la fille de James Joyce, danseuse douée mais dépressive) , son épouse Suzanne, fidèle complice sous l'Occupation , sans compter ses nombreuses amantes, clandestines ou affichées. Paradoxalement, derrière le détachement apparent du "dramaturge de l'Absurde" se cachait une quête permanente d'affection...
De Dublin à Paris, Alexandre Najjar retrace, dans un récit intime rédigé à la deuxième personne, la vie sentimentale de "Sam", écrivain séduisant et tourmenté qui admettait volontiers : "Il m'aurait fallu d'autres amours, peut-être. Mais l'amour, cela ne se commande pas."
-
Ce roman est celui d'un événement : les jeux Olympiques de Berlin, organisés par le Ille Reich en 1936. Autour de cette manifestation gravite une foule de personnages : le Führer, bien déterminé à leurrer le monde en montrant un masque pacifique de l'Allemagne ; Jesse Owens, l'athlète noir qui défiera les Nazis et leurs théories racistes en remportant quatre médailles d'or ; les ministres Goebbels et Gering, qui déploient mille stratagèmes pour instrumentaliser les jeux ; le baron Pierre de Coubertin, icône déchue qui se fourvoie en soutenant les organisateurs ; Leni Riefenstahl, l'égérie du Reich, cinéaste exigeante et capricieuse chargée de fixer sur pellicule la spectaculaire mise en scène de l'événement ; Oskar Widmer, un pianiste de jazz qui, tant bien que mal, résiste à la déferlante nazie ; Pierre Gemayel, un jeune Libanais de passage, qui découvre avec étonnement l'envers du décor ; enfin Claire hagarde, une courageuse journaliste française qui, en décrivant les jeux, va rencontrer l'amour... Dans un roman foisonnant, Alexandre Najjar met habilement en scène ces personnages, réels pour la plupart, fictifs pour quelques-uns, afin de nous raconter, comme une valse à trois temps, les jeux Olympiques de Berlin.
-
Comment inventer sa liberté quand on est une femme dans la Crète du XIXe siècle ? Et jusqu'où la passion peut-elle accompagner la volonté de vivre ? Tel est le magnifique défi d'Athina.
A quinze ans, cette jeune fille audacieuse échappe à l'emprise de sa famille et s'engage dans la résistance contre l'occupant turc. Toute l' "île du courage" s'embrase. Athina porte des armes et des messages, se cache à Chios, sans se douter que les Turcs vont y perpétrer un odieux massacre...
C'est la tragédie du Sud que vit cette jeune héroïne, entre soleil et mort. Blessée par ce qu'elle a vu, la haine au coeur, Athina prend part à la révolution grecque. Elle croise Lord Byron, qui a embrassé la cause des insurgés, le colonel Fabvier, Flaubert et Lamartine qui découvrent l'Orient. Elle tombe amoureuse d'un soldat de Napoléon...
Athina verra-t-elle enfin son pays libre ? Pourra-t-elle y vivre et y aimer en paix ?
Né au Liban en 1967, Alexandre Najjar est avocat. Il est l'auteur de plusieurs livres parmi lesquels, chez Grasset, Les exilés du Caucase (1995), L'Astronome (1997). Il a obtenu la Bourse de la fondation Hachette. -
{Les Exilés du Caucase} retrace la formidable et tragique épopée de cheikh Mansour et de ses descendants tcherkesses, chassés du Caucase dans la seconde moitié du XIXe siècle, puis recueillis par le Sultan avant de s'établir dans les Balkans, à l'est du Jourdain, au Liban et en Syrie où ils se mettent au service de l'Armée française du Levant et participent aux combats opposant les Alliés aux Vichystes. Où s'arrêtera la sournoise malédiction qui pèse sur ce peuple connu pour la beauté de ses femmes ? Les fils de cheikh Mansour, désunis par le destin, réussiront-ils à recoller les fragments de leur famille émiettée ? Le courage de Seteney, épouse et mère exemplaire, guerrière à l'heure du danger, suffira-t-il à exorciser le spectre de l'exil ? Saga historique brûlante d'actualité, {les Exilés du Caucase} survole deux siècles et six pays, met en scène des personnages épiques qui ont pour nom l'imam Chamil, le tsar Alexandre II, Lawrence d'Arabie, le général de Gaulle, Mustafa Kemal "Atatürk", Joseph Kessel, Moshe Dayan...et rend hommage aux résistants, héros anonymes de combats auxquels, aujourd'hui comme hier, le monde assiste avec une "imbécile indifférence"...
-
Dans la Florence des Médicis, au début du XVIIème siècle, François, un jeune astronome parisien, rêveur et velléitaire, entre au service de Galilée qui vient d'être nommé " premier mathématicien et philosophe du grand-duc ". Il découvre en lui un personnage imaginatif, en lutte contre sa propre souffrance et contre l'obscurantisme, mais dont la vie amoureuse a été un échec : cédant aux pressions de son entourage, le savant a quitté la seule femme qu'il ait aimée, une Vénitienne qui lui a donné trois enfants. Au même moment, l'émir du Liban débarque en Toscane pour trouver refuge auprès de Cosme II de Médicis. François assiste à la rencontre du savant toscan avec l'émir, et tombe amoureux d'une proche de ce dernier : une femme d'une grande beauté prénommée Najla. Réussira-t-il là où son Maître a échoué ? Aura-t-il le courage de transgresser les interdits pour assumer sa passion ? De retour d'une expédition en Méditerranée dont il est sorti aguerri, François découvre que des comploteurs se préparent à mettre la main sur le celatone, l'une des inventions les plus originales de Galilée...